Chlamydia

(SOPK) Anovulation Réserve ovarienne diminuée Dysfonctionnement lutéal Ménopause précoce Dysgénésie gonadale (Syndrome de Turner) Tumeur ovarienne Facteurs tubaux/péritonéaux Endométriose Adhésions Infection, due notamment à chlamydia Occlusion tubaire Facteurs utérins Endométriose Malformation utérine Fibrome utérin Syndrome d'Asherman Facteurs cervicaux Sténose cervicale Anticorps dirigé contre les spermatozoïdes Facteurs vaginaux Vaginisme Obstruction

MALADIES NERVEUSES Paralyse – Sciatique – Vertiges- Névroses Céphalées – Insomnie - Tremblement. MALADIES D’APPAREIL CIRCULATOIRE Cardiaque – Hypertension artérielle Artériosclérose – Diabète MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES Syphilis – Chlamydia – Gonococcie – Faiblesse sexuelle – Stérilité. MALADIES COURANTES Articulations & muscles – Filaires – Zona Malaria – Typhoïde (examen gratuit)hémorroïdes-Obésité- Rhumatisme- Mal de nerf, dos, etc. EN ADDITION !!!! Santé de corps – Perte

péritonite) - Infections génito-urinaires : . infections urinaires hautes et basses . vaginites, vaginoses, endométrites et salpingites - Endocardites - Infections sexuellement transmissibles : . syphilis, uréthrites à gonocoque et à Chlamydia trachomatis - Infections des tissus mous : . érysipèle, fasciite, abcès, furoncles, maladie de Lyme - Infections materno-fœtales et chorio-amniotiques 11 heures III. Infections parasitaires Pour chaque pathologie traitée

adaptée au germe Chirurgie Retentissement cardiaque Persistance infection malgré traitement Taille de la végétation et risque emboligène PERICARDE Virus Entérovirus Bactéries  Borrelia burgdorferi, Leptospira sp. , Mycoplasma pneumoniae, Chlamydia, sp. , Legionnella, Coxiella, Bartonnella, Tropheryma whipplei… Parasites  Toxoplasma gondii, Trypanosoma sp. , Trichinella spiralis Champignons  Histoplasma, Coccidioides, Blastomyces CLINIQUE Fièvre AEG Douleurs thoraciques (DT)

Moraxelles Bacilles à Gram+: Corynebacterium diphteriae, Listeria monocytogenes, Bacillus Certains bacilles à Gram- : Campylobacter, Helicobacter, Legionella Certains anaérobies: Eubacterium, Propionibacterium Autres bactéries: Mycoplasma pneumoniae, Chlamydia, Borrelia. Staphylocoque, Streptocoque. les lincosamides sont inactifs sur les entérocoques. Staphylocoque et autres Cocci à Gram+ Mode d’action Sous unité 30S du ribosome. Erreur de lecture du code génétique lors de la traduction des protéines

ou par d’autres germes * Une salpingite, c’est une inflammation aigue ou chronique de la trompe de Fallope (c’est un conduit reliant les ovaires a l’utérus) produite par des infections. Dans plus de 50 % des cas l’infection est causée par le Chlamydiae ou par les germes mycoplasmes et les gonocoques. * Les séquelles d’une grossesse extra utérine * La suite d’une intervention chirurgicale * L’endométriose, c’est une anomalie gynécologique ; tissu de l’endomètre (recouvrant la paroi

d’une leucorrhée et d’une dyspareunie. Microorganismes responsables Les 2 principales bactéries responsables sont : - Neisseria gonorrhoae ou gonocoque - Chlamydia trachomatis Normalement, un prélèvement urétral ou vaginal permet d’isoler le microorganisme en cause. Toutefois, il est important de noter que les infections à Chlamydia évoluent sur un mode subaigüe, pauci symptomatique. L’écoulement est en général clair. SIH Caudan Page 15 sur 49 24/12/2010 A l’inverse, les infections

les cycles sont ovulatoires ☻ Bilan hormonal : Les bilan thyroïdien et prolactinémie ☻ Echographie pelvienne ☻ Hystérosalpingographie ☻ Test post-coïtal (= test de Hühner) ☻ Prélèvements vaginaux à la recherche d'une infection latente (chlamydia, mycoplasme…) En deuxième intention, selon les résultats des examens précédemment réalisés : ☻ Hystéroscopie diagnostique ☻ Cœlioscopie diagnostique ☻ Et d'autres, selon l'orientation Chez l'Homme : ☻ Bilan clinique : âge, profession

sournoises: L'infection à chlamydiae peut évoluer sans le moindre signe. Chez la femme, ce germe l'expose à une infection des trompes (salpingite), à un risque de stérilité et de grossesse extra-utérine. L'infection bactérienne à mycoplasme est tout aussi discrète et peut être responsable des mêmes conséquences. Parfois, elle se traduit par des pertes et des démangeaisons assez banales mais dans 40% des cas, il n'existe absolument aucun signe. Fréquemment associée à l'infection à chlamydiae, les médecins recherchent

uro-génitale, le plus souvent contractée lors de rapports sexuels non protégés, qui « remonte » vers l’utérus, puis vers l’une ou les deux trompes. Les germes les plus fréquemment en cause sont les gonocoques (responsables des blennorragies), les chlamydiae, ou les mycoplames. Il n’est pas rare de découvrir différents types de germes.