Chatiment Corporel

Les Châtiments (ou Châtiments, sans article, conformément à l’editio princeps) est un recueil de poèmes satiriques de Victor Hugo, publié en 1853. À la suite du coup d'État du 2 décembre 1851 qui voit l’arrivée au pouvoir du prince Louis-Napoléon Bonaparte, Hugo s’est exilé. Ces vers sont, pour le poète, une arme destinée à discréditer et abattre le régime de Napoléon III auquel Hugo voue une fureur vengeresse et un mépris sans bornes. Hugo a l’habitude de prendre le titre comme fil conducteur

en quoi se faire justice par soi-même peut sembler la meilleure solution ? 1. La justice est-elle plus forte que la vengeance ? Le désir de punir C’est a posteriori qu’on justifie le châtiment. Car avant la raison, le désir. Résultant d’une émotion violente, en général la colère, le châtiment passe pour être administré froidement. Mais au cœur de toute punition, le plaisir de tenir quelqu’un en son pouvoir, de montrer qui est le plus fort. À tort ou à raison, le punisseur, fût-il un tueur

Jonathan Legear encastre sa Porsche dans un magasin L’ancien footballeur d’Anderlecht a provoqué un impressionnant accident la nuit dernière en encastrant son bolide dans le magasin d’une station-service du Limbourg. Le sportif est actuellement en cellule de dégrisement. Jonathan Legear a provoqué un accident, dans la nuit de samedi à dimanche, du côté de Tongres, rapporte le site Internet Het Nieuwsblad. Le joueur du Terek Grozny a encastré sa Porsche Panamera dans le magasin d’une station-service

scène 1 Intro : Victor Hugo (1802-1885) est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique et intellectuel engagé français. Il a composé une œuvre immense. Hugo a pratiqué tous les genres : roman avec Notre Dame de Paris ou poésie avec Les Châtiments (écrit contre Napoléon III). Il a passé 18 ans exilé à Jersey et Guernesey (îles anglo-normande). Il est le précurseur du drame romantique : théorie dans la préface de Cromwell (1827), illustration dans Cromwell (90personnages, 6000vers), dans

lettres française et celle du XIXème siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété. Il est à la fois poète lyrique avec des recueils comme Les feuilles d’automne (1832) mais il est aussi un poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments (1803) ou encore poète épique avec la Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Son œuvre multiple comprend aussi

règles établies sans la crainte d’un châtiment irréversible. D’autre part, la prison est corrélée à l’idée de justice. En effet, les actions que l’on mène ne peuvent subsister sans conséquence, alors lorsqu’on cesse de respecter une ou des règles, et que cela porte préjudice (plus ou moins fatal) à une ou plusieurs personnes, il semble juste qu’il y ait une réponse à ces actes. Cette réponse est la prison. En effet, quel meilleur, ou plutôt pire châtiment qu’être privé de sa liberté, ce droit

voulu soulevé le peuple de Paris lors du coup d'état du 2 décembre 1851 au cours du quel LNB se proclame empereur sous le nom de Napoléon III. Le poème « Souvenir de la nuit du 4 », est un poème engagé contre Napoléon III, extrait du recueil « Les Châtiments », recueil de 6000 vers, où il exprime son mépris contre celui-ci. Ce poème date du 2 décembre 1852, (date d'anniversaire du 2/12/51), où Hugo rend hommage a un enfant de 7 ans et demi tué dans les rues de Paris. C'est un long poème en alexandrin

Victor Hugo, se situe au centre de Les Châtiments. C’est l’un des poèmes les plus longs et le plus connu des poèmes ; C’est un poème épique composé de sept tableaux et bâtis sur le même contraste que A l’obéissance passive (II,2). Contraste entre le grandissement épique et la parodie burlesque. Le titre L’expiation renvoie au châtiment divin mais aussi à son attente douloureuse traduite par le jeu de question réponses qui structure le poème : Est-ce là le châtiment ? Réponse : Non. Nous parlerons d’abord

l’inactivité éternelle puisque Camus n’était pas croyant. Mais cette pensée pessimiste peut être « évitée » si, selon Camus, nous ne subissions pas la vie mais l’acceptions. Si nous acceptons notre destin, nous serions comme Sisyphe qui a accepté le châtiment éternel auquel il était destiné, même si celui-ci est sans intérêt. Sisyphe n’a plus l’espoir d’être un jour libérer de sa condition et donc, au lieu de désespérer et de se dire qu’il est condamné, il s’approprie ce « travail » ; il n’est plus obligé

compenser les difficultés de la séquestration , en s'abandonnant à des plaisirs matériels. Grand , employé de la mairie, se concentre sur l'écriture d'un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase. Le père Paneloux fait du fléau l'instrument du châtiment divin et appelle ses fidèles à méditer sur cette punition adressée à des hommes privés de tout esprit de charité. Troisième partie La ville est obligée de réprimer des soulèvements et les pillages. Les habitants semblent résignés . Ils donnent