Chantal Delsol

Fredet paru dans le Nouvel Observateur du 14 Avril 2010.L’humoriste à pour but de faire réagir et ce quelles qu’en soient les limites. C’est un article publié dans Valeur actuelles le 20 Janvier 2015 qui constitue le troisième document. L’auteur, Chantal Delsol propose un définition de la liberté de pensée. Le dossier se clôt sur quatre dessins dont deux font la unes de Charlie Hebdo et les deux autres signé Plantu. Les caricaturistes, Riss, Charb et Plantu pratique un humour décalé tout en évoquant

Intervention de Mme Chantal DELSOL, Professeur des Universités 150 ans après Darwin, 70 ans après Teilhard 13-14 Novembre 2009 Pour les hommes de notre temps, comment garder le goût de vivre et fonder l’espérance ? Les intervenants précédents ont montré un certain nombre de ruptures mais en quoi ces ruptures changent-elles le sens de la vie ou peuvent-elles nous donner de l’espérance ? Ce qui m’a frappée c’est que la question du titre du colloque est extrêmement connotée ; Allier les

sur les milieux intellectuels et politique français des années 1930 aux années 1950. Il a influencé, entre autres, les milieux de l’éducation populaire et plus tard de l’éducation spécialisé les libéraux-chrétiens notamment conservateurs dont Chantal Delsol. Naissance du personnalisme des années 1900 à 1930 Le terme personnalisme a été inventé par Charles Renouvier dans une optique Kantienne en 1930. Kant pourrait donc passer pour le vrai fondateur du personnalisme. En effet, Kant, en mettant

estimable. Dans son livre « La Mal français », Alain Peyrefitte (1925-1999) indique que le refus de la France de s'inspirer de la culture des autres pays ou des autres nations est l'un des ses défauts irréductibles. Quant à la philosophe française Chantal Delsol, elle a dit la phrase suivante qui a été citée par beaucoup de médias : « Une nation tellement brillante, comment a-t-elle pu devenir maintenant aussi médiocre, aussi renfermée et aussi obstinée dans ses préjugés. » Les Français font quelque

2004, le Figaro a lancé un grand débat intitulé « Ce que signigie d’être Français », et ainci plus de 40 politiciens, économistes, sociologues, philosophes ont participé à cette discussion. A ce moment-là, un commentaire classique du philosophe Chantal Delsol est devenu l’objet de nombreux médias : « comment un telle glorieuse nation est devenue si banale, si ennuyeuse, si limitée dans leur propre préjugé...... Aujourd’hui, le sens d’être Français est que nous nous désolons de qualités qu’on n’a plus

fr/publications/revue/sommaire/71resu.htm -Actes du colloque organisé à l‘Académie des Sciences Morales et Politiques par l‘Association des Amis de Michel Villey et l‘Institut Hannah Arendt - Université Paris Est. (Vendredi 19 octobre 2007).Textes réunis par Chantal Delsol. http://www.asmp.fr/travaux/colloques/2007_10_19_prudence.pdf

en point de vue similaire comme La Malheure de France, A Dieu à la France du passé, et L’Hillusation Gaulois. L’ été de l’année 2004, dans la discussion «Ça signifie quoi en tant qu’ un français» déclenchée par le Figaro, un philosophe français Chantal Delsol, a noté que «Comment une nation, qui était glorieuse et splendide, se trouve-t-il aujourd’hui dans un état banal, gris, et contraint sur ses propres préjugé? La signifiance en tant qu’un français est de rendre hommage aux qualités que l’nous

and among both leftists and rightists.25 All these groups 22. Carl Schmitt, Political Theology, op cit., p. 5 (translation altered). 23. Julien Freund, L’essence du politique, op. cit., p. 125. 24. Cf. Paul Hirst, “Carl Schmitt’s Decisionism,” in Chantal Mouffe, ed., The Challenge of Carl Schmitt (London: Verso, 1999), pp. 7-17. 25. For example, Joseph de Maistre, who was influenced by Bodin, wrote that: “any sort of sovereignty is absolute by nature,” i.e., in a way, it always is despotic, since

"Entrepreneurial Discovery and the Competitive Market Process : An Austrian Approach", Journal of Economic Litterature, vol. XXXV, March 1997, pp. 60-85. Millon-Delsol, C., L'Etat subsidiaire, Ingérence et non ingérence de l'Etat : le principe de subsidiarité aux fondements de l'histoire européenne, Paris : PUF, coll. Léviathan, 1992. Millon-Delsol, C., Le Principe de subsidiarité, Paris : PUF, coll. Que sais-je ?, 1993. Naudet, J.-Y., "Le Principe de subsidiarité : ambiguïtés d'un concept à la mode"

La banalité du mal selon S.Weil et H.Arendt Chantal Delsol Je suis consciente de l’indignation douloureuse que suscite chez nos contemporains l’expression même de « banalité du mal ». Et cette indignation justement, rend utile la réflexion sur ce sujet. Nos deux auteurs sont proches par l’irruption dans leur vie et dans leur chair de la catastrophe historique que constitue le nazisme. Devant cet événement, elles ne pouvaient pas l’une et l’autre ne pas poser la question du mal. La comparaison