Char de combat

certitude sur les décors des anses. Nous pouvons y voir une suite logique entre les deux anses. Il s’agirait d’un combat durant la guerre de Troie, plus précisément quand les troyens attaquèrent les vaisseaux achéens (d’après le chant 17, de l’Iliade d’Homère). Achille, qui s’était retiré des hostilités, autorisa Patrocle, son plus proche ami, à combattre aux côtés des grecs. Patrocle combat alors vêtu de l’armure divine de son ami, mais se fit rapidement tué par Hector, qui récupéra l’armure d’Achille

représentation de Médée est dite monstrueuse. Celle-ci est particulièrement présente dans le texte pour mettre en avant son inhumanité. Tout d’abord, on a l’évocation de son char à la didascalie « Médée, en l’air dans un char tiré par deux dragons ». Le terme de « dragon » vient renforcer la surréalité, et donc l’imaginaire créé par un char qui vole ce qui augmente la puissance de Médée et fait descendre la balance de plus en plus. Puis on a l’animalisation de Médée dans la réplique de Jason « horreur de

dans le colisée ce sont déroulé durant les cent jours de fête pour l’inauguration du Colisée. Il s’agissait de « il y eut une course de chevaux. Le troisième jour un combat naval entre trois mille hommes, suivit d’une bataille d’infanterie ». (De Don Cassius, historien romain de la fin du deuxième siècle. Il y eut aussi des combats de gladiateurs et des chasses. Mais il y eut aussi des reconstitutions historiques de bataille comme celle ou les Athéniens débarquèrent à Syracuse. Ces festivités du

Le silence dans « Fureur et mystère » de René Char « Feuillets d’hypnos » * Plan : * Introduction I. Silence et parole II. Silence et écriture  * silence de l’écriture ou écriture du silence III. Les stratégies du silence de l’écriture du Char  * Les points de suspension * Les blancs * Conclusion -Introduction : Écrire le silence signifie-t-il ne rien écrire, ou écrire sur le néant ? Ne révéler aucune vérité ou au contraire « dire » l'indicible

octobre 48 où il trouve, horrifié, le corps de Pompée, assassiné sur l’ordre du jeune Ptolémée XIII[81]. César passe l’hiver 48/47 à Alexandrie, et la guerre s’engage alors entre Ptolémée et César. Ce dernier n’a qu’un faible effectif et doit mener un combat difficile ; lors d’un engagement dans l’île de Pharos, il est même obligé de fuir à la nage. Il sort vainqueur de l’affrontement en mars 47, et détrône le jeune souverain au profit de Cléopâtre VII et du plus jeune de ses frères[81],[82]. Périple

scènes figurées font leur apparition durant le Géométrique récent (770-700 av. J.-C.), avec le plus souvent des scènes funéraires d’exposition du mort (prothésis) ou des cortèges conduisant le mort sur un char jusqu’à son lieu de crémation ou d’inhumation (ekphora). Des scènes de navigation et de combats navals ou terrestres, ainsi que des défilés de chars, sont des sujets également prisés des peintres. Souvent, des serpents façonnés en argile, "symboles" funéraires du cercle éternel de la vie, entourent

Faire découvrir les caractéristiques de la classe guerrière. DOC. 33.1 Relevez les signes de richesse du prince Luern. Lorsque le prince traversait les campagnes sur son char, il jetait de l’or et de l’argent aux Celtes qui le suivaient. Parfois il faisait construire des enclos ( 190m/190m ) où les gens pouvaient entrer librement et consommer les mets et les boissons à leur disposition. Comment manifeste-t-il son statut social et pourquoi ? Peut-on se fier à Posidonios ? Pourquoi ? Par

exciter le feu sacré du patriotisme et de l'émulation. De sages législateurs avaient compris qu'il fallait ouvrir la carrière de la gloire à chaque citoyen, et donner ainsi un noble élan à chaque genre de mérite. Parmi ces institutions, les jeux et les combats contribuèrent d'une manière spéciale à cette splendeur à laquelle la Grèce parvint en peu de temps. Si l'on en considère l'origine et le but, il ne paraîtra plus étonnant qu'ils aient donné lieu à de si grands prodiges. Leur origine se rattachait

décrites dans le premier document sont extrêmement rudes, comme nous l’avons vu précédemment. Mais le second document nous en apprend d’avantage sur ce quotidien atroce qu’est celui des soldats : on y lit en particulier que « les vieux morts des combats […], qu’on avait enterré sommairement dans le parapet, réapparaissent par morceaux, cette atrocité est comparable à celle décrite dans le premier document : « se coucher par terre […], voir à côté de soi des camarades atrocement déchiquetés ». Le

tels René Char avec Feuillets d’Hypnos, ou encore Paul Eluard avec son poème « Liberté », qui ont divulgué dans leurs œuvres des messages d’union et d’encouragement destinés aux résistants sous le régime d’Hitler. L’exemple le plus frappant est bien évidemment Desnos qui réalise, dans « Ce cœur qui haïssait la guerre », un véritable appel au combat, exprimant son désir de « Révolte contre Hitler et mort à ses partisans ! »(v18). Ce poète a même sacrifié sa propre vie pour son combat, réel exemple