Chios

s’accompagnant d’un instrument, les poèmes épiques qu’il composait à la demande d’un public aristocratique devant lequel il se produisait. Il aurait été d’autre part originaire d’une région grecque de l’Asie Mineure appelée l’Ionie, peut-être de l’île de Chios où existait une confrérie d’homérides qui prétendaient descendre d’Homère et revendiquaient son héritage. Mais Strabon, géographe grec du premier siècle de notre ère, signale que Smyrne, située dans la même région, passait elle aussi pour être la ville

de Rhodes. Celui-ci envisage de porter la guerre en Macédoine en débarquant en Grèce (il prévoit un débarquement en Eubée) et en organisant une révolte générale. Le sentiment anti-macédonien demeure vivace dans de nombreuses cités. Memnon reprend Chios, qui lui est livrée par le parti oligarchique puis il rétablit le tyran Aristonicos à Méthymne et met le siège devant Mytilène. C'est alors que Memnon meurt (probablement au début de l'année 333 avant Jésus-Christ) et que son plan est abandonné par

avaient composé des ouvrages semblables que nous ne connaissons que par quelques rares mentions des géomètres alexandrins et de Suidas. Le problème de l'aire du cercle retint de bonne heure l'attention des mathématiciens. L'un des premiers Hippocrate de Chios, qui florissait vers 440, l'étudia avec méthode, et, ayant reconnu l'impossibilité de carrer directement cette aire (c'est-à-dire de l'exprimer directement par une aire rectiligne), il crut tourner l'obstacle en cherchant d'abord l'aire de la lunule

considérablement et certaines régions de Grèce sont presque désertées, comme la Laconie ou la Messénie. On ne compte plus que 40 sites occupés au XIe siècle pour 400 au XIIIe. On note parallèlement la présence de réfugiés achéens en Attique, en Eubée, à Chios, à Chypre et sur les côtes d’Anatolie et leurs îles avoisinantes, voire même dans la Méditerranée occidentale ; chaque groupe semble se replier sur lui-même et vivre en autarcie sous l’autorité du chef local, le basileus mycénien, personnage subalterne

soutient la 1ère avec prise d’otages et garnison installée à Samos. Samos demande l’aide des Perses −> siège, remise de la flotte, destruction des murailles. 1. Toutes les cités paient leur contribution à la ligue en argent sauf Samos, Chios et Lesbos, qui sont les alliées d’origine de la ligue. Montant du phoros décidé au cas par cas (entre 1 et 15 talents). Au total, environ 400 talents par an et 1/60ème de la contribution versée par chacun des alliés est prélevé

on rapporte qu’ayant prévu, grâce à ses connaissances astronomiques, qu’il y aurait une abondante récolte d’olives, il employa dès l’hiver le peu d’argent dont il disposait à verser des arrhes pour louer tous les pressoirs d’huile de Milet et de Chios ; en l’absence de tout enchérisseur, il les afferma à bas prix. La saison venue, comme on recherchait en même (2) La Politique Livre 1 (VII) (3) ibidem temps et sans délais, beaucoup de pressoirs, il les sous-loua au prix qu’il voulut ; grâce

*Originaire de Chios selon une tradition car il existe dans cette ville une guilde des poètes qui s’appelle les homérides ,associée à un sanctuaire locale . *Poète associé à un hymne à Apollon qui laisse entendre qu’Homère à été le plus grand poète de Chios.

b) Le sophiste devient une nouvelle figure sociale : A l’origine, les sophistes étaient des Grecs itinérants, attirés par la renommée d’Athènes. En 429-413 av. J.-C., après la mort de Périclès, ils s’installent (Protagoras, Gorgias, Prodikos de Chios, Hippias d’Elis). Une seule exception confirme la règle : Antiphon ést le seul Athénien à avoir exercé la profession de sophiste. Ce sont des maîtres dans les mots et non dans les concepts selon Xénophon. Leur nom est très ambigu. Originellement, le

bonnes gens, ils égorgent les grecs xxxx". Du côté turc, le sultan a Méhémét Ali, son fils arrive et les troupes vont se livrés à une répression particulièrement féroce (pendus, égorgés…). L'épisode le plus atroce a lieu en avril 22, les massacres de Chios juste en face de Izmir (à l'époque Scio). On décompte 22 000 morts, 47 000 personnes en esclavage sur 90 000. * Un mouvement dans toute l'Europe d'aide aux grecs va se constituer, le philhellénisme (romantiques, chrétiens, monarchistes, libéraux…)

mer Egée, colonisation grecque au 8ème siècle, témoigne d’Homère comme un poète prestigieux. Aurait écrit Margitès, Iliade, Odyssée, Batrachomyomachie. Mais on ne sait toujours pas s’il a existé ! Hypothèses plus sérieuses : né à Smyrne, vécu sur Chios, île en face de Smyrne. II – Quelle civilisation décrit-il ? 1) L’âge du Bronze (3000-1000) a- Les Minoens (2700-1500) Parlent une langue qu’on ne sait pas déchiffrer aujourd’hui, civilisation brillante, commerce sur mer Egée et Méditerranée