Chlamydia

tenter d’« améliorer » l’espèce humaine. Les maladies sexuellement transmissibles Les maladies sexuellement transmissibles sont des maladies infectieuses provoquées par des bactéries (gonocoques, Treponema pallidum responsable de la syphilis, chlamydia…), des virus (hépatite B, HIV, herpès, papillomavirus …), ou des mycoses (Candida albicans). Ces infections se transmettent lors de rapports sexuels mais peuvent également se transmettre par d’autre voies : une mycose peut être provoquée par la

76ans pou l’homme et 82 femme Contraception : condom, pilule administrative continue, contraceptif injectable, timbre contraceptif, minipilule, contraceptif d’urgence, la pilule, ligature des trompes de Fallope et la vasectomie ITS : infection à chlamydia, Gonorrhée, syphilis, l’hépatite B, L’herpès génital, morpions et la gale, virus du papillon humain(VPH), vaginite à trichomonas et ou à levure. Chromosomes et les gènes : un élément du noyau cellulaire qui referme toute l’information héréditaire

inhibition doxycycline, LINES fixation de l’AAminocycline RNt - Staphylocoques Neisseria Listeria Entérobactéries Pseudomonas Mycobactéries pour certains Bactéries aérobies et anaérobies bactéries à dvpmt intra-cellulaire (Rickettsia, Mycoplasma, Chlamydia) Bactéries G- et G+, dvpt intra-cellulaire + ttt de première intention des infections à Brucella, Pasteurella, Yersinia, Franciscella) Phosphoryl Germes anaérobies (alpha3 ), stricts ou nucléotidyl et aérotolérants acétyl-transférases (strepto,

micro-organismes Bacteria Archaea Protistes Bacteria Bactéries « classiques » Procaryotes Pas de noyau Reproduction asexuée Paroi cellulaire rigide Algues Protozoaires Eucaryotes Myxomycètes Moisissures aquatiques Virus ATNC Chlamydiae Parasites intracellulaires obligatoires Mycoplasmes Dépourvues de paroi cellulaire rigide ??? bioweb.uwlax.edu ATNC Anton van Leeuwenhoek (1632-1723) Agent transmissible non conventionnel Prion son microscope Virus satellite

(plaie ouverte, partage de seringues) ou par transmission de la mère à l’enfant (grossesse, accouchement, allaitement). Il faut donc se protéger avec des préservatifs. Il existe aussi d'autre maladies comme Gonorrhée, l'Herpès génital ou encore la Chlamydia. III/ Se protéger des I.S.T : Il existe différents moyens pour se protéger des IST et du sida. Le préservatif est bien évidemment le meilleur moyen de protection lors de relations sexuelles, mais ce n'est pas le seul moyen pour se protéger efficacement

typhoïde Brucella sp: brucellose Legionella pneumophila: légionellose Listeria monocytogenes: listériose Francisella tularensis: tularémie OBLIGATOIRES Mycobacterium leprae: lèpre Rickettsia sp: fièvre boutonneuse, typhus Coxiella burnetii: fièvre Q Chlamydia sp: trachome, pneumopathies BACTERIES Mycobacterium tuberculosis 4, 411, 532 bp Mycobacterium leprae 3, 268, 203 bp BACTERIES • • • • • • BACTERIES EXTRACELLULAIRES Affection aiguë Pathogénicité par toxines Protection par anticorps

jetable qui recouvre le col de l'utérus et qui contient un spermicide. -> Le diaphragme est une calotte en latex à insérer avant chaque rapport en y associant des spermicides. Il permet de prévenir certaines MST tel que les gonocoques ou les chlamydias. -> Sous forme de calotte également, la cape cervicale est creuse. Elle est fixée au col de l'utérus et empêche les spermatozoïdes et les bactéries d'entrer dans le col. -> Le stérilet est un dispositif en forme de T intra-utérin (que l'on

transmission du VIH. C’est pourquoi ce virus peut se transmettre : - lors d'un rapport sexuel sans préservatif avec une personne contaminée par le VIH ; être atteint par une autre IST= infections sexuellement transmissibles (syphilis, infection à chlamydia, herpès génital…) accroît le risque de transmission du VIH ; Il est à noter que le risque de transmission du VIH lors d’une fellation ou d’un cunnilingus existe même s’il est faible. Une pénétration anale accroit le risque à cause des ulcérations

bilan précis, avec un certain nombre d'examens complémentaires. Parmi les causes le plus fréquentes : Séquelles d'infection de l’appareil génital Certaines infections sexuellement transmissibles touchant l'appareil génital (comme une infection à Chlamydiae) peuvent - au final - obstruer partiellement ou totalement les trompes utérines, et empêcher le passage des spermatozoïdes. Une des difficultés provient du fait que l'infection n'est parfois pas détectable. Il ne faut pas à hésiter à consulter au

une méthode locale chimique (spermicides). Ce sont les seuls moyens de contraception à apporter également à leurs utilisateurs une protection contre les infections sexuellement transmissibles (sida, mais aussi blennorragie, herpès, infections à Chlamydia, hépatite B). . a-Préservatif masculin Préservatifs masculins Le préservatif masculin est un mode de contraception fonctionnant comme une barrière physique, empêchant les spermatozoïdes d’entrer dans les voies génitales