Chercheur

dans   une   société   incertaine,   mouvante   et   discutable.   Dans   sa   théorie,   plusieurs   acteurs  interagissent  ;    des  acteurs  humains  (les  marins-­‐pêcheurs,  les  chercheurs)  et  des  acteurs   inhumains  (les  coquilles  Saint-­‐Jacques).  Interaction  qui  se  fait  ici  autour  d’un  problème  unique   auquel   chaque   acteur   s’identifie:  «  Pecten

humaines n'ont pas la même histoire. L'avenir d'un groupe social ne peut être « prédit ». Il n'y a pas à ce titre de déterminisme absolu. Par rapport aux sciences formelles comme les mathématiques ou la logique, les sciences humaines obligent les chercheurs à prendre en compte de nombreux paramètres d'ordre qualitatif et contingent qui montrent la complexité d'une approche scientifique de la culture et du fait social. Toute culture n'est pas universelle. Le fait social peut être étudié à partir d'outils

distance, précisément, entre le moment où commence à germer l'idée de recherche et le moment où l'on a enfin entre les mains les données qu'il faut alors commencer à traiter et à analyser. Nous voulons, dans une première partie, conduire le futur chercheur depuis la définition du problème à étudier jusqu'à la passation de son instrument d'enquête et la collecte des informations brutes, tout en l'avertissant des insuffisances et abus majeurs inhérents à chaque méthode. Dans une seconde partie, nous

une ultime solution. Il pourra dire qu’il aura tout essayé et que personne ne pourra lui en vouloir. Axe de lecture : méprise la recherche scientifique et des chercheurs, réduits à l'état de simples fonctionnaires.  Découpage et développement : Partie 1 ( du début à main fanatique) : Celine nous décrit le quotidien du chercheur lorsqu’il arrive au labo.il nous décrit la scène de manière a ce que l’on remarque que c’est toujours comme ça que ça se passe,il est répétitif, -> très monotone

essentiellement sur la technique de l'analyse de contenu. Cette dernière est de plus en plus prisé par les chercheurs, surtout dans le domaine de l'etude des phénomènes médiatiques. Le livre de jean de Bonville,«l'analyse de contenu» sera mon support essentiel pour appliquer la méthode en question a mon sujet de recherche. Dans son livre, Jean de Bonville définit cette technique en s’inspirant d'un autre chercheur en l’occurrence, Bereson. Selon lui, «l'analyse de contenu,selon Berelson,est une technique de

à comprendre les relations des hommes dans un milieu social. Mais une fois cet objectif défini, la question qui se pose est de savoir comment on va approcher les hommes dans leur milieu ? A quel niveau d’observation doit se placer le chercheur ? Comment le chercheur va aborder son sujet ? Avec quelles méthodes et quels outils ? Tout d’abord, la réflexion sociologique suscite différents types de représentations théoriques. C'est-à-dire que quand on réfléchit en sociologie, il y a différents types

et à son fonctionnement. Actuellement il est arrivé à une telle maîtrise scientifique et terminologique qu’il est capable de modifier le patrimoine génétique. Le premier document est un article de Jean Dausset, un chercheur scientifique, qui porte sur la responsabilité des chercheurs en génétique. Ce texte date de 1997. Le second document a été écrit par Luc Ferry, un ministre français, c’est également un article parut dans l’ « Express », il se réfère au clonage humain. Nous avons ensuite Catherine

livre raconte la vie de Antonio José Bolivar Proano, le « vieux », habitant de l'Amazonie. A travers ses souvenirs et la chasse d'une ocelote, l'auteur décrit l'Amazonie, ses Shuars, intelligents et respectueux de leur environnement, ses colons, ses chercheurs d'or, ses « gringos » avides, apeurés par l' »enfer vert » et aveuglés par l'appât du gain. Le vieux, Antonio José Bolivar, âgé de septante ans environ, vit à El Idilio, petit village au nom illusoire ou ironique au cœur de l'Amazonie, en Equateur

exploiter ces richesses. Bolivar méprise les gringos, les chercheurs d’or et le maire. Se sont tous des gens qui ne pensent qu’à faire le plus d’argent possible sans se soucier des conséquences qui peuvent survenir sur l’environnement de ce territoire. Sepúlveda dit à la fin du deuxième extrait: « Antonio José Bolivar ôta son dentier, le rangea dans son mouchoir et sans cesser de maudire le gringo, responsable de la tragédie, le maire, les chercheurs d’or, tous ceux qui souillait la virginité de son Amazonie

moyen employé pour parvenir à des fins. La méthode scientifique désigne donc l'ensemble des démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d'instruments fiables. Cette méthode a pour but de protéger le chercheur de la subjectivité. La méthode scientifique est basée sur la reproduisibilité ( la capacité de répéter une expérience donnée n'importe où et par n'importe quelle personne ) et la falsifiabilité ou la réfutabilité ( toute proposition scientifique