Champs Lexical De La Folie

inatteignable. Il n’est plus en phase avec l’état d’esprit qu’il a toujours eu, ce qui le panique et le déstabilise : il y a le champ lexical de la panique : il y a des points d’exclamation, il dit « oh !», les didascalies indiquent qu’il parle avec l’accent de la « détresse », qu’il crie, pleure... Il dit revenir à la raison : «Mais qu’il est amer d’avoir raison ». Mais en réalité sa folie devient de plus en plus absurde car il a l’impression d’y être en sécurité alors qu’il sait qu’il va se faire tuer.

communique sa souffrance qui le mene vers la folie ? 1 : la complainte d’un père qui expose sa souffrance 2 : le refus de la mort par la révolte 3 : le refus de la mort ce manifeste par le délire A) ARG 1 : souffrance est causée par la mort de sa fille Exemple : « Oh ! », « Hélas ! » (v1-2) Effet : cri de désespoir de la part du père ARG 2 : chagrin extrême Exemple : « pleurai, amèrement, souffert » + « souffert/souffrance » Analyse : champ lexical du chagrin + polyptotes Effet : mis en valeur

Le champ lexical du nombre «  trois et deux font cinq », «  cinq font dix »laisse à penser qu’Argan est obsédé par la comptabilité. ( caractère obsessionnel appuyé par le comique de répétition de « trois et deux font cinq ») => Argan est seul dans sa chambre, fait ses comptes d’apothicaire en dialoguant avec un absent. Présence des guillemets visible pour le lecteur , le spectateur doit les «  entendre » grâce au jeu du comédien. => folie du personnage

Scène 5, acte 5 : Analyse de la folie d’Oreste Je relève |je procède |j’interprète | |Quoi ? Pyrrhus, je te rencontre encore ? (vers 1629 ) Trouverai-je partout un rival que j’abhorre ? (vers1630) Percé de tant de coups, comment t’es-tu sauvé ? (vers 1631) |Images hallucinatoires |Oreste a des visions : il croit que Pyrrhus est vivant alors qu’il est mort. Il est devenu fou. | |Tiens, tiens, voilà le coup que je t’ai réservé.(vers 1632) |Images hallucinatoires |Il veut même le tuer de nouveau

une critique ironique et vive de la folie des hommes : il insiste sur le caractère éternel de la guerre en l’associant à l’ »Antiquité », il rappelle son omniprésence avec des expressions telles que « dans tous les siècles », « toujours », « de tout temps », « de siècle en siècle ». Il souligne également les ravages de la guerre avec l’accumulation des verbes pronominaux « se dépouiller, se brûler, se tuer, s’égorger les uns les autres » qui semble mimer la folie guerrière ; ainsi, les hommes sont

Aussi, devons-nous nous demander, en quoi le sort d'Oreste permet-il un tel dénouement ? Il nous semble donc intéressant d'examiner comment Oreste sombre-t-il dans la folie et dans quelle mesure cette folie a été provoquée par la fatalité. I) De la mélancolie à la folie 1.La mélancolie On remarque d'abord un champs lexical du malheur et de la souffrance pronocé "malheur" vers 1613 et 1619, "misère" vers 1617. Hyperboles "au comble des douleurs" vers 1616 et "pour être du malheur un modèle

Champ Lexical Premier champs lexical: -La force; “Une santé de fer” - “des souplesses félines” - “des muscles courts et puissants” - “Une énergie” - “une passion” - “ce déploiement de force” - “de larges plaques ardentes” Deuxième champs lexical: -La maladie; “muette et immobile” - “les yeux vide de regards” - “sa chair assoupie” - “des teintes, pâles, légèrement jaunâtres” Commentez l’association de ces deux champs lexicaux: Ces deux champs lexicaux, “La force” et “La maladie”

ou bien « la déplace ». Ces verbes au présent donnent toute l'action et toute sa rapidité au récit ainsi le lecteur peut aisément s'immaginer, se représenter la scène. Nous pouvons relever le champ lexical de l'action : « volait, frappe, cramponne, risque, précipiter, violente secousse ». Le champ lexical de l'action donne à Julien un caractère héroique, une sorte de prince charmant prêt à affronter tous les dangers pour rejoindre sa belle. L'échelle est un objet paradoxale qui sert d'aide et par

prononce une critique ironique et vive de la folie des hommes : il insiste sur le caractère éternel de la guerre en l’associant à l’”Antiquité”, il rappelle son omniprésence avec des expressions telles que “dans tous les siècles”, “toujours”, “de tout temps”, “de siècle en siècle”. Il souligne également les ravages de la guerre avec l’accumulation des verbes pronominaux “se dépouiller, se brûler, se tuer, s’égorger les uns les autres” qui semble mimer la folie guerrière ; ainsi, les hommes sont désignés

progressive dans la folie-v.17 à v.20 : le présent, la réalitéPROJET DE LECTURE Comment à travers ce poème Victor Hugo parvient-il à mettre des mots sur ce qui est indicible ?MOUVEMENT 1-début du 4ème livre « Pauca Meae »-lieu d’écriture du poème symbolique : Jersey, premier lieu de l’exil-date d’écriture également : 4 septembre, date anniversaire de la mort de sa fille Léopoldine-les deux premiers vers sont construits de la même manière, parallélisme de construction-champ lexical de la tristesse et