Chapeau claque

jamais ! ' Ma doudou m'a dit Ma doudou m'a dit t'es pas doué mais dis donc, tu t'es pas regardé ho bas ho, ho bas, ho bas bas ho (bis). Mon chapeau à quatre bosses Do Mon chapeau a quatre bosses Sol Do Quatre bosses à mon chapeau Sol S'il n'avait pas quatre bosses Do Ce n'serait pas mon chapeau ! Découpage des gestes: mon : main sur la poitrine chapeau : main sur la tête a quatre : on montre quatre doigt s'il n'avait pas : mains écartées, en signe d'impuissance ce n'serait pas : l'index s'agite

échapper un bâillement avant de se lever et s'éclaboussa le visage avec de l'eau froide. Elle soupira et se regarda dans le miroir. Sacs noirs étaient de premier plan sous les yeux et un bleu commençait à se former à côté de ses lèvres. Elle fit claquer sa langue avec agacement. Si elle n'avait pas choisi un combat avec ce chevalier qui l'a tâtonné au bar où elle travaille, ce ne serait pas arrivé. "Je suis à la maison." Elle tourna son attention vers la porte. "Maman, tu rentres tôt." "Le propriétaire

ACTE 1La chambre de Margaret : une vaste pièce confortable, au deuxième étage d’une grande maison aristocratique du début du siècle, dans les faubourgs chic de Knowxville, Tennessee. Avec un grand lit en cuivre, deux penderies, une coiffeuse avec miroir, une chaîne stéréo sur une étagère, un appareil de gymnastique d’appartement. Deu x portes : une donne sur la salle de bains, l’autre sur le palier. Une grande fenêtre avec un siège intégré est suggérée à l’avant-scène. La chambre

ours traîne les pattes. Ses bras, sans osciller, pendaient bal- lants à ses côtés. Le premier homme s’arrêta net dans la clairière, et son compagnon manqua de lui tomber dessus. Il enleva son cha- peau et en essuya le cuir avec l’index qu’il fit claquer pour en faire égoutter la sueur. Son camarade laissa tomber ses 8 Des souris et des hommescouvertures et, se jetant à plat ventre, se mit à boire à la surface de l’eau verte. Il buvait à grands coups, en renâclant dans l’eau comme un cheval. Le petit

c’est fait. Dût rugir de honte le canon, Te voilà, nain immonde, accroupi sur ce nom ! Cette gloire est ton trou, ta bauge, ta demeure ! Toi qui n’as jamais pris la fortune qu’à l’heure, Te voilà presque assis sur ce hautain sommet ! Sur le chapeau d’Essling tu plantes ton plumet ; Tu mets, petit Poucet, ces bottes de sept lieues ; Tu prends Napoléon dans les régions bleues ; Tu fais travailler l’oncle, et, perroquet ravi, Grimper à ton perchoir l’aigle de Mondovi ! Thersite est le neveu

17 décembre 2013 Evaluation de Cinéma Sujet 1 type Bac 1ere partie : Scénario PANIQUE 1) BAR - INT - NUIT Les yeux de LEON sont fermés, ses sourcils sont froncés, son front plissé et perlé de sueur sous son chapeau de feutre noir, ses joues et sa bouche étirés par la crispation générale de son visage. C'est un homme entre 25 et 35 ans, aux yeux marrons, rasé de prêt, aux traits doux malgrés la déformation imposée par un rictus de panique. Un coup de feu proche retentit

Sommaire Le théâtre au xixe siècle -La scène -les acteurs -Le public -La claque -Les lieux Les genres théâtraux -La pantomime -Le mélodrame -Le Vaudeville -Le drame romantique et Hugo. Introduction : Au XIXe siècle, beaucoup de personnes vont au théâtre, (surtout à Paris), aussi bien les riches que les pauvres. A cette époque de nouveaux genres apparaissent ; d’un côté il y a des genres dit « nobles » tel que le drame romantique (et la tragédie et la comédie chez les

(rapport de dépendance) Ex: Je vais me promener Proposition principale puisqu'il fait beau. proposition subordonnée. La proposition principale est dite principale car elle régit (commande) la seconde proposition (qui est subordonnée) Ex: Je prends le chapeau de soleil Proposition principale que tu m'as offert proposition subordonnée pour la promenade. complément. LA SUBORDINATION est donc l'un des modes de composition de la phrase complexe. Elle peut se définir comme un rapport hiérarchique. II)

une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.   Après une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.   À côté d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.  

Gouttes gouttelettes de pluie Mon chapeau se mouille Gouttes gouttelettes de pluie Mes souliers aussi Je marche sur la route Je connais le chemin Je passe à travers gouttes En leur chantant ce gai refrain Gouttes gouttelettes de pluie Mon chapeau se mouille Gouttes gouttelettes de pluie Mes souliers aussi Je marche dans la boue J'en ai jusqu'au menton J'en ai même sur les joues Et pourtant je fais attention Gouttes gouttelettes de pluie Mon chapeau se mouille Gouttes gouttelettes