Champs Lexical Le Vampire

Travail personnel à rendre vendredi 4 décembre : 1- Lecture analytique : Lire le texte « Le fils du vampire », de Julio Cortazar, 1945, p. 98-100 du manuel bleu et répondre de manière détaillée aux questions 1 et 2. N’oubliez pas de justifier vos réponses par des relevés lexicaux, grammaticaux, rhétoriques…et veillez à intégrer ces citations à vos réponses entre guillemets : soit derrière deux points explicatifs, soit en les insérant à une phrase de votre cru. 2- Travail d’écriture :

femme. Si vous avez besoin de le dire, c’est que vous ne l’êtes pas. » Tels sont les mots prononcés par Margaret Thatcher. Première femme à avoir occupé le poste de Premier ministre britannique. Charles Baudelaire, par son poème Les métamorphoses du vampire, met en avant cette aspect de la femme puissante. Cependant, par ce texte, il montré également que la « superpuissance » de la femme va lui porter préjudice. L’auteur de Les fleurs du mal, met également en avant le thème de l’union de l’amour et de

comique). Vous recourez à des comparaisons (exemple: sa bouche était charnue et rouge comme les coquelicots; ses yeux étaient d'un vert pareil aux algues de la mer). 2. Rédigez le portrait d'un personnage fantastique (un magicien, un fantôme, un vampire, un monstre, le diable, la mort). Vous respectez les contraintes de l'exercice 1 mais vous attachez aussi une importance particulière aux habits et aux caractéristiques du personnage fantastique. 3. Rédigez le portrait moral d'un personnage

Analyse du poème « les Djinns » de Victor Hugo Premier axe : la religion salvatrice 1. Les champs lexicaux  Sont présents : - Le lexique des démons et de l’enfer («Djinns», «vampires et dragons», «démons», «hideuse armeé») - Celui de la religion et de la prière («Prophète», «prosterner», «sacrés encensoirs», «portes fidèles») - Mis en relation celui du sauvetage/échec («sauve», «meure», «en vain», «ils sont passés») Montre que les prières effectuées par le narrateur va permettre

contradictoires : Champ lexical des sensations, avec des antithèses :……………………………… -Noter le rythme haletant, heurté des vers 273 à 276 :……………………. Les conséquences physiques sont celles d’une maladie ; métaphore filée de la maladie : symptômes d’aphasie, de paralysie, d’aveuglement, d’oppression, avec des négations « ne »vers 275. Depuis, Phèdre désire Hippolyte (au XVIIème, les bienséances interdisent d’évoquer le corps, donc Racine utilise une métaphore, celle de la déesse-vampire, vers 306. Phèdre

retenu prisonnier et est victime de créatures surnaturelles. Simultanément d'autres personnages vont être victime du comte et vont s'allier pour le vaincre, s'en suivent de nombreuses péripéties opposant les personnages aux différentes formes du vampire. L’œuvre se termine par un affrontement opposant le comte et les différents protagonistes, qui débouchera sur la mort du Comte et de Quincey MORRIS mettant un terme au vampirisme. Nous avons choisi d'étudier un extrait du chapitre III ; cet extrait

annonce de l'axe oubliée, pas nette ou mélangée à la première sous-partie.b․ Axes trop vagues au lieu d'annoncer un projet de lecture ou confusion d’un axe avec une idée : ∙ " Le champ lexical du ressenti est très présent dans le texte » ∙ « Le fantastique domine le roman ; le vampire est un être surnaturel et quand on parle ou lit des choses qui font partie du fantastique, cela à tendance à nous intriguer. » ∙ « Mina est maîtresse de son récit malgré

le Horla dans « l’influence fiévreuse », « un sort ». Le Horla est d’abord présenté comme une image puis fini par porter un pronom personnel. « Influence fiévreuse », champs lexical de la malade « pâleur » « souffre du même mal que moi »… Le Horla d’abord comme une grippe, une terreur nocturne, puis comme un sort, puis comme un vampire (un amant ?), puis comme une forme, puis comme une personne métamorphose. Jean apparait au début : le Horla est là depuis le début, le narrateur essaie de faire surgir

travail… travail des autres… on sème… les autres ont semé… » (l. 4-5) soulignent la fracture qui s’est opérée entre les travailleurs et ceux qui les exploitent. Louise Michel dénonce la stérilité du capital en filant la métaphore de la culture (champ lexical « coin de terre cultivé », « on sème », « semailles », « fécondes », « haute et touffue », « gerbes », « terre », « sol », « fécond », « stérile »). Le troisième paragraphe propose une vision quasi apocalyptique : « les pourritures sociales sont

Changement de registre - Changement de lexique - Présence du tiret - Présence de majuscules désignant l’Ennemi II. Lechamp lexical II.1. Les trois premières strophes L’eau est l’agresseur comparable au déluge, à l’orage (tonnerre et pluie), qui provoque noyade et mort. L’eau est présente dans les trois premières strophes. L’Ennemi, c’est elle. L’autre champ lexical est celui du jardin, de la terre cultivée. On ne le retrouve lui aussi que dans les trois premières strophes. Chaque étape de