Changement climatique

généralement du développement durable. 10 années au cours desquelles l’entreprise s’est toujours fixé des objectifs ambitieux et s’est toujours attelé à les atteindre. CMA CGM s’est fixé 3 grands axes de travail stratégiques : Energie, Changement Climatique et Qualité de l’air; Océans, Environnement marin et biodiversité; Innovations, solutions et services de transport durable. Concevoir et exploiter des navires toujours plus efficients, toujours plus respectueux de l’environnement, est une

l’ambition de devenir une véritable Eco-région en anticipant les changements à venir, grâce notamment à l’éducation au développement durable et à la concertation. Dans le cadre de l’agenda 21 régional lancé en 2006, elle s’engage aujourd’hui vers une politique active en matière d’énergie et de climat appelée Défi’NeRGIE Basse-Normandie pour : réduire les émissions régionales de gaz à effet de serre responsables des changements climatiques. Ces émissions sont de deux ordres : celles produites par la

de l’organisation de l’agrobusiness correspond ce document ? document 5 : Élevage industriel et développement durable ? Manger moins de viande pour sauver la planète ? L'élevage est une des principales causes du réchauffement climatique Les professionnels ripostent aux « journées sans viande », qui se multiplient. Manger moins de viande, c'est bon pour la planète. Impossible d'ignorer le message : la consommation de produits carnés a fait, à l'occasion du sommet de Copenhague sur

des espèces menacées en 1973, La convention MARPOL sur la pollution par les navires en 1973/1978, La convention CMS sur les espèces migratrices en 1979. Après Rio en 1992 : La convention CDB sur la diversité biologique, la CCNUCC sur le changement climatique, Le Protocole de Kyoto en 1995. 3. Un phénomène pourtant ancien Les phénomènes à l’origine du DE sont anciens : La pollution la pollution n’est pas une nouveauté puisque dès l’antiquité et le Moyen Age il y avait une pollution des ville

Plaidoyer pour les énergies renouvelables Le 1er février sera publié le rapport du Groupement intergouvernemental sur les changements climatiques (GIEC) dont la parution a lieu tous les quatre ans. Une fois de plus sera posé le grave problème du réchauffement de la planète. Cette question majeure plaide pour le développement des énergies naturelles renouvelables, l’éolienne comme les autres, si l’on désire conserver un niveau raisonnable de confort dans les pays développés et élever considérablement

régional : mondialisation de l'économie et mise en compétition des grandes métropoles, inégalités sociales et territoriales, changement climatique et crise énergétique, etc. Le SDRIF mis en révision, se veut axé sur la densification et le transport collectif. La ville compacte est présentée comme la réponse à l’étalement urbain, à l’anticipation de la mutation climatique et au renchérissement des énergies fossiles. L’objectif est de densifier autour de Paris plutôt que de renforcer la périurbanisation

et celle des trois "piliers" (économie, social, environnement) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. Parallèlement à l'ouverture de trois grandes conventions internationales - sur le changement climatique, sur la biodiversité, sur la désertification-, les 27 articles de la déclaration de Rio sur l'environnement et le développement posent les principes du développement durable et d'une action concertée des États pour ce faire.

et entraînant la mort de quelque 1800 personnes, était justement l’un de ces signaux. Rappelons qu’une vague de chaleur intense avait provoqué, en 1995, la mort d’environ 700 personnes à Chicago, focalisant l’attention des États-Unis sur le changement climatique, mais ce n’était qu’un phénomène de peu d’importance par rapport à la vague record qui a frappé l’Europe en 2003, causant quelque 70 000 victimes, dont une forte proportion de personnes âgées. Malheureusement, selon certains spécialistes de

l’environnement est adoptée en France et intégrée au préambule de la Constitution par la loi constitutionnelle de 2005. En 2007, le Grenelle de l’environnement est lancé et formalise 265 engagements déclinés suivant 4 axes : 1. la lutte contre le changement climatique ; 2. la préservation et la gestion de la biodiversité et des milieux naturels ; 3. la préservation de la santé et de l’environnement, tout en stimulant l’économie ; 4. l’instauration d’une vraie démocratie écologique. Sa traduction

l’entreprise, mais également les risques sociaux, environnementaux et de gouvernance auxquels fait face cette entreprise. Le risque lié à l’environnement : En évaluant son impact sur la biodiversité, l’aménagement du territoire, les émissions, les changements climatiques et l’utilisation de l’eau, les activités de l’entreprise ont-elles un effet négatif sur l’air, la terre ou l’eau? Le risque lié à la société : L’entreprise respecte-t-elle les droits de l’homme et assure-t-elle la sécurité des travailleurs