Chanson de geste

Analyse de ma chanson La blessure J'ai pas osé appeler mon père C'était le soir du jour de l'an J'avoue que j'y ai pensé longtemps Mais j'ai encore trop de colère C'était lorsque j'avais neuf ans Il m'a fait mal, il m'a blessée Je n'étais encore qu'une enfant Dites-moi pourquoi il m'a touchée ? Y a rien qui peut expliquer ça Des gestes posés sans réfléchir Qui brisent la vie de ceux qui l'ont subit À cette époque, j'avais confiance En l'homme d'où provenait ma naissance

« Angela », Yannick Noah Présentation de l’œuvre : « Angela » est une chanson, qui a parue sur l’album Frontières en 2010, et chantée par Yannick Noah. Cette chanson française dure 3min 57, et a été produite par Robert Goldman. Dans le clip de ce morceau, on voit notamment des extraits de Martin Luther King ou encore des extraits des discours d’Angela Davis. Problématique : Comment une chanson révèle- t- elle l’engagement d’un artiste ? Biographie : Yannick Noah est un joueur de tennis et chanteur

des Seigneurs. LA POESIE MEDIEVALE - la chanson de geste célèbre les exploits et vertus guerriers Þ magnifier le souverain, souder la collectivité - la poésie lyrique Þ courtiser la femme aimée - la poésie savante s’adresse à un public cultivé Þ jouer avec le langage. La poésie devient plus écrite, avec une recherche de virtuosité verbale Poésie conçue pour la récitation orale : la versification favorise la mémorisation. La chanson de geste - thèmes : guerre, héroïsme, courage - formes :

Comparons le roman avec son genus proximum dans l’ensemble du discours narratif, à savoir le genre épique ; nous prendrons comme exemple les débuts de deux œuvres narratives presque contemporaines. Le premier appartient à la Prise d’Orange, chanson de geste de la fin du XIIe siècle : Oëz, seignor, que Dex vos beneïe, Li glorïeus, li filz sainte Marie, Bone chançon que ge vos vorroie dire ! Ceste n’est mie d’orgueill ne de folie, Ne de mençonge estrete ne emprise, Mes de preudomes qui Espaigne

féerique – baśń nie! bajka Les contes – d’origine orale Les légendes, les chansons de geste, la saga, les mythes, les anegdotes – aussi d’origine orale LES MYTHES La forme la plus ancienne Les histoires des divinités Ils présentent la vérité La forme – la poésie La fonction sociale – réligion Ils présentent les croyances d’une communauté P.ex. la fondation de Rome – Romus et Remulus LES CHANSONS DE GESTE Elles glorifient les chevaliers et les rois, les personnages historiques

poète est un artiste |LA POESIE MEDIEVALE |la versification favorise la mémorisation. | | |Trouvères, troubadours, jongleurs et |- la chanson de geste célèbre les exploits et vertus |La chanson de geste | | |ménestrels, chantent des vers en |guerriers |- thèmes : guerre, héroïsme, courage | |

chant composé par les anciens. - Les manôdharma sangîta, chant improvisé avec des techniques diverses. - Le padam, est un chant ancien sérieux dansé par les femmes de Tanjore, au sud de l'Inde. - Le kirtanam, c'est un chant. - le tillana est chanson courte et rapide jouée en conclusion de concert ou de danse. Si la musique instrumentale ou vocale est à la danse, elle n'est jamais liée au théâtre, contrairement aux autres musiques asiatiques de l'aire bouddhiste. - La danse : La danse

des Seigneurs. LA POESIE MEDIEVALE - la chanson de geste célèbre les exploits et vertus guerriers  magnifier le souverain, souder la collectivité - la poésie lyrique  courtiser la femme aimée - la poésie savante s’adresse à un public cultivé  jouer avec le langage. La poésie devient plus écrite, avec une recherche de virtuosité verbale Poésie conçue pour la récitation orale : la versification favorise la mémorisation. La chanson de geste - thèmes : guerre, héroïsme, courage - formes

représentants + « la barricade » = métonymie qui soude les insurgés en un groupe solidaire, solide,vs gardes nationaux « riaient en l’ajustant » : absence de pitié, pourtant Gavroche = un gamin inoffensif et attendrissant. + rôle de la chanson, inspirée d’une chanson pop avec allusion aux philosophes « Voltaire et Rousseau » = allusion aux idéaux de la révolution de 1789 + parodie des plaintes monarchistes qui accusaient ces philosphes des malheurs et atrocités de cette même révolution. + dépeint aussi

appétits d’une branche cadette de la descendance de l’omne bueno Alphonse Martinez. Cette partie du lignage d’Olivera, lignage dont la consolidation de devait guère remonter bien au-delà du tournant des XIVe et XVe siècles, s’employa, d’un seul et même geste, à grossir sa fortune en captant un héritage qui ne lui revenait pas -ou, plus vraisemblablement, en revendiquant un faux héritage- et à élaborer, autour de l’initiateur de son essor, le « roman familial » de ses nobles origines. Mon étude pourrait