Charles-Louis Havas

structures suivantes: - Mi havas domon en la urbo: J'ai une maison dans la ville. - Domon mi havas en la urbo: Une maison j'ai dans la ville. - En la urbo mi havas domon: Dans la ville j'ai une maison. Ce n’est donc pas la place du mot dans la phrase qui indique qui sont le sujet et le complément, mais bien le n. Les substantifs au pluriel (domoj, libroj, etc.), s'ils ont la fonction d'objet direct, portent un "n" après le "j". Exemples: - La riĉa sinjoro havas domojn ( en deux syllabes, en

entreprise au profit du secteur privé, on parle de privatisation . II. La nationalisation II.I L’État centraliste sous Louis XIV L’hisoitoire, ou l’idée de la nationalisation commence quand on était sous Louis XIV. L’un de ses idées est de l’union de l’État, du Nation et du Peuple. Pendant cette période-là, Jean-Baptiste Colbert est un des principaux ministres de Louis XIV. Il est contrôleur général des finances de 1665 à 1683, secrétaire d'État de la Maison du Roi et secrétaire d'État de la

Girardin. Pour lui, l’objectif est de financer au moins les frais variables du journal. Le premier support entièrement mixte (financer par les annonces) est la radio. °La régis publicitaire : C’est en France que sera créé ce principe. En 1845, Charles du Veyrier créé la société générale des annonces. Elles contribuent à financer la presse française depuis 1820. L’ambition de du Veyrier est de rassembler le potentiel publicitaire de grands quotidiens parisiens et d’assurer le droit exclusif d’insertion

occidentales. En effet, il suffit de regarder le bilan annuel de « reporters sans frontières » pour constater que cette liberté reste un combat. Depuis la création des premiers organes de Presse, de Théophraste Renaudot sous Louis XIII qui créa « la Gazette », à Charles Havas qui inventa la première agence de Presse généraliste en 1835 (Avant Reuter et autres,…) tous les pouvoirs ont cherché à contrôler les médias, par la censure, l’intimidation, la force, « l’intox ». Il fallut peut-être attendre

même s’ils le l’achètent pas. De plus, on est dans un cercle parisien. Renaudot ne pouvait sortir son journal sans l’ autorisation du Roi, c’était un privilège royal qu’il obtint donc. En effet, Renaudot était un ami de Richelieu, au commande sous Louis XIII. Mais du coup, la censure était forte. On peut presque dire que « La Gazette » était un organe officiel du pouvoir. Richelieu écrivait même des articles. Le journal était déjà ouvert sur le monde, sur les politiques européennes, et quelques nouvelles

annonces. Ces premières annonces concernent surtout des ventes d’immeubles et des affaires financières. Par la suite, Charles Duveyrier ouvre à Paris des bureaux chargés de regrouper les annonces et a intégré sous contrat la publicité dans trois grands quotidiens de l’époque : Les Débats, Le Constitutionnel et La Presse17. Les premières agences de publicité se créées : Charles-Louis Havas crée l’agence qui porte son nom en 1835. Son rôle est d’abord de collecter des ordres pour les journaux. Peu à peu

de Rouen Pierre Corneille Autoportrait de Jean Jouvenet Pierre-Louis Dulong François Adrien Boieldieu Gustave Flaubert Maurice Leblanc Esprit Blanche 1796-1852Pierre Fabri, poète, né vers 1450 Guillaume Guérante, érudit réformateur augustin, né en 1494 Antoine de Surie, poète français du XVIe siècle, natif de Rouen et contrôleur de Lisieux. Il a laissé des poésies estimées et publiées avec « Les Ruisseaux » de Charles Fontaine. Jean Behourt, grammairien et dramaturge, né dans la première

Techniques, dispositifs, réseaux de circulation La Poste Extension des réseaux de circulation de l’info depuis le Moyen-Age Le 1er réseau de com qui existe en Europe à partir du Moyen-Age : la Poste En France, est créée au XIIème siècle, sous Louis XI, sur un modèle qui est le modèle romain La Poste est le monopole du souverain / la circulation de l’info est sous le contrôle du souverain Elle requiert une vigilance extrême Sous Henri IV, l’Etat prend en charge la correspondance privée Dans

le direct. Sa meilleure page sur Napoléon lui fut inspirée par sa mort : « Alors le 5 mai 1821 à six heures moins onze de l'après-midi, dans le fracas des vents... » Et pour cause : la nouvelle avait mis deux mois pour arriver à Paris, via Londres (Havas n'avait pas encore ouvert son agence, ni le télégraphe électrique posé ses câbles dans l'Atlantique). Quand elle arriva, anoblie par le retard, avec l'emphase de l'éloignement, ce n'était plus une nouvelle mais déjà une légende. Restait au vicomte

des grands poètes de l'Antiquité. Boileau, aidé de sa famille, a probablement forgé de toute pièce une généalogie qui lui accordait un titre de noblesse et qu'il faisait remonter jusqu'au xive siècle, à Jean Boileau, un notaire royal anobli par Charles V. Nicolas Boileau revendiquait un blason dont les armes étaient « de gueules à un chevron d'argent accompagné de trois molettes d'or ». Cependant, rien dans la condition de Boileau ne laisse à penser qu'il ait pu avoir de véritables titres nobiliaires