Chemin critique

nombreuse critiques politiques. Par exemple, au chapitre XIX, le juge profite de l'argent de Candide, et se contrefiche des malheurs qui lui sont arrivés : «  Le juge commença à lui faire payer dix mille […] pour les frais d'audience ». Nous pouvons constater ici, qu'il s'agit d'une critique judiciaire. Mais Voltaire souligne également le pouvoir du clergé : « Quoi ? Vous n'avez pas de moines qui enseignent, qui disputent, qui gouverne. » Dans le chapitre III, Voltaire critique l’Église :

Celui-ci dit que le criminel ne serait plus jugé par rapport à sa situation familiale. Il deviendrait alors le seul à assumer ses actes, donc se défendre lui-même. À ce moment, la loi devint écrite, donc le public désormais favorisera la pensée critique pour ce qui attrait à l’application de la loi. Les gens pouvaient maintenant exercer leur propre jugement envers la justice. Solon créa une nouvelle forme économique visant à régler l’endettement. Il divisa le peuple en 4 groupes économiques,

Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, “car la nature y est si belle et si claire que l'homme [...] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit”. Mais c'est surtout le critique d'art Castagnary qui suggère l'émergence d'une “école naturaliste”, dont il dit, dans son Salon de 1863, qu'elle “affirme que l'art est l'expression de la vie sous tous ses modes et à tous ses degrés, et que son unique but est de reproduire la nature

En 1862 Lemonnier publie pour la première fois, dans un l’Uylenspiegel un journal littéraire un contes intitulés "Brosses et tampons". A l’occasion de l’exposition générale des Beaux-arts de Bruxelles en, 1863, il publie son premier ouvrage de critique artistique. Camille Lemonnier fréquente essentiellement des peintres mais lui se consacre à la littérature. En avril 1866 il reçoit une lettre de félicitations de Victor Hugo à qui il a adressé le manuscrit de Sabbat, une œuvre qui ne sera cependant

citoyens a des devoirs écrits et obligatoires envers la société, mais ils n’y a pas que ceux là, d’autres devoirs non obligatoires, tout de même important, sont accomplis par les citoyens. Tel que l’esprit critique par exemple. On peut alors se poser la question : Est-ce que l’esprit critique est un devoir de citoyen ? En d’autres mots, est-ce que chaque citoyen se doit d’examiner une donnée avant d’établir la validité de celle-ci, s’interroger pour faire plus simple. Ce devoir à alors son importance

Honoré de Balzac Honoré de Balzac, né Honoré Balzac, à Tours le 20 mai 1799 (1er prairial an VII) et mort à Paris le 18 août 1850, est un écrivain français. Tour à tour critique littéraire, critique d'art, essayiste, dramaturge, journaliste, imprimeur, il a laissé une œuvre romanesque qui compte parmi les plus imposantes de la littérature française, avec 91 romans et nouvelles parus (137 prévus) de 1829 à 1852.

milieu du siècle, transforme l’économie de la société. On voit apparaitre le développement du commerce, de l’industrie et des banques. On peut donc expliquer l’exode des Raquin pour Paris (Création de la mercerie ainsi que le travail de Camille aux chemins de fer car le train à vapeur devient un moyen de transport important à l’époque). -Période où une société élargie se cultive (enseignement publique qui va réduire l’analphabétisme). La presse et l’édition vont en profiter, les cabinets de lecture

et des espaces verts font leur apparition dans la ville. Le tout répond aux préoccupation hygiénistes de l’époque - peut-être aussi à un souci sécuritaire, une grande avenue étant plus simple à contrôler qu’une multitude de petites ruelles. Les critiques de Haussmann lui reprocheront aussi d’avoir, par ses travaux, chassé les classes populaires du centre vers la périphérie : un débat toujours actuel. Le point de vue de Michel Margairaz :«Paris s’agrandit, notamment vers l’ouest. Après l’annexion

l'École Centrale des Arts et Manufactures en 1855, l'année même de la première grande Exposition universelle tenue à Paris. Après quelques années passées dans le Sud-Ouest de la France, où il surveille notamment les travaux de l'important pont de chemin de fer de Bordeaux, il s'installe à son compte en 1864 comme "constructeur", c'est à dire comme entrepreneur spécialisé dans les charpentes métalliques. Son exceptionnelle carrière de constructeur est jalonnée en 1876 par le viaduc de Porto sur le

Maupassant Chapitre 1 - Partie 1 de Bel-Ami Georges Duroy, ancien militaire envoyé en Afrique, avait belle allure. Il était revenu à Paris dans le but de faire fortune, mais pour le moment il avait peu d'économies, car il travaillait aux bureaux du chemin de fer du Nord, qui le rémunéraient peu. A la recherche d'une femme en cette soirée de juin, il flânait dans Paris, tout en faisant attention au peu d'argent qu'il lui restait. La chaleur de l'été, l'assoiffait, et lorsqu'il s'apprêta à entrer au