Château de Rambouillet

un chantage odieux : si la fille de Mme Guyon épouse le neveu de l’archevêque, elle est libre  *** de fait, elle est libérée en septembre 1688 sur intervention de Mme de Maintenon ; elle se retire chez les miramiones, puis séjourne au château de Beynes où elle rencontre Fénelon, qui est d’abord circonspect, puis littéralement conquis (il dit d’elle qu’elle est sa « directrice de conscience », sa « dispensatrice de grâce ») ; c’est alors qu’elle fait des adeptes ds les milieux de la cour

« fief » provient de feodum, à l’origine du mot « féodal » ■ Ces hommes spécialisés dans l’art de la guerre forment la chevalerie dont les armures mais aussi les mentalités (la littérature courtoise) symbolisent la période médiévale. Autour du château, un système d’exploitation des terres est mis en place où les paysans sont au service du seigneur propriétaire des terres : c’est le système du servage. En échange de la protection seigneuriale, les serfs doivent exploiter les terres du seigneur et

| |Château-Thierry | | | | | |Coulommiers | | | | | |Crépy-en-Valois | | | | | |Rambouillet |

scandinaves en Normandie de 911 à 1066. Uppsala, 1954). Studia neophilologica XXVIII (1956), 266-277. Voir n° 1662. CHAMPAGNE, ILE-DE-FRANCE Toponymie 1677. A. BARBEY, Recherches sur l'étymologie du mot "Galvèze". Annales de la Soc. histor. de Château-Thierry II (1865), 43. 1678. M. BLOCH, L'Ile-de-France. Paris, 1913, IV-136 pp. 1679. F. BOURQUELOT, Sens des mots France et Neustrie sous le régime mérovingien. Bibliothèque de l'Ecole des Chartes XXVI (1865), 567-574. 1680. Ch. BRUNEAU, La Champagne

d’un abord difficile. Barberou les sauva. Il connaissait leur rêve, et un beau jour vint leur dire qu’on lui avait parlé d’un domaine à Chavignolles, entre Caen et Falaise. Cela consistait en une ferme de trente-huit hectares, avec une manière de château et un jardin en plein rapport. Ils se transportèrent dans le Calvados ; et ils furent enthousiasmés. Seulement, tant de la ferme que de la maison (l’une ne serait pas vendue sans l’autre) on exigeait cent quarante-trois mille francs. Bouvard n’en

abord difficile. Barberou les sauva. Il connaissait leur rêve, et un beau jour vint leur dire qu’on lui avait parlé d’un domaine à Chavignolles, entre Caen et Falaise. Cela consistait en une ferme de trente-huit hectares, avec une manière de château et un jardin en plein rapport. Ils se transportèrent dans le Calvados ; et ils furent enthousiasmés. Seulement, tant de la ferme que de la maison (l’une ne serait pas vendue sans l’autre) on exigeait cent quarante-trois mille francs. Bouvard n’en

de Sévigné*. Elle devient fille d’honneur de la reine Anne d’Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire avec le poète Ménage qui lui enseigne le latin et le grec. Introduite dans les salons littéraires, elle fréquente Catherine de Rambouillet et Madeleine de Scudéry. En 1665, elle épouse François Motier, comte de La Fayette, dont elle aura deux fils. Elle l’accompagne dans ses domaines familiaux en Auvergne et dans le Bourbonnais mais elle retourne fréquemment à Paris où elle ouvre son

alors par aucun). ➔ Le cas le plus intéressant est la plus grande déroute de ces dernières années : le faux charnier de Timisoara (ville de Transylvanie en Roumanie). Fin 1989, les pays dits communistes (oxymore...), se sont effondrés comme un château de cartes, le dernier étant la Roumanie (cas à part, lorsque les troupes du pacte de Varsovie interviennent à l'extérieur, les Roumains refusent de participer). Cela montre la complexité des choses, Ceausescu prétendait que la Roumanie choisissait

de Sévigné*. Elle devient fille d’honneur de la reine Anne d’Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire avec le poète Ménage qui lui enseigne le latin et le grec. Introduite dans les salons littéraires, elle fréquente Catherine de Rambouillet et Madeleine de Scudéry. En 1665, elle épouse François Motier, comte de La Fayette, dont elle aura deux fils. Elle l’accompagne dans ses domaines familiaux en Auvergne et dans le Bourbonnais mais elle retourne fréquemment à Paris où elle ouvre son

paisibles telles Pithiviers, Houdan, Malesherbes, Nemours ou bien Provins, avec des rivières aux eaux vives, attenantes à des tours et des châteaux médiévaux fortifiés, contrastant avec les larges et splendides domaines royaux, du Parc aux Cerfs à Rambouillet, de Saint-Germain à Marly. Puis, faisant fête au flot de touristes, à Versailles, le domaine préservé du Roi-Soleil. Un autre fleuve arrosait l'Ile-de-France, c'était celui, populaire, du "petit vin blanc", celui qu'on boit sous les tonnelles