Charognard

raids aériens des avions allemands, les « stukas », qui ont bombardé la France et, donc, ont poussé les civils Français sur les routes, en exode.  - « noir » : comme la couleur de l’uniforme des SS, noir comme la mort, le deuil)  - « corbeaux » : charognards planant au-dessus des cadavres, auxquels sont comparés les Allemands qui tuent, pillent le pays et se repaissent des dépouilles. Le corbeau représente toujours une menace.  - « cris sourds » : ceux des prisonniers torturés par les SS, des civils

tout comme els jeannes et les corneilles ne sont pas des chasseurs, ils se nourrissent des proies chassées, tuées et dévorées par des animaux comme les guépards pour en mélanger les restes. Ici, les rôles sont inversés ce qui est paradoxal : les charognards, dans lesquels nous reconnaissons les Sedara et la bourgeoisie chassent les guépards de leur place pour les remplacer. II Que chasse-t-on ? On chasse dans le roman un état social dépassé, on l’expulse On chasse aussi le noble dans le sens

consciente d'elle même et du monde. La conscience animale est dépendante de son milieu ainsi que ses événements (si le vautour a faim il se met en recherche de charogne ,il ne cherche pas a chasser. A l'opposé du lion qui chasse et n'est pas un charognard.). Il lui est impossible de décider de vivre comme bon lui semble ,il suit les codes que son instinct lui force d'exécuter et est de cette facon prisonnier de sa propre conscience. Il a conscience du monde qui l'entoure mais pas de lui même, car

Cependant, son aspect physiologique ne lui permet pas de chasser comme un lion ou encore comme un loup. Il se déplace sur deux jambes et ne court pas vite, n’a ni crocs ni griffes. Il se nourrie donc exclusivement de la cueillette, et n’est que charognard lorsque qu’il s’agit de manger de la viande. Au fil des siècles l’Homme s’est regroupé, d’abord en horde non organisé puis par la suite en société. La civilisation fait son apparition engendrant redéfinition de la condition humaine. L’Homme sauvage

Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards. Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre. Ismène, sa sœur, informée de sa décision, refuse de la suivre, craignant

parallèle entre Renée et Paris existe, on suit donc aussi la dégradation de cette ville. En conclusion on remarque que Saccard représentant de l’or ainsi que d’autres personnages liés a la richesse sont sans cesse comparés a des animaux charognards ou a des animaux prédateurs dans l’œuvre de Zola : « avec des balancements de corbeau sans tête » ; « Aristide Rougon s’abattit sur Paris avec ce flair des oiseaux de proie qui sentent de loin les champs de bataille » ou « parlant de Paris avec

une métaphore. Le « vol » fait allusion aux avions allemands, les « stukas » qui ont bombardé la France. Le « noir »,lui fait allusion aux allemands , couleur de la mort . Les « corbeaux » font référence également aux allemands, car ce sont des charognards, comme l'oiseau et qu'ils représentent toujours une menace. Dans le vers 2, (Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne?) le régime de Vichy est exprimé à travers « le pays qu'on enchaîne » car il réprime toutes libertés. « Les cris

Vers très courts, les rimes sont pour la plupart suivies. L’accordéon est l’instrument principal Observer le chant Références au contexte historique: « Le vol noir » = raids aériens des avions allemands (« stukas »). « Les corbeaux » = charognards (pour désigner les Allemands qui tuent et pillent le pays). « Les cris sourds » = ceux des prisonniers torturés par les SS « Pays qu’on enchaîne » : la France occupée par les allemands. Analyser le chant Le texte s’adresse a tous, mais

funeste et son poème Les Corbeaux se termine brusquement, la mort est déjà là : « Or, cette proie échue à ces démons des nuits / N’était autre que ma Vie en logue, aux ennuis », les corbeaux sont souvent considérés comme des charognards, qui dévorent les restes. Nelligan contemple sa propre mort. Nelligan et Saint-Denys Garneau évoquent la mort dans leurs poèmes comme une fatalité. La mort dévore leurs âmes peu à peu. L’oiseau ou les corbeaux sont le reflet

principalement la strophe 1 et 2. « le vol » fait référence aux avions de guerre allemand et « noir » à l’uniforme SS. « Les corbeaux » sont les soldats allemands qui pillent le pays et vivent sur le dos des Français, ils sont donc décrits comme des charognards. « Les cris sourds » soulignent la répression sur les opposants et résistants. « Le pays qu’on enchaîne » nous montre que la France souffre d'être esclave de l'occupant allemand. Le chant souligne également l’alliance du peuple français