Chemin critique

l’Orient. Il séjourne à l’île Bourbon (La Réunion) et, en rentrant à Paris en 1842, écrit ses premiers textes. Il s’éprend de l’actrice Jeanne Duval. En 1844, sa famille s’indigne de sa vie de débauche. Baudelaire devient alors journaliste, critique d’art et critique littéraire. 1857 est l’année de publication des Fleurs du Mal. Baudelaire est attaqué en justice (la même année que Madame Bovary) pour « immoralité », son recueil est jugé « scandaleux » et « révolutionnaire ». Baudelaire y met en lumière

blâment en ont le droit. Préparez-vous immédiatement apprêtez-vous pour une chevauchée, levez-vous de ce lit, revêtez la plus belle de vos robes et faites mettre votre selle sur votre meilleur palefroi. » Chrétien de Troyes, Erec et Enide, édition critique d’après le manuscrit B. N. fr. 1376, traduction de Jean-Marie Fritz, Paris, Livre de Poche, « Lettres gothiques », 1992. 

n'importe qui, où qu'il soit, peut déposer ce qu'il veut. On tente bien de réglementer tout ceci, mais comment contrôler cette immense fenêtre ouverte sur le monde? Première précaution: ne pas y voir une simple encyclopédie. Sans un peu d'esprit critique et de connaissances, on s'égare très vite entre les informations justes, les erreurs ou même la désinformation volontaire. On a également tous fait cette expérience: on se lance dans une recherche précise, mais absorbé par l'écran et sollicité

sont tout d'abord un élan vers le savoir. Ils veulent aprofondir leurs connaissance en parcourant le monde, pour ainsi faire preuve d'esprit critique (s'ouvrir, relataviser) comme dans Les Essais de Montaigne. L'humanisme était un grand thème de la Renaissance, beaucoup d'écrivains en étaient influencés, notamment Montaigne, qui tourne un esprit critique sur lui même. Leonard de Vinci, lui au contraire, était poussé par la soif de la connaissance de l'anatomie humaine. La redécouverte des médecins

préjugés, est prêt à faire le sacrifice de votre vie ». D'autre part Alain critique ces fanatiques qui ce limite aux croyance qu'il aient adopté, par conséquence leur mentalité est devenue quelque chose du (mécaniques), par suite Churchill estime qu'« un fanatique est quelqu'un qui ne veut pas changer d'avis et qui ne veut pas changer de sujet.» En addition, l'auteur reproche du point que ces fanatiques manque l'esprit critique et la voie de la raison qui nous pousse toujours a la recherche de la vérité

gouverner et la télévision imbécile qui fait des citoyens faciles à gouverner. >> Jean Guéhenno La télévision exerce une profonde influence sur la psychologie des hommes. La situation que nous venons d’évoquer trouve écho dans les mots de l’écrivain et critique littéraire français, Jean Guéhenno, qui affirmait: << Il y a deux catégories de télévision: la télévision intelligente qui fait des citoyens difficiles à gouverner et la télévision imbécile qui fait des citoyens faciles à gouverner. >> Que faut-il

pas vraiment de limite. Thierry de Duve, Au nom de l'art, "Fais nimporte quoi", edition de minuit ,Paris 1939. Le n'importe quoi en art concerne soit la reception artistique et en particulier l'indignation des critiques d'art sucitant dans le public la peur de la fin de l'art. Les critiques se presentent comme les gardiens de l'ordre esthetique mais aussi technique, en rappelant l'interdiction de faire n'importe quoi. Il s'agit alors d'un jugement legislateur lié a l'exercice d'un certain pouvoir

voire de la société. ( selon la commission parlementaire française d’enquête sur les sectes ) Groupe visant par des manoeuvres de déstabilisation psychologique à obtenir de leurs adeptes une allégeance inconditionnelle, une diminution de l'esprit critique, une rupture avec les références communément admises (éthiques, scientifiques, civiques, éducatives), et entraînant des dangers pour les libertés individuelles, la santé, l'éducation, les institutions démocratiques. ( selon Roger Ikor )Un mot

né d’un père italien et d’une mère polonaise ; il l’était également par ses gouts, ses amitiés, ses curiosités, ses préoccupations. Mais il fut avant toute chose un écrivain français et, plus encore, un écrivain parisien. Amateur de peinture et critique d’art , il a été l’ami, parmi beaucoup d’autres, de Derain, de Dufy, de Braque, de Picasso, de Delaunay, de Picabia, et il a, mieux sans doute qu’aucun des contemporains, reconnu la nature et l’importance de la révolution qui s’opérait autour du

regard de l'artiste. En 1837, d'après Gustave Planche, « le réalisme est aujourd'hui si populaire qu'on ne saurait trop le combattre », phrase qui vise le roman-feuilleton et surtout Balzac. Mais, à l'exception de Planche, ce sont surtout les critiques d'art qui se servent alors du terme de réalisme pour attaquer les tendances nouvelles de la peinture. Enfin, le mot entre en 1878 dans le Dictionnaire de l'Académie française : « Terme de philosophie scolastique : La doctrine réaliste. Il se