Chant 8 Homere

apercevrait même l'ombre d'un dénouement au dernier tercet. Le vers 7 « Suprême une entre les épaves » est l'apposition anticipée de « mât » qui apparaît au vers suivant. Le mat serait la plus haute et la dernière épave parmi toutes les autres. Dans le vers 8 « Abolit le mât dévêtu » le verbe « abolir » présente hyperboliquement la destruction ce « mât » qui est « dévêtu » de ses voiles. On relève donc la nature conjecturale de l'imagination dans ces quatrains de par la « trompe sans vertu », « les épaves »

- trident - dauphin 5 HEPHAISTOS Dieu du feu terrestre et des forgerons Pinces, marteau 6 APHRODITE Déesse de la beauté et de l'amour colombe - pomme- rose 7 ATHENA Déesse d'Athènes, protectrice olivier - chouette - lance - bouclier 8 ARES Dieu de la guerre casque - bouclier - lance - coq 9 APOLLON Dieu du Soleil, de la musique, poésie soleil - arc - lyre - 10 DÉMÉTER Déesse de la terre, des moissons épi de blé - porc 11 HADES Dieu des enfers chien Cerbère - fourche à

.....................................................................7 Brecht et la Poétique d'Aristote .............................................................................................................................7 Brecht et Diderot 8 Actualité de la distanciation ......................................................................................................................................9 La distanciation, un thème récurrent à l'analyse médiatique ?......................

pleure dans mon coeur. Recueil : Romances sans paroles. Il pleure dans mon coeur,Comme il pleut sur la ville,Quelle est cette langueur,Qui pénètre mon coeur ?Ô bruit doux de la pluie,Par terre et sur les toits !Pour un coeur qui s'ennuie,Ô le chant de la pluie !Il pleure sans raison,Dans ce coeur qui s'écoeure.Quoi ! nulle trahison ?Ce deuil est sans raison.C'est bien la pire peine,De ne savoir pourquoi,Sans amour et sans haineMon coeur a tant de peine ! Paul Verlaine J'ai tant rêvé de

au chœur (l’ensemble des chanteurs). Un deuxième acteur puis un troisième sont introduits par Eschyle puis par Sophocle. De cette origine religieuse, le théâtre conserve des scènes rituelles (scènes de deuil, de sacrifice, de supplication) et des chants en l’honneur des dieux. Sur la scène se trouve un autel dédié à Dionysos, intégré dans la mise en scène et dans l’action de la pièce. La statue du dieu est transportée au milieu de l’orchestra, là où évolue le chœur, et elle y reste pendant toute

) et il faut attendre le 17e pour voir apparaître les premières définitions stable du genre. Au Moyen-Age, la littérature narrative épique s'impose à travers un genre très particulier qu'on appelle la chanson de geste, forme de poésie destinée au chant ( Chanson de Roland ). Ce genre valorise le côté sublime du héros. Le roman se différencie des autres par le fait qu'il échappe à toutes codifications strictes. Le roman est récit, le mode de représentation est indirecte contrairement au théâtre. La

de l'innocence universelle s'adonnent à la vie pastorale, ils sont naïfs et pieux. Ils créent des formes poétiques, c'est l'âge du lyrisme. Les temps antiques Les États se constituent, les guerres naissent de leur constitution même. La poésie pour chanter la guerre évolue du lyrisme spontané au poème héroïque ou à la tragédie. C'est l'âge de l'épopée. Les temps modernes le spiritualisme chrétien oppose le corps et l'âme, la terre au ciel. L'homme sent le combat qui se livre en lui . Cette opposition

Une bonne journée. Le but consiste à tenir jusqu’au printemps, dont le premier jour constitue une « bonne journée » : le retour du soleil. De plus, un fait divers prend toute son importance : à midi, il y aura deux fois plus de soupe : 3 litres 8- En deçà du bien et du mal. Dans cette micro-société, les systèmes d’échanges entre vêtements et nourriture ne manquent pas (vol, troc…). Les Grecs détiennent le monopole de la « Bourse ». Des « bons-prime » officiels de la Buna, qu’on retrouve aussi

 La question de l’homme dans le genre de l’argumentation : Le mythe SOMMAIRE : 1) Définition et perspective du Mythe (page 3) A) Mythe de Sisyphe  (page 4) B) Mythe de pygmalion (page 6) C) Mythe de Prométhée (page 8) 2) Mythe contemporain (page 9) A) Définition B) Le mythe : Marylin Monroe Bibliographie  1) Définition et perspective du Mythe Un mythe est un récit explicatif, imaginaire, d'origine populaire ou littéraire. Il met en scène des personnages

 » (p.50-52) 3) Une scène fantastique : « Oui. Je vois…dans les flammes. » (p 125-127) 4) Une fin peu glorieuse : « le signal fut donné... » jusqu’à la fin du chapitre. (p. 200-202) Lectures cursives  d’extraits : Homère, Iliade, p.100 du manuel, extrait du chant XXII, la mort d’Hector. Laurent Gaudé, Le Tigre bleu de l'Euphrate, 2002, le dénouement. Laurent Gaudé, « Pourquoi écrire », 2001. Lecture cursive d’une œuvre intégrale : Les Ames grises de Philippe Claudel, 2003 ou