Charles de Blois

La famille Carolingienne est issue de l’aristocratie, des grandes familles seigneuriales qui sont en place à la fin de la dynastie précédente. On considère que cette dynastie est fondée par Pépin le Bref, qui a régné de 751 à 768. C’est le fils de Charles (en latin carolus, c’est lui qui a donné son nom à la dynastie) Martel, il est resté célèbre pour sa victoire à Poitier sur les Sarrazins en 752, et sur leur chef Abd el Rahman, personne n’avait stoppé ces invasions qui avaient commencés en 713. Du

jusqu’à 751 vont reconstituer l’unité de la Gaulle déchirée. 751 : les Mérovingiens disparaissent parce qu’ils n’ont pas été capables de maintenir cette unité. Pépin le Bref donne naissance à une autre dynastie : la dynastie Carolingienne, de Charles Magne (Carolus Magnus). Ils vont donner l’illusion de l’unité retrouvée et apparaitre comme les gardiens de la paix et les dispensateurs de la justice. Problème : de nouveau l’expérience Carolingienne se solde par un échec : ils ont une conception

grandes périodes historiques), nous vous présenterons des réflexions sur l’histoire. Puis viendront deux grands recueils de citations de l’histoire du monde (depuis les Grecs jusqu’à Nelson Mandela) et de l’histoire de France (depuis Clovis jusqu’à Charles de Gaulle, en passant par Valéry Giscard d’Estaing et François Mitterrand). Réflexions sur l’histoire « L’histoire est un perpétuel recommencement. » Thucydide (470-400 av. J.-C.) est le plus illustre des historiens de l’Antiquité. Grande œuvre :

encore sa symétrie. En France où se mêlent style italien et goût français, dans les châteaux, le donjon médiévale fait place à un escalier monumental autour duquel sont organisés les différents corps de bâtiments, c’est le cas dans les châteaux de Blois , Chambord ou Chenonceaux où l’intérieur y est richement meublé et décoré de marqueterie et de céramique. Fontainebleau devient grâce à l’édification du château par François 1er, le centre de la Renaissance française. Au 15ème siècle Brunelleschi,

La mort est vécue comme une privation et une déchirure, à la fois d’un point de vue anatomique à travers l’angoisse de la décomposition, puis affectif, avec la séparation définitive d’avec ses proches auxquels il lance un « Adieu » saisissant. Charles d’Orléans, dans son poème En regardant vers le pays de France, exprime toute la nostalgie du prisonnier à qui le pays manque. « Si commençai de cœur à soupirer » « Qu' il me souvint de la douce plaisance ». Le cri peut prendre d’autres formes comme

Louis le Germanique prononce son serment en langue romane pour être compris des soldats de Charles le Chauve qui récite le sien en langue tudesque pour qu'il soit entendu des soldats de son frèrehttps://www.cairn.info/la-naissance-du-francais--9782130749431-page-43.htmLes Serments de Strasbourg (Sacramenta Argentariæ), datant du 14 février 842, signent l'alliance militaire entre Charles le Chauve et Louis le Germanique, contre leur frère aîné, Lothaire Ier . ... Ces serments précèdent d'un

brandi chaque année depuis 1892 par les champions de France de rugby, porte cette devise : Ludus pro patria (« le jeu pour la patrie »). En fait, il doit son nom à Charles Brennus (1859-1943), dirigeant de club et graveleur-ciseleur du trophée. Son vrai nom était Crosnier. Né précisément sous le Second Empire, il avait reçu les prénoms de Charles Brennus Ambiorix. © Eyrolles Pratique Sources : Tite-Live, Histoire romaine, V, 48. Plutarque, Vie de Camille, XXVIII. 18 « Pas un jour sans une ligne

espagnol, même en allemand, le tout mélangé avec des onomatopées de sa propre invention3. » Avec l’attrait du genre, la réputation de quelques troupes passa les monts. Henri III fit venir en France, en 1576, pour se rendre favorables les États de Blois, celle des Gelosi (jaloux de plaire) dirigée par Flaminio Scala dit Flavio, auteur de nombreux scénari, troupe qui comptait dans ses sociétaires Francesco Andreini et sa femme, la célèbre Isabelle, elle-même auteur. Elle créa la situation de "dépit

échelons, sans que ces nouvelles règles s’imposent de manière systématique. En Francie occidentale, on constate encore jusqu’au XIIe siècle des pratiques d’indivision et de partage aux échelons seigneuriaux voire pour certains comtes (ex des comtes de Blois-Champagne). En Germanie en revanche, c’est pour ces catégories sociales (petite aristocratie) que ce phénomène s’impose d’abord. → On notera que ce sort privilégié du fils aîné va de pair avec réflexion sur celui des autres enfants (dans le cadre

entraînant des grèves et des conflits comme à Douai, Paris, Ypres… La fin des Capétiens directs [modifier] La lignée des Capétiens directs se termine par le règne successif de trois fils de Philippe IV qui meurent sans héritier mâle. Lorsque Charles IV le Bel, le dernier fils de Philippe le Bel, meurt en 1328, c'est la première fois depuis l'élection d'Hugues Capet que le défunt roi n'a pas d'héritier mâle. Deux prétendants sont en lice, Édouard III, roi d’Angleterre, petit-fils de Philippe le