Champs Lexical De La Guerre

Diderot, dans son Supplément au voyage de bougainville, qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical dénonce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot donne le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les mots sont

historique et culturelle du texte, auteur, genre du texte.Ce discours a été écrit par Pierre de Ronsard, en mai 1562, après le massacre de Vassy. Durant ce massacre, une cinquantaine de protestants furent tué. Cet incident déclenchera le conflit des guerres de religion en France entre partisans catholiques et partisan protestants appelé les « Hugenots ». Ces conflits dureront de 1562 à 1598. Ce poème est destiné à la reine Catherine de Médicis, régente et mère du roi. Certes Pierre Ronsard n’incite pas

défauts de la culture blanche. Les méfaits de la civilisation: Diderot qualifie les hommes civilisés de «méchant» avant cet extrait. Il utilise un champs lexical de la cruauté avec des verbes comme enchaîner, égorger, se haïr... Ce champs lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot développe le champs lexical de la violence :  «funeste avenir » «folles» «féroce» «esclave» et «teinte de sang». Les mots sont appuyer grace a des énumérations et les répétitions. L'auteur

Commentaire de texte Le texte que nous allons étudier est captivant puisqu’il s’agit de l’extrait d’un discours rendant hommage à Jean Moulin et plus largement à l’action de la Résistance Française pendant la Seconde Guerre Mondiale. Ce discours destiné à la jeunesse de France fait partie des plus grands discours de la République française et c’est pourquoi il est intéressant de l’étudier. Ce discours a donc été prononcé le 19 Décembre 1964 à Paris par André Malraux qui était alors ministre

Intro : Les évènements de la première moitié du XXe siècle, vont faire naitre pour chacun un désir de paix universelle, et va plonger la France dans un état, dit, d’euphorie la plus totale qui se fera appelée les « années folles » d’entre-deux guerres. Cette époque déclenchera au même moment un renouveau littéraire français qui touchera tous les genres et permettra notamment à bon nombre d’auteurs de voir le jour et plus particulièrement à d’illustres inconnus qui désireront révéler une vérité

parmi leurs passe-temps Et ceux dont nous voyons la sagesse profonde Par ses illustres soins conserver tout le monde, Trouvent dans les douceurs d'un spectacle si beau De quoi se délasser d'un si pesant fardeau. Même notre grand roi, ce foudre de la guerre, Dont le nom se fait craindre aux deux bouts de la terre, Le front ceint de lauriers, daigne bien quelquefois Prêter l'oeil et l'oreille au Théâtre- françois […] Pridamant : Je n'ose plus m'en plaindre et voit trop combien Le métier qu'il a pris

la censure. Dans son conte, et plus particulièrement dans cet extrait correspondant au chapitre 3, il dénonce de manière ironique les atrocités de la guerre. Nous montrerons tout d’abord que le premier paragraphe dépeint le spectacle de la guerre comme s’il s’agissait d’un événement merveilleux. Le deuxième mouvement s’attachera à montrer que la guerre est tout de même le théâtre de violences portées à leur paroxysme, ce qui correspond au deuxième paragraphe de notre texte. Enfin, nous verrons que

Candide ayant été de se faire enrôler de force, il semblait inévitable qu'il ait à expérimenter la guerre. C'est pour Voltaire l'occasion de concilier les impératifs logiques du conte (une succession d'épisodes auxquels est mêlé le jeune héros) et les objectifs philosophiques (montrer que rien n'est «pour le mieux »). Le chapitre 3 fait donc de Candide le « héros » malgré lui d'un épisode de la guerre entre les Abares et les Bulgares qui fait allusion à l'histoire contemporaine. Pour trouver l'illustration

Ce coeur qui haïssait la guerre La poésie de la Résistance Ce coeur qui haïssait la guerrevoilà qu'il bat pour le combat et la bataille !Ce coeur qui ne battait qu'au rythme des marées, à celui des saisons,à celui des heures du jour et de la nuit,Voilà qu'il se gonfle et qu'il envoie dans les veinesun sang brûlant de salpêtre et de haine.Et qu'il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent5 .Et qu'il n'est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la campagneComme

 protagonistes.  Façon   d’amener  le  lecteur  à  une  réflexion  sur  les  guerres  de  religions.   «  malheureux  »  :   insulte   de   nouveau,   à   caractère   religieux.   Accusation   forte   de   la   part  de  l’auteur.   Le   tx   vise   à   dénoncer   les   guerres   de   religion,   tout   en   instruisant   le   lecteur,   sur   un   registre