Champs Lexical Le Vampire

également omniprésent car associé a l ‘idée de mort. Le temps est personnifié dans ce sonnet, voire même allégorisé, comme l’indique la majuscule au second tercet : «  Le Temps mange la vie » (v.12), il devient même un vampire qui se nourrit du poète et de la vie en générale (champ lexical de la nourriture : « fruits », « aliment » …). L’alternance entre lumière et obscurité se manifeste à travers d’antithèses : « ténébreux orage » et « brillants soleils » (v.1 et 2). Le poète hésite ainsi entre l’ombre

Explication « L’Albatros », Les Fleurs du mal, Baudelaire, 1857-1861 Introduction Dans les éditions de 1857, six poèmes ont été condamnés : « Lesbos » ; « Les Bijoux » ; « A celle qui est trop gaie » ; « Femmes damnées » ; « Les métamorphoses du vampire » et « Le Léthé ». En 1861, on remarque l’ajout de 32 poèmes et surtout l’apparition de la section des tableaux parisiens. Le poème « L’Albatros » présente une analogie avec le poème parnassien du poète Théophile Gautier : « Le pain des landes » car

Œuvres & thèmes, Le Veston ensorcelé et autres nouvelles inquiétantes, guide pédagogique © Éditions Hatier, 2018 • page 1 Le Veston ensorcelé et autres nouvelles inquiétantes Guide pédagogique par Claire Pelissier-Folcolini CARNET DE LECTURE 2 Questions sur La Cafetière 2 Questions sur Le Portrait ovale 5 Questions sur Qui sait ? 7 Questions sur Le Veston ensorcelé 11 Questions sur Le Jeu du bouton 14 Questions sur Fonds d’écran • pages 101 à 108 16 DOSSIER THÉMATIQUE : LES FIGURES

commande et le poète va finir par se prendre d'amitié pour la jeune fille, une amitié qui finira par devenir  sincère. Nous verrons comment le poète tient à marquer les liens qui l'attachent à la jeune fille et comment il  tente avec l'âge d'immortaliser cette amitié à travers la force du champ poétique.    I­DES SENTIMENTS PARTAGÉS ENTRE LE POÈTE ET HÉLÈNE    A­ Des liens qui unissent le poète et la jeune fille    1)   2) Le rôle des articulations logiques  ­"Afin que" repris 2 fois  ­Anaphore de "comme"  ­Une ponctuation qui n'arrête pas le déroulement des quatrins 

posthume en 1842. Gaspard de la nuit est une évocation fantastique et onirique du Moyen-Age, dépeinte avec un romantisme noir (qui est caractérisé par l'emploi du registre fantastique, et par les thèmes de la haine de la bourgeoisie, du Moyen-Age, et du vampire). Baudelaire avoua que ce recueil fut le modèle de son poème le spleen de Paris, mais il inspira aussi les poètes surréalistes, en particulier André Breton, qui le qualifia de « en quête du merveilleux ». Nous allons maintenant étudier un poème extrait

Baudelaire commence avec une énumération de noms péjoratifs «  La sottise, l'erreur, le péché, la lésine » et il finit par une phrase nominale à ponctuation forte et une majuscule au nom important: « C'est l'Ennui! ». De plus, il écrit ce poème avec un champs lexical de l'enfer: « le péché » « Satan » « Diable » « Enfer » « Démons ». Ce spleen baudelairien est donc manifesté par un ennui qui amène aux enfers. Il écrit ensuite « LXXVI. - SPLEEN ». Il se dit, dans le premier vers, avoir mille ans et ne plus

ÉLÉMENTS DE CORRIGÉ – BAC BLANC ZOLA, GERMINAL , PARTIE 4, CHAP. 7 I. L’EVOCATION DE LA MISERE OUVRIERE1- Les mineurs, plongés dans une réalité misérable · Champs lexicaux de la pauvreté, de la faim et de la mort :· « deuil » l.4, « crevant » l. 8, « usée » l.5· « misère » l.4, « misérables » l.12· « affamée » l.5, « meurt-de-faim » l.21 · Enumération des maladies  avec des « détails

une phrase . ____________________________________________________________________________________ /1 12) A son retour au collège, qu’accepte-t-il finalement de devenir ? ( Un loup-garou - ( Un sorcier - ( Un vampire. /0,5 13) Avez-vous aimé ce livre ? Rédigez une phrase sur ce modèle  : J’ai aimé [n’ai pas aimé] ce livre car…………. De plus ………………  ______________________________________________________________________________________ /1

« Le Mort Joyeux » avec «  dans une terre grasse et pleine d’escargots ». En effet, le poète dans ce texte souhaite creuser sa propre tombe entraînant son repos éternelle parmi les vers (comparé avec des escargots) qu’il invoque « Ô vers ! «. Le champ lexical macabre et putride est redondant : « mes vieux os ; ma carcasse ; un mort; ce vieux corps… » Mais également dans tout le recueil avec « Alchimie de La douleur » : « cadavre » ou bien dans « La vie Antérieur » : « dépérir » évoquant une dégradation

d’Angéla, remplacée par les débris d’une cafetière. Cette fois-ci, la déchirure est bien présente. Les femmes ne se transforment pas en cafetière, ne se volatilisent pas ainsi. L’inquiétude née de cette perturbation est perceptible dans le champ lexical de la peur et de la mort : « précipitamment, adieu, cri, tomba, effroi, brisée, diabolique, frayeur ». Le lecteur se prépare au drame avec le retour du passé simple et le verbe chanta est le déclenchement de l’univers fantastique. Une violente