Chatiment Corporel

Chapitre 1 : Le châtiment Murtagh, toujours sur son dragon couleur rubis, Thorn, demeurait dans cet état qui était le sien depuis son départ d’Urû’Baen. Il n’arrivait toujours que très peu à communiquer avec sa monture, tout en ayant le sentiment qu’un filin externe le reliait à lui d’une étrange façon. C’est alors que le dragon commença à être parcouru de spasmes, de tremblements violents et piqua dangereusement au sol. Murtagh ne pouvait rien faire, ressentant, à travers

DOIT-ON ABOLIR LA PEINE DE MORT ? De nos jours, le taux de criminalité a augmenté mondialement et cela devient de pire au fils du temps. Des gouvernements pratiques de certaines méthodes pour réduire le taux de criminalité dans leur pays comme en introduisant la peine de mort. La peine de mort est une punition de mort reçue dans un tribunal, normalement pour avoir commit un crime. La peine de mort intimide les autres à ne pas refaire les mêmes crimes .Est-ce-vrai ? Faut-il ou ne faut-il pas que

Commentaire de texte Le dénouement de Dom Juan, Acte V scènes 5 et 6 I. Le châtiment de Dom Juan Intervention du merveilleux, sous trois formes : spectre femme, mort, Statue. Le Châtiment est précédé d’une série d’avertissements. A. Les multiples avertissements 1. L’apparition du spectre en femme voilée Une seule phrase : « spectre » : fantôme, rapport avec la mort. Apparition du fantôme a pour but de faire peur (Idée de vengeance, remords, souvent lié à la culpabilité)

domestique. Ce n'est cependant pas l'influence grecque qui a marqué le plus notre conception actuelle du travail. On retrouve cette idée de contrainte dans la tradition judéo-chrétienne. En effet, dans la Bible, le travail est qualifié comme un châtiment, comme la conséquence du péché d'Adam et Ève, chassés tout deux du Paradis en raison du péché originel. Adam se voit alors condamné « à gagner son pain à la sueur de son front ». L'humiliation de l'homme définit sa chute. Cette dégradation cause

sauver la morale, le personnage qu'il incarne reste parfaitement dérangeant pour son temps. Dangereux pour les esprits, audacieux et impertinent dans ses propos et ses actions, défiant le Ciel et l'ordre social, il est une menace terrible que le châtiment final ne suffit pas à effacer. Il lui faut un sort plus cruel encore. L'interdiction de la pièce qui le réduit définitivement au silence est ainsi la seule punition efficace, capable de faire rapidement oublier son existence.

est recherchée. Les sons et les rythmes se mettent au service des idées et ne leur servent que de faire-valoir. Ainsi Victor Hugo, dans Les Châtiments, donne la prééminence au message politique. Recueil écrit pour attaquer les « nains de l’empire » et leur « César » dépravé (derrière lequel l’on reconnaît bien sûr Napoléon III et son Second Empire), Les Châtiments sont un ouvrage violemment polémique. C’est le slogan « Liberté, égalité, fraternité » que le poète entonne. La poésie est par conséquent

violence : "guerres", "sang" dans les discours des misères du temps, "Et ses paroles qui menacent" dans les Châtiments, "L'affiche qui semblait une tache de sang" dans le texte de Louis Aragon. Ce vocabulaire représente la colère de l'auteur. De plus le discours direct est utilisé dans les textes d'Hugo, d'Aubigné et d'Aragon : "France, à l'heure où tu te prosterne " au vers 1 des Châtiments, " Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes" au vers 6 du texte de Louis Aragon et "vous, Caïens

qui est comme une punition, un châtiment (même châtiment d'ailleurs que celui appliqué à Bébert et Lydie). D'autre part, le sentiment de culpabilité est également présent. Les désirs réciproques de Catherine et d'Etienne ont toujours été présentés comme coupables. La pudeur inhabituelle de la jeune fille et la timidité excessive d'Etienne sont la marque d'un fort sentiment de culpabilité. De plus, la mort de Catherine, comme celle de Bébert et de Lydie, est le châtiment infligé aux coupables, pour avoir

compenser les difficultés de la séquestration, en s'abandonnant à des plaisirs matériels. Grand, employé de la mairie, se concentre sur l'écriture d'un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase. Le père Paneloux fait du fléau l'instrument du châtiment divin et appelle ses fidèles à méditer sur cette punition adressée à des hommes privés de tout esprit de charité. Tarrou, fils d'un procureur et étranger à la ville, tient dans ses carnets sa propre chronique de l'épidémie. Il se met à disposition

subir les peines. Ainsi, Brendan à une représentation de l'Enfer sans en faire l'expérience car contrairement à d'autres textes apocryphes comme par exemple La descente de Saint Paul en Enfer, Brendan ne descend pas en Enfer et ne va pas voir les châtiments de lui-même. Le témoignage se fait donc par la victime de ces supplices ce qui permet aux auditeurs de s'identifier à elle. La morale qui semble alors être délivrée à travers l'opposition de ce personnage est que l'attitude de repentance de Judas