Chapelle des Mages

Medicis). Chapelle commencée en 1420. Doit servir de chapelle funéraire pour Jean de Médicis, le père de Côme l’ancien, et son épouse. Les banquiers florentins font pardonner leur très grande richesse et leurs manœuvres financières par des constructions religieuses qui fonctionneraient comme une dîme. On a ici le premier exemple d’un édifice à plan centré = plan privilégié souvent par les architectes de la Renaissance (Michel Ange avait prévu un édifice centré pour St Pierre de Rome). Chapelle qui se

entièrement décorées * vaisselle de table => toute la seconde moitié du XVIe b. Les artistes LEONARD LIMOSIN Vient de Limoges, introduit à la cour de François Ier, deviendra le peintre du Roi Henri II, notamment les retables de la Sainte Chapelle (conservés au Louvre) Tableau = l'incrédulité de Saint Thomas = son seul tableau conservé au musée de Limoges ex: Plaques à sujet mythologique du Louvre ex: Portrait d'Anne de Montmorency * grande plaque ovale travaillée au repoussé = sans

place du Château, place d’Austerlitz et place du Corbeau C hristkindelsmärik, place Broglie L es marchés de Noël, place • Les saveurs alsaciennes, place des Meuniers, avec les Irréductibles petits producteurs d’Alsace • Le comptoir des Rois mages, place Benjamin-Zix, avec l’association des commerçants de la Petite France • Le Carré d’Or, place du Temple Neuf, avec l’association des commerçants du Carré d’Or L e marché de Noël, du terroir et de l’artisanat, place de la Gare M archés thématiques

religieuses sont sur le point d'annuler l’inauguration. Finalement la météo s'améliore. Les Lyonnais disposent de bougies à leurs fenêtres, et lorsque la nuit tombe, la ville entière est illuminée. Les représentants religieux suivent le mouvement et la chapelle de Fourvière apparaît alors dans la nuit. C'est à partir de ce soir là, le 8 décembre 1852, la fête des Lumières est née. Depuis ce jour là les Lyonnais disposent de petits lumignons aux bords de leur fenêtre et des artistes viennent installer leur

sont écrasés par le poids du Christ. On ressent encore une fois l’atmosphère de la scène par les jeux de tensions, de couleurs et de la pyramide des corps, ce qui donne tout son réalisme. George Lallemand/ L’adoration des Mages  Huile sur toile /1629 L’Adoration des Mages est marquée son caractère maniériste exprimé à travers le style anguleux des drapés, la vitalité de la couleur et la richesse ornementale des costumes. Subtilité de la composition de l’œuvre, c’est un puzzle de personnages

m’emmènerez un jour dans le royaume de Dieu… et puis dans votre chambre !… » Par ailleurs, le recueil des Poésies de Georges Schehadé, dans notre édition de travail, inclut un petit mystère théâtral traité sur un mode comique représentant les Rois Mages suivant l’Etoile le jour de Noël de l’an zéro (p. 150-159). Ces deux textes théâtraux, qui, plus que la poésie, se prêtent à des développements diégétiques, révèlent l’importance de la fable chrétienne pour Georges Schehadé, avec cette particularité

le Christ et saint Jean-Baptiste dit la Belle Jardinière (1507-1508), 122 x 80 cm, Musée du Louvre, Paris. ← L'École d'Athènes (1510-1511), fresque d'environ 10,55 m de largeur, Palazzo Vaticano, Rome. ← Cartons des tapisseries de la chapelle Sixtine, sur la demande de Léon X (1515), Victoria and Albert Museum, Londres. ← Le Jugement de Pâris, gravé par Marcantonio Raimondi. ← Donna Velata (vers 1514-1515), 85 x 64 cm, Galleria Palatina, Florence. Portrait d'une femme voilée

Noël le 25 décembre commémore la naissance de Jésus : un grand repas composé de plats copieux suit la messe chez les familles nobles et bourgeoises. - L'Épiphanie commémore la venue des rois mages : les familles les plus fortunées assistées à de grandes représentations théâtrales qui représentaient les mages - Les fêtes (or les temps de Carême) sont également l’occasion des tournois (particulièrement chez la noblesse) : ce sont un ensemble d'épreuves équestres avec des affrontements entre chevaliers

s’est fortement raccourcie. Dorénavant nous pouvons compter trois de ses œuvres comme étant certaines qu’elles proviennent de sa main : la première, signée, est achevée en 1181 et constitue l’Ambon de Klosterneuburg, la deuxième est la Châsse des Rois Mages de Cologne, non signée sur laquelle il a commencé à travailler aux alentours de 1184 et finalement le reliquaire de Notre-Dame à Tournai, signée celle-ci et datant de 1205. Il est dorénavant de notoriété publique dans le milieu que Nicolas de Verdun

réalisations dans diverses disciplines, et il quitta son maître. Ensuite, Léonard est devenu un maître peintre indépendant. Le monastère de San Donato a confié les rois mages au culte en 1481, mais ce tableau n'a pas été achevé par Léonard. En effet, à cette époque, il était en concurrence avec Michel-Ange pour décorer la chapelle Sixtine au Vatican à Rome. 9 Figure (1) L’autoportrait de De Vinci Ses dernières années : En 1516, il part en France avec son peintre assistant Francesco Melzi où