Chevalerie Et Noblesse

une aide financière (il paie à chaque fois que le roi a besoin de se financer, c’est à dire dans quatre cas de figure précis : _En cas de rançon, le seigneur à été kidnappé, il faut payer pour le récupérer. _Le mariage de sa fille. _L’entrée en chevalerie, cérémonie coûteuse. _et à partir du XI° siècle.) Le seigneur doit faire la cour à son seigneur. La cour est un espace clos, réduit où un petit groupe se rencontre pour tenir conseil. Il font la cour au roi quand le roi a besoin du conseil de

d’ordre privilégié, d’ordre héréditaire. Il n’y a pas de statut de la noblesse. Il existe une noblesse assez mouvante, noblesse qui ne s’acquiert pas encore par hérédité. A) Les critères de la condition de noble La principale caractéristique nobiliaire tient à la vocation des armes. C’est une époque où le pouvoir est lié au succès des armes et on comprend donc l’importance du facteur militaire dans la formation de la noblesse. Notamment ce qui a changé les choses est que le combattant est devenu

un roman résolument parodique et réaliste, qui raille la littérature noble et les valeurs établies. De façon caractéristique, ces deux romans parodient le roman de chevalerie médiéval. o La seconde est l’héritière du roman de chevalerie et du roman grec. Sous l'influence de la littérature chrétienne, elle revendique une certaine noblesse des sentiments et de l’expression et un style sérieux. Avec l’avènement du roman historique, le merveilleux qui caractérisait cette tradition est progressivement abandonné

l’apparition des bourgs et de la bourgeoisie, se développe une littérature plus populaire, dîte bourgeoise, d’inspiration comique et satirique. Ses oeuvres reflètent les idéaux de cette communauté : 1. les chansons de geste, qui glorifie la chevalerie 2. la littérature courtoise, qui relate les relations de la société seigneuriale 3. la littérature satirique, qui dénonce les abus. 1. Les chansons de geste Les poèmes et chansons de geste (vient de l’italien “gesta” qui signifie “acte

transmission des ordres royaux, par Louis XI) en abordant la fin du Moyen Age, marquée par les trois cavaliers de l'Apocalypse (la guerre, les épidémies, la famine). De ces deux siècles d'épreuves, le royaume sort transformé, avec un affaiblissement de la noblesse, l'essor politique et social de la bourgeoisie commerçante des villes, sous l'autorité du roi. A) La guerre de Cent Ans (1338-1453). Cette guerre, qui n’a pas duré cent ans parce qu’entrecoupée de longues périodes de trêve, est le dernier exemple

bellatores (ceux qui se battent), les laboratores (ceux qui travaillent). C’est une vision hiérarchique. La fonction la plus importante (le premier ordre), c’est le clergé. Le deuxième ordre, c’est les membres de l’élite guerrière (ce qui aboutira à la noblesse plus tard) et tout le reste (90% de la population), ceux qui travaillent sont également soumis. Ces derniers ne sont nécessaires que parce qu’ils font vivre les eux autres. Le travail, la production, est le fait de ce qui n’ont pas le pouvoir.

monde des guerriers. Et ça ve se diffuser vers le haut de la pramide sociale et toutes les relations vont peu e peu s’org sur le mode vassalique et non plus sur des modalités publiques. Professionnalisation de guerriers :la chevalerie. Au 13ème siècle, ce groupe devient la noblesse. C’est l élite laïque de la sct. B) l’échec de la récupération par les carolingiens. Les pépinides ont eu recours au mécanisme de fidélité des le 8ème s dans leur entreprise d’usurpation du pv royale. Charles martel

les premières expéditions pour délivrer du joug musulman les chrétientés espagnoles ? Quand Urbain, qui s’appelait encore Eude de Châtillon, n’avait qu’une vingtaine d’années, n’avait-il pas vu en 1064 son compatriote Eble de Roucy prendre avec la chevalerie française de l’est le chemin des Pyrénées pour aller chasser les Arabes de l’Aragon ? Fidèle à ces souvenirs comme à l’exemple de son prédécesseur Grégoire VII, Urbain, une fois devenu pape, avait en 1089 lancé lui-même sur les routes d’Espagne

le roi de leur charge (garantie d’inamovibilité par ordonnance de 1476, et de vénalité). La vénalité est donnée par l’Eglise (le clergé achète leur fonction), si besoin d’argent le Roi créé des offices. Le roi attribue aux officiers des lettres de noblesse. Mais possibilité de transmettre l’office à son fils par une taxe payée annuellement à l’Etat (« la Paulette »). Les officiers ont un très grand prestige et ont des fonctions prestigieuses (officier de l’armée, judiciaire, financiers). Sous l’Ancien

LES ARTISANS Le monde du textile et de l’habillement crée beaucoup d’emplois d’artisans (tailleur, pelletier, brodeur,…). Dans les familles riches, les artisans peuvent être à demeure et travailler pour les princes par exemple. Chez la petite noblesse, le tailleur vient à domicile pour prendre les mesures. Dans les villes il y a des ateliers en masse, parfois minuscules, dans lesquels on reçoit les clients. Apparition des premiers mannequins couture (une croix en bois). Le tailleur est payé « pour