Championnat de France

de dix ans au club et ayant connu avec lui aussi bien la Coupe UEFA que la deuxième division, Sikora remporte son premier titre en professionnel en 1998, le Championnat de France. Finaliste de la Coupe de France la même année, il gagne également la Coupe de la Ligue en 1999 et est demi-finaliste de la Coupe UEFA en 2000. Vice-champion de France en 2002, il arrête sa carrière de joueur en 2004 et entame une reconversion au sein du club artésien. Membre de l'encadrement technique, il est entraîneur de

sportiveModifier1999 - 2005 : débuts prometteurs William Servat effectue son premier match en équipe Une du Stade toulousain en 1999, alors qu'il ne signe son premier contrat professionnel qu'en 2000[5]. Il dispute son premier match en équipe de France le 14 février 2004 contre l'équipe d'Irlande[6], puis 15 autres matchs entre 2004 et 2005. 2005 - 2007 : blessure et années blanches Il a subi une grave blessure au dos en 2006 qui l'a obligé à se reconvertir dans un premier temps au poste de troisième

de personnes faisant la fête dans les tribunes totalement garnies du Stade de France ou du Stadium de Toulouse lors de confrontations entre les deux stades, le Stade français et le Stade toulousain, montre bien, pour l’instant, que le rugby a su faire le saut dans le monde surdimensionné du sport professionnel en gardant toute la convivialité de son environnement. Remplir le Stade de France pour un match de championnat sans aucun incident et avec un service d’ordre réduit à sa plus simple expression

dont la section principale est celle du rugby à XV. Le club est présidé par Jean-René Bouscatel depuis 1992. L'équipe première, entraînée par Guy Novès depuis 1989, évolue en Top 14 et dispute la Coupe d'Europe Le club a remporté 18 fois le championnat de France de rugby à XV et 4 fois la coupe d'Europe, performances jamais égalées.  Activité et statut juridique A partir de l’image du club, le directeur Charles Di Dominico va développer une activité commerciale qui est spécialisé dans la vente

le Sporting club albigeois sous la forme d’un club omnisports avec du rugby, du tennis et de l’athlétisme. En 1926, le Sporting club albigeois décroche son premier titre en rugby au dépend de la célèbre équipe du Stade toulousain en finale du championnat des Pyrénées. C’est dans ces années là que fût aussi inauguré le stade Maurice Rigaud. Les années 40 marquées par le régime de Vichy et l’interdiction de la pratique du rugby à XIII poussèrent les clubs de XIII et de XV à s’associer pour créer

Ce soir, Monaco va livrer son quatrième match en 14 jours, sur la pelouse de Toulouse pour le compte de la 17ème journée de Ligue 1. L'occasion pour la presse (L'Équipe et Nice-Matin) de livrer ses compositions probables pour cette rencontre. Décimée en défense (voir par ailleurs), l'ASM se présentera ce soir en Haute-Garonne sans latéral gauche de métier. C'est pourquoi Leonardo Jardim va devoir trouver une solution pour remédier au problème. Alors que la défense centrale serait composée d'une

rugby dès 1895 avec l’Association Athlétique de Grenoble2. Le FCL et le Sporting Club de Lyon recrutent alors des joueurs britanniques pour renforcer leur effectif au début des années 1900 et se qualifient régulièrement pour la phase finale du championnat de France. Jean Burnichon démissionne brusquement de son poste de président du FCL et rejoint le Racing Club de Lyon, fondé en 1896. Le club adopte alors le nom de Lyon olympique et de nouvelles couleurs, rouge et noir. Le rapprochement entre le Lyon

les Catalans sont bien installés en tête du Championnat. «Il s'agit pour nous en effet d'une saison particulière, avoue Jacques Brunel dans les colonnes de La Dépêche. On avait un titre à défendre et on ne savait pas ce que c'était. C'est la raison pour laquelle nous avons été irréguliers. Nous avons été présents sur les grands rendez-vous, parce que face aux meilleurs on n'a pas fait les malins, on est resté très concernés.» Perpignan, leader du Championnat. Pas seul, bien sûr ! Le Castres Olympique

le leitmotiv des supporters biterrois depuis quelques saisons maintenant dans les travées de la Méditerranée. En milieu de classement après 7 journées de championnat, l’ASBH retrouver un peu de sa superbe. Match de très bon niveau et tribunes prises d’assaut, le « Grand Béziers », c'est-à-dire le temps où l’équipe écrasait le championnat de France, semble rougeoyait sous les cendres. La vérité est sur le pré ! Le nouvel élan de l’ASBH est d’abord du à ses performances sur le terrain. Invaincu pendant

le même schéma : un Lyon qui domine mais qui manque de réussite. Majri (49e), Schelin, (53e) Dickenmann (66e) ont bien tenté de faire la différence, mais c’est bien le PSG qui a ouvert le score sur sa première occasion de la rencontre. Sur un coup franc d’Hamraoui dévié par Laura Georges à la limite du hors-jeu, Fatmire Alushi a trompé Sarah Bouhaddi. Lyon aura beau poussé lors des dix dernières minutes, c’est Paris qui sera le dernier représentant français en Ligue des champions cette saison. «On