Champs Lexical Fertilite

d'Aubigné utilise le champ lexical de la violence : " à force de coups " v.4 , " brise " v.5 , " voleur acharné " v.7 , " arracher à son frère la vie " v.9, et utilise un contraste avec un vocabulaire plus apaisant à certains endroits , où il parle de " nature " v.6 , et de " doux lait ". Puis , le second frère , Jacob ,  l'incarnation du protestantisme, " ayant dompté [..] en son cœur son ennui " ,veut se révolter d'une " juste colère " v.13 , il combat donc son frère , combat où " le champ est la mère "

En effet, l’âme représentant le principe de la vie est illustrée de façon fatale dans cet extrait. Dans l’oeuvre d’Émile Nelligan, Les Corbeaux, la mort est aussi présente, mais de manière plus subtile. Ainsi, on peut observer la mort par un champ lexical comportant les termes « vols funèbres », « tombeaux » et « ténèbres ». Ces termes provenant de l’œuvre Les Corbeaux représentent explicitement la mort dans l’oeuvre de Nelligan. De plus, la fatalité étant résumée par la mort dans les deux œuvres

c’est pour cela que l’auteur de ce spectacle veut surprendre le publique en précisant des événements inattendus, comme la fuite d’Hippolyte dès le début de la pièce, « Et quitte le séjour de l’aimable Trézène » vers 2, on relève aussi tout le champ lexical du départ, « je pars » vers 1, « fuirai ces lieux » vers 28, « exil » vers 40, une répétition du verbe fuir, «  vers 50 « je fuis », vers 56 «  je ne la fuirais pas », Hippolyte justifie son départ par une volonté de rechercher son père, « je

autres poèmes comme "mon rêve familier " par exemple où la ou la femme est vu à travers un rêve ici , elle est vu comme "un hideux cauchemar qui hante"(v.5). Pour finir la nature étant le second thème principal est présent dans ce poème avec le champ lexical "hirondelles" , " bonjour de septembre" et "ciel après-midi". Ensuite le second thème principal de poèmes Saturniens est la nature un thème que l'on retrouve dans le poème " Après 3 ans " Après trois ans Ayant poussé

Apollinaire jette son passé dans le feu qu’il transporte. Son passé reflète pour lui la mort ( il compare son passé à des têtes coupées). À la fin de cette strophe, il se soumet complètement aux flammes. Lors de la deuxième strophe, il utilise un champ lexical plus en rapport de la faune et de la flore ( galop, hennissement,haras,végétales). Le poète semble ensuite regretter son passé et sa foit chrétienne (où est le dieu de ma jeunesse). Mais ce sentiment disparait rapidement pour laisser place à la

impossible Un dialogue inégal : longueur des répliques d’Octave ; brièveté de celle de Marianne ; dernier mot d’Octave 1) Marianne : -3 répliques très courtes : L. à , L. à … - adressées à Octave : tutoiement : L. - elles sont marquées par le champ lexical de l’amour : ………………… L. , ………………… L. , ……………. L. , ……………. L. - des questions oratoires : L. - aveu de son amour pour Octave : à termes couverts d’abord L. , clairement ensuite L.  on peut noter l’indifférence par rapport à la mort de Coelio, la

L'instabilité affective du héros. La nature comme miroir de l'âme. La fuite comme solution au mal de vivre. Développement : I. René recherche une solution à son mal de vivre. A. René souhaite échapper à son mal de vivre par la fuite. 1. Champ lexical du déplacement (fuite, partir, voyager) : a) "promenades"(L1), "j'entrai"(L6), "errant"(L7), je m'égarais"(L12), "attiré"(L15), "J’ai suivi"(L15)", "voyageur"(L17), "migration"(L18), "déploieras"(L19),"emporter"(20), "marchais" (L20) Démonstration

à partir de la mort de Tiberius (''post nonum mensem quam Tiberius excessit'' = après le 9e mois après lequel Tiberius est mort) et est complétée par des précisions à propos du contexte de la naissance. En effet, nous pouvons ainsi relever un champ lexical de la nature (''exoriente sole'' = au lever du soleil, ''radiis'' = de ses rayons, ''terra'' = la terre). De par cette description, Suétone propose déjà une vision possible sur le portrait de Néron : celui qui deviendra empereur a reçu les rayons

nous le prouvent le champ lexical de la faim et de la nourriture. La faim est tellement présente que la maison elle-même en vient à le ressentir : « les murs sonnaient creux, comme des ventres vides » Zola personnifie ainsi la maison à travers une comparaison. Maison qui petit à petit devient à l’image des habitants, à commencer par cette pauvreté et insalubrité : «  froid », « trou », « tas de paille », « misère », « pauvre », « pouilleux » ; comme en témoigne ce champ lexical de la misère. Le manque

dans les deux cas. Dans le poème Les Corbeaux, l’auteur utilise cet oiseau, qui est perçu comme étant un charognard, pour représenter la mort et donc, la fatalité : « Déchirant à larges coups de bec, sans quartier, / Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, / Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier. » (v. 11-13). Ici l’auteur utilise la métaphore pour comparer l’âme de l’homme à une charogne ce qui tend à déprécier sa vraie valeur. Par ailleurs, dans le poème Cage d’oiseau, l’auteur utilise