Champs Lexical Le Vampire

médiale et à la fin nous allons examiner un appel au professionalisme. Maintenant je passe à la lecture. 1.Description d’un monde sanquinaire et totalitaire a)Description de l’horreur -En lisant le texte on apercoit l’horreur de Timisoara -champs lexical de la violence l.4 „gens vidés de leur sang“ l.8.“ génocide, charniers, massacres, torture“l.18 „chambres de torture“ l.20 „cadavres“ -image forte qui cristalise le sens de la scène -images fortes: l.21 „on exposa devant les caméras dix-neuf

DIssertation les Fleurs du Mal copieLes Fleurs du Mal qui sont un recueil de poème écrit par Charles Baudelaire, a fait polémique dès la première publication en 1857. Baudelaire traite de sujets non conventionnels, qui ne sont pas en accord avec les bonnes moeurs de l’époque, il en fut condamné pour outrage à la morale publique. Baudelaire a été très mal compris il a fait parti des Poètes Maudit oeuvre de Verlaine. Il a eu la réputation d’être vicieux à travers ses poèmes scandaleux. D’ailleurs

l'histoire d'un vampire, c'est-à-dire un être immortel qui se repaît du sang des vivants, dont le nom s'inspire du surnom d'un personnage historique, Vlad Ţepeş (Vlad III l'Empaleur), prince de Valachie au XVe siècle. Le thème du vampire apparaît dès 1819 en Angleterre, en pleine mode du roman gothique et il sera exploité par de nombreux auteurs au cours du siècle comme Charles Nodier et Théophile Gautier en France. L'apport décisif de Bram Stoker à la fin du XIXe siècle est d'avoir fait du vampire, au-delà

qu’il traduit une souffrance impuissante « ô douleur » qui est suivie d’une constatation imagée qui définit l’attitude du temps : « obscur Ennemi », il est hostile, sournois ». De plus le temps est comparé a un monstre, à un vampire avec l’idée du sang. De plus on a le champ lexical de la destruction « manger, ronger ». Le passage du « je » au « nous » a la fin du poème évoque la fatalité pour tous les êtres vivants, à se résoudre à supporter l’accablement du temps qui passe. Également le temps semble

personnification de la terre qui «a refermé son poing » sur l’ « aurore », c.à.d. le bonheur d’autrefois  fait voir la luminosité tout à coup victime d’un monstre tout-puissant qui l’anéantit, l’enferme. - personnification de la mort-vampire (v.10) + « qui vient (…) qui va »  allégorie de la faucheuse. métaphore « notre vie (…) ensevelie » : on imagine un passé heureux désormais prisonnier de la terre, de la mort  fait ressentir la cassure irréparable. (cf : Image du « passé [qui] se

au vers 2, "tonnerre et pluie" au vers 3, "innondées" au vers 9, le champs lexical du climat. Ce dernier est associé à celui de la plantation et de la récolte. On note en appartenance avec celui-ci les expressions "fruits vermeils", "jardin" au vers 4, "la pelle et les râteaux" au vers 6, "terres" au vers 7, "creuse" au vers 8, "fleurs nouvelles" et "sol" aux vers 8 et 9. Ces champs lexicaux se complètent et créent un réseau lexical, celui des saisons. De plus, ce réseau est renforcé par la structure

précèdent immédiatement notre passage, Félix a été caractérisé par une attitude à la fois figée et empruntée (“les yeux fixes, immobile et rêveur”). Mais l᾿appari-tion de Mme de Mortsauf lui rend sa liberté de mouvement. C᾿est ainsi que l᾿on repère le champ lexical du dynamisme, avec une série de verbes de mouvement : “me rouler”, “éclatait”, “coula”, “je me haussai”, “je me plon-geai”, “en y roulant ma tête”, ainsi qu᾿une hyperbole associant les fantasmes du personnage à une expérience euphorique et libératrice

jeune âge entre cette dualité espoir désespoir. On le remarque également par des sons alternant douceur et agressivité --> allitération en "ie" "l" "s" s'opposent aux allitérations en "r" et "t" qui marque une certaine dureté et agressivité. Champ lexical de la ruine et de la désolation : ténébreux orage, tonnerre, pluie, ravage Tristesse marquée au dernier vers de la strophe --> qu'il reste, bien peu En mon jardin = son imagination Dans cette fin de strophe on remarque que la poésie devient

véritable recueil composé avec « fureur et passion ». Genre de l’œuvre Recueil poétique Registre de l’œuvre lyrique Poèmes dans lesquels Baudelaire rend hommage a des peintres Les phares Les grands thèmes du recueil Il utilise des champs lexicaux très variés : pluie, humidité, brume, froid, vieillesse, maladie, mort, couleurs sombres (gris, noir). Il en résulte l’ennui. Le Spleen malsain est rendu et cerné par des images extérieures, de paysages. Composition du recueil Le recueil s’organise

voyage? 3. Pour le narrateur, le personnage du cocher semble-t-il normal? Pourquoi?  Le personnage de Dracula 4. Indiquez à quel moment le portrait de Dracula devient inquiétant. 5. Relevez les éléments qui font peu à peu penser au portrait d'un vampire. 6. Quelle ressemblance notez-vous entre Dracula et les loups? Observez les lignees 3 et 4. Mettez les en lien avec certains aspects du portrait du comte. Que pensez-vous du choix de la comparaison ligne 32? A quoi sert-elle?  7. Dans un autre passage