Chant D Automne

|février |mars |avril |mai | Chaque saison dure 3 mois. | |hiver |printemps |été |automne |hiver |printemps |été |automne | | | |2003 |2004 | | Les saisons se suivent. Quelques repères :

L'Odyssée d'Homère (traduction de Leconte de Lisle, 1818-1894) Chant 12 : La nef, ayant quitté le Fleuve Okéanos, courut sur les flots de la mer, là où Hèlios se lève, où Éôs, née au matin, a ses demeures et ses choeurs, vers l'île Aiaiè. Étant arrivés là, nous tirâmes la nef sur le sable ; puis, descendant sur le rivage de la mer, nous nous endormîmes en attendant la divine Éôs. Et quand Éôs aux doigts rosés, née au matin, apparut, j'envoyai mes compagnons vers la demeure de Kirkè, afin d'en

209-212) depuis « Tous attendaient » à « nous séparer » → L’héroïsme en question : * Du héros classique à l'anti-héros : évolution du personnage romanesque 1-Le héros épique, héros traditionnel : -Homère, L'Iliade (IXe-VIIIe s. B.C), « Achille », chant XVIII passim «Nous savons, reprend l’agile déesse (Iris), que les Grecs possèdent à présent tes armes […] sa tête, autrefois si belle, traîne sur le sol. » - Joseph Bédier, Tristan et Iseut (1900-1905), Chapitre II, «Au jour dit, Tristan se plaça[

et tous les enfants entendent la musique et huit et huit à leur tour s’en vont et quatre et quatre et deux et deux à leur tour fichent le camp et un et un ne font ni une ni deux un à un s’en vont également. Et l’oiseau lyre joue et l’enfant chante et le professeur crie : Quand vous aurez fini de faire le pitre Mais tous les autres enfants écoutent la musique et les murs de la classe s’écroulent tranquillement Et les vitres redeviennent sable l’encre redevient eau les pupitres redeviennent

bourdon: une technique entre tradition et modernité: - La pluie tombe sur nous, chanté par Evelyne Girardon (traditionnel) - Quand je marche de Camille III - Le timbre: un procédé au service de la transmission orale. Sur le timbre de "Dans cette maison à quinze ans": 
- La liberté des nègres du citoyen Piis, chanté par Marc Ogeret - Les cinq étages de Pierre-Jean Berranger chanté par Germaine Montéro 

Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs

vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves de charbon2 monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes ; Et quand viendra l’hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières

mâts, sans mâts, ni fertiles îlots... Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots! Stéphane Mallarmé Soleil couchant Le soleil s'est couché, cocarde de l'azur! C'est l'heure où le fellah, près de sa fellahine, Accroupi sur sa natte, avec son doigt impur, De son nombril squameux épluche la vermine. Dans la barbe d'argent du crasseux pèlerin Dont le chauve camail est orné de coquilles, Ivre et fou de printemps, le pou chante un refrain, Plus heureux que le roi de toutes les Castilles. Sur

vivait en Rhénanie et a été exécuté en 1803.  Le poème est composé de 8 quatrains d’octosyllabes. On peut voir premièrement, que chacun des bandits vaque à ses occupations. Par exemple, à la ligne 5, « Benzel […] lit la Bible » , on voit que Hannes chante car il « pousse une fausse note » à la 11ème ligne.  Il y a aussi des passages qui nous décrivent l’ambiance sonore : de la ligne 1 à la ligne 20 et de la ligne 23 à 28, on a du discours direct. Comme il n’y a plus de ponctuation, cela se voit par

beau poème aussi. Et le dernier poème, A celle qui est trop gaie, de Charles Baudelaire également. Les colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent

vocabulaire des saisons utilisé dans ce début de chapitre doit surtout être compris dans un sens symbolique et élargi, comme dans le titre de l'œuvre. Ce n'est pas unesaison au sens strict que Rimbaud a passée en enfer mais toute une période de sa vie. L'"automne" annonce la fin de cette "saison", où le "damné" se retrouve épuisé (comme la nature à la fin de l'été) et désespéré, après la crise. L'"éternel soleil" est le symbole du bonheur, bonheur terrestre et profane, que le damné a perdu. Par opposition