Charles Baudelaire Les Petites Vieilles

Introduction Charles Baudelaire est depuis longtemps un poète reconnu, l’un des auteurs les plus lus, les plus traduits et les plus commentés du monde. Baudelaire a enrichi le domaine poétique par sa création littéraire des Fleurs du Mal. Cette œuvre représente et incarne les aspects de la modernité poétique et littéraire au niveau de la langue et du style. Baudelaire fait de la poésie une vision du monde, un ordre de valeurs qu’il serait artificiel et réducteur d’enfermer dans des catégories

narration directe sans les guimet). Madame Bovary paraît en 1857, la meme année que Les Fleurs du mal de Baudelaire, et suscite un scandale, parce-qu’il est considéré immoral pour son contenu ; l’histoire d’une adultère, sans amour pour le mari et pour la fille, qui se suicide dans la morale du temps étaient provocations contre le Christianisme.                         HISTOIRE Charles Bovary, officier de santé, et se marie avec Emma Rouault, élevée dans un couvent, vivant à la ferme avec son

exotiques, parfois réelles mais inaccessibles, ou vers monde de beauté idéale. L’image du poète lui-même va dans le même sens… • Dire de quelqu’un qu’il est un « poète » le désigne comme un rêveur, qui n’a pas les pieds sur terre, pas de sens pratique. Charles Cros, dans « Sonnet », fait son autoportrait, un individu décalé : Moi, je vis la vie à côté, Pleurant alors que c’est la fête. Les gens disent : « Comme il est bête ! » • Image qu’on retrouve à des degrés divers dans des jugements plus littéraires

lui offrir que ce soit une fleur qui pourrait exprimer la douceur de la femme dans Mignone allons voir si les roses de Ronsard ou un animal qui pourrait évoquer la sensualité de la femme comme dans « Le Serpent qui Danse », Les Fleurs du Mal de Baudelaire. Du XVIème au XXème, du classicisme au surréalisme, les poètes ont su voir la femme à travers ce thème vaste et complexe. A travers le corpus de poèmes que je vais vous présenter je me suis poser la question comment l’auteur entrevoit la figure

()RESUME –LES FLEURS DU MAL, Charles BAUDELAIRE (1857) Au lecteur L’auteu s’ad esse au le teu et l’i te pelle su la o ditio humaine.Il associe le comportement humain aux pêchés, avec une te da e à l’i o alit et au Mal. Cependant, le sentiment qui lui parait le plus détestable est le « spleen », la t istesse de l’e ui. Spleen et idéal I.BENEDICTION L’auteu se le oppose la vie id ale du po te à elle d’u e pe so e plus terre à terre. Il décrit une vie merveilleuse mais incomprise

de travail de la part de Charles Baudelaire, qui y publie des poèmes écrits depuis 1840. Une première édition en 1857 sera censurée à l’issue d’un procès pour outrage aux bonnes mœurs. Je vous conseille d’aller lire la page 385 de votre manuel, qui explique cela très bien. Voici un extrait d’un critique littéraire dans un journal qui rend compte de sa lecture des Fleurs du Mal … : Baudelaire est donc condamné à enlever

Et s’inscrit dans le siècle des Lumières.4/5 : sens profond et écriture fluide et compréhensible.Thème et sujet :L'œuvre traite majoritairement de la relativité, en effet, la notion de « grand » et « petit » parsème l'histoire : toute chose a quelque chose de plus grand que lui et est donc plus petit que quelque chose. Mais on trouve aussi des thèmes plus généraux comme les injustices, la guerre, l’intolérance religieuse, l’ignorance des hommes, et l'anthropocentrisme (qui place l'homme au centre

Sonnet à Hélène Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : "Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle !" Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serais sous la terre, et, fantôme sans os, Par les ombres myrteux je prendrai mon

âmeVous le plus tendre et le premier.Vous souvient-il de notre histoire?Moi, j'en ai gardé la mémoire:-C'était, je crois, l'été dernier.Ah! marquise, quand on y pense,Ce temps qu'en folie on dépense,Comme il nous échappe et nous fuit !Sais-tu bien, ma vieille maîtresse,Qu'à l'hiver, sans qu'il y paraisse,J'aurai vingt ans, et toi dix-huit?Eh bien ! m'amour, sans flatterie,Si ma rose est un peu pâlie,Elle a conservé sa beauté.Enfant ! jamais tête espagnoleNe fut si belle, ni si folle.-Te souviens-tu de

symbolisme : Charles Baudelaire : L’ennemi Stéphane Mallarmé : Brise marine Le surréalisme : Paul Eluard : le plus jeune André Breton : L’aigrette PLEIADE Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la