Chevalerie

DE LA CHEVALERIE A LA FRANC-MACONNERIE Une marche vers la pureté intérieure pour une humanité meilleure 1 Histoire de la Chevalerie La Chevalerie n’est pas une de ces institutions officielles et régulières qui font soudain leur apparition dans l’histoire. Elle n’a rien qui rappelle dans ses origines les origines d’un ordre religieux. C’est moins une institution qu’un idéal ! La Chevalerie du XI et XIIième siècle n’a jamais été héréditaire et il a toujours fallu un rite spécial

Histoire Médiévale Du 11e au 15e siècles. LES BELLATORES Moyen-Age central et tardif. Rupture entre le 13ème et le 14ème siècle. Histoire sociopolitique : Noblesse et chevalerie. Les Bellatores, ceux qui font la guerre. Origines de la chevalerie. 800 : Avec le traité de Verdin, l’empire de Charlemagne éclate peu à peu en royaumes, puis en principautés, puis en comtés. 1000 : Les comtés éclatent en seigneuries. Mise en place de la féodalité = Les anciens officiers des comtes deviennent des seigneurs

Thème 2 : Chevalerie « Chevalerie : Institution féodale, qui au Moyen-âge, rassemblait les combattants à cheval, puis les nobles. On accédait à la chevalerie par la cérémonie de l’adoubement. Les chevaliers entraient au service d’un seigneur, qui leur concédait un fief en l’échange de leur aide militaire. L’Église, dans la seconde moitié du XIème siècle imposa les règles religieuses et morales du code chevaleresque : protection des pauvres, des orphelins et des veuves, loyauté, fidélité, vaillance

Amour, folie et chevalerie dans Yvain ou le chevalier au lion L’amour et la chevalerie sont les thèmes principaux des romans de Moyen-âge et Chrétien de Troyes ne fait pas exception à la règle. Il est d’ailleurs considéré comme l’écrivain le plus important de cette période. Dans Yvain ou le Chevalier au lion (écrit vers 1175), nous avons affaire à l’amour entre Yvain et Laudine mais également à des combats chevaleresques. Il convient alors de se demander dans quelle mesure l’amour, la folie et

Paul-Erwann CLOSON 2°5DS n°2 d’HistoireNote :Observations :Ce document est un extrait du livre intitulé « Éloge de la nouvelle chevalerie » écrit en 1129 par Bernard de Clairvaux. Bernard de Clairvaux est un moine cistercien du XIIème siècle. Il est à l’époque une personne très importante du clergé puisqu’il va donner comme pape a l’église Eugene III, il en deviendra plus tard son principal maitre à penser. Il soutiendra aussi le pape dans la 2nd croisade où il la prêchera avec conviction

Traductions d'Ovide Les Commandemanz Ovide (perdu), d'après Remèdes à l'amour ; L'Art d'amors (perdu), d'après L'Art d'aimer ; Le mors de l'épaule (perdu), d'après l'histoire de l'épaule de Pélops mangée par Démeter, livre VI des Métamorphoses ; La Muance de la hupe, de l'aronde et del rossignol, connu sous le titre de Philomena, d'après l'histoire de la métamorphose de Térée, Philomèle et Procné, livre VI des Métamorphoses ; Romans arthuriens un roman del roi Marc et d'Ysalt la blonde

Le mot chevalerie est un dérivé du mot cheval, lui-même du bas latin caballus, « mauvais cheval » (à distinguer du latin classique equus), dont les mots « cavalerie » et « cavalier » sont aussi dérivés. Le terme sous-entend une forte distinction entre les chevaliers, combattants professionnels d'élite montés à cheval, et les paysans et les bourgeois, souvent considérés comme médiocres combattants, qui fournissaient la masse de l'infanterie, et, plus tard, de l'artillerie. La chevalerie a peu à peu

L'accès à la chevalerie constitue un bon moyen pour connaître une ascension sociale. Cependant, cette promotion n'est pas systématique. Le titre de chevalier pouvait se perdre si le chevalier en question était malade par exemple et que par conséquent, il ne pouvait plus assurer sa fonction militaire. En outre, le chevalier pouvait avoir subi des blessures graves durant une bataille ou un affrontement et ne plus pouvoir combattre par la suite. De fait, il perdait son statut et était petit à petit

- La Chevalerie - Ma planche m’a été inspirée suite au travail qu’a dernièrement présenté Pierre en traitant du Moyen Age. Mais mon propos ne sera pas de développer plus à fond le thème de la chevalerie au Moyen Age, mais d’aborder plus la chevalerie en tant qu’idéal pour notre temps, au même titre que la Franc-maçonnerie, avec me semble-t-il quelques points de similitude, si tant soit peu que l’on s’intéresse au symbolisme. Mais avant de traiter du fond du sujet, il convient d’abord de rappeler

la même bipartition, le Conte du Graal diffère des autres romans arthuriens sous plusieurs aspects. La première partie ne débute plus à la Cour d’Arthur, mais par une scène de la “Gaste Forêt”. Elle présente la triple initiation de Perceval: à la chevalerie (épisode de Gormant et de Goort), à l’amour (les épisodes de Blanchefleur et des gouttes de sang sur la neige – scène dont on peut affirmer avec certitude qu’elle représente la préfiguration du concept de la mémoire affective développée surtout