Champs Décumates

scène et suppose que cela n’ait pas été atroce il essaye de quémander quelques idées pour son portrait. Axe II : Le portrait d’Iphicrate. Arlequin se jette enfin à l’eau après les pressions multiples de Trivelin et va faire le portrait. Il emploi le champ lexical du commerce et prend appui sur les propos de Trivelin. C’est un pauvre garçon caractérisé par sa « misère », ses extravagances, ses folies... Arlequin ne va pas se livrer à une description détaillée : il fait une sorte de résumé, de condensé

transfiguration de ce qui entoure l’auteur et de la présence de la chanson. Ce bonheur est mis en valeur par la transfiguration de tout dans les yeux de l’auteur. Premièrement, on remarque l’utilisation du champ lexical de la joie : « gaie », « « doux », « joie », « éclat de rire », « ris ». Le champ lexical de la joie ici renforce donc ce bonheur que l’auteur éprouve. De plus, la lumière joue on rôle important dans l’expression de la joie. On retrouve l’isotopie de la lumière : « le soleil », «la

que f est de classe C k , k ∈ N ∪ {∞}, si les fonctions fi sont de classe C k . D ÉFINITION I.1.2. n Soit U un ouvert de Rn . On appelle champ de vecteurs sur U une application X = (Xi )i=1 de U dans Rn . On dit que X est k k de classe C , k ∈ N ∪ {∞}, si les fonctions Xi (de U dans R) sont de classe C . Les 1-formes différentielles f = ∑ni=1 f dxi et les champs de vecteurs X = (Xi )i=1 sont mis en dualité par la formule n n f , X (x) = ∑ fi (x)Xi (x). i=1 Exemple I.1.1 (Exemple fondamental). Soit

L’expression « très loin, très haut dans les année » confirme cette antériorité. L’auteur considère les années qui l’ont précédé comme heureuse. L’oxymore montre que le malheur fait parti intégrante de la vie. Cette violence de la guerre s’exprime par : -un champ lexical composer de nombreux verbes (coupe, hache, effiloche, égratigne…). - des sonorités très expressives (fouaille et fouette à la fois les feuilles). La grêle, c’est l’image de la guerre. L’auteur nous montre l’injustice de l’événement qui frappe

long, comportant 1000 spires par mètre est parcouru par un courant d’intensité (en ampères). Une bobine circulaire plate, comportant 400 spires de rayon r = 5 cm est placée à l’intérieur du solénoïde. 1) Déterminer l’expression de l’intensité du champ magnétique au centre du solénoïde en fonction du temps. 0,75 pt 2) Ecrire l’expression du flux à travers la bobine plate en fonction du temps. 1 pt 3) La bobine plate fait partie d’un circuit électrique de résistance totale R = 2 a) Etablir l’expression

l’ensemble de l’oeil. La pression oculaire de Mr.C est de 30 mm Hg*. *mm Hg = mm de mercure = unité de pression Schéma de la partie antérieure d’un oeil Document 2 : Principe de l'examen du champ visuel « Le champ visuel se définit comme étant l'espace environnant que l'on peut voir sans bouger les yeux. Le champ visuel se mesure pour chaque oeil individuellement au moyen d'un appareil appelé périmètre. L'examen se fait dans une pièce peu éclairée. L'appareil a la forme d'une coupole dont on fixe le

la terre Pour finir ,le noyau de la planète en question devra contenir du fer et du nickel et doit être liquide et sa rotation devrait crée un champ magnétique autour de la terre pour éviter les vents solaires et les particules chargées émise par le soleil . Le noyau protège aussi la planète des rayons cosmiques nuisibles a la vie . Les champs magnétiques de la planète terre b) Les Caractéristiques d'une exoplanète habitable et son étoile Tout d'abord qu'est ce qu'une exoplanète

seul corps et une seule âme »), pour renforcer leur lien. Ensuite, la valeur du présent est la vérité générale, pour encore plus faire sortir l’idée scientifique de Zola, ainsi pour donner l’œuvre un aspect plus naturaliste. 3. Enfin, on remarque un champ lexical de la médecine (« fièvre »,  « souffrance », « insomnie », « psychologie »), probablement pour accentuer le côté scientifique avec l’idée d’une maladie (« frissons », « détraquement nerveux »), et pour encore montrer le côté naturaliste. 4

« ces tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons » « toute cette nature splendide de jeunesse ». Ensuite il dit à Rosette : « la pluie du matin roule en perles sur les feuilles séchées que le soleil ranime. » cette phrase peut faire penser à l’hiver «  la pluie du matin », a l’automne « feuilles séchées » mais aussi a l’été « le soleil ranime ». Ensuite Musset fait le champ lexical de l’eau : « fontaine » « eau » « troublée » « surface », il fait aussi le champ lexical de l’éclairage : « lumière »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lois de Newton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mouvements dans les champs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cinétique et catalyse chimiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .