Chlamydia

microbicide, le VivaGel®, qui se présente sous forme de gel basé sur une formulation nano-pharmaceutique. Ce gel vaginal féminin pourrait être utilisé dans la prévention des maladies sexuellement transmissibles comme le VIH, l’herpès génital et la chlamydia. Il empêcherait le!virus d’entrer en contact avec nos cellules. ! !LES!NANOTCHENOLOGIES!AU!SERVICE!DE!LA!MEDECINE! Page22! ! Actuellement, des essais cliniques sont réalisés sur des humains avant de le mettre sur le marché. Mais à l’échelle

réalisés pour réduire l’occurrence de relations sexuelles non protégées (Gerrard, Gibbons, Benthin, & Hessling, 1996 ; Gerrard, Gibbons, & Bushman, 1996). Une autre étude démontre que la plupart des adolescentes (i.e. 81.3%) diagnostiquées avec des chlamydias ou des gonorrhées sur une période d’un an se percevaient initialement comme peu vulnérables aux maladies sexuellement transmissibles (Ethier et al., 2003). Une étude récente effectuée auprès d’une population de toxicomanes démontre également que

d) Cytomégalovirus.................................................................................................. 37 e) Herpès simplex ..................................................................................................... 38 f) Chlamydia trachomatis ....................................................................................... 38 g) Mycoplasmes ........................................................................................................ 39 ABBASI, OUHAMMOU, TOUFFAHI

poliomyélitique, virus de la rougeole et virus de la grippe Contrôle de qualité des vaccins (poliomyélite, rougeole…) Diagnostic et épidémiologie moléculaire de la pathologie infectieuse avec génotype de la résistance (VIH, HEPATITES B et C, tuberculose, chlamydia…) F. PERSONNEL Composé de 39 personnes réparties comme suit : Un Professeur de l’enseignement supérieur en médecine agrégée en immunologie ; chef de Département, Un médecin Biologiste Quatorze Ingénieurs en Biologie, Dix Docteurs scientifiques

translucide, inquiétant par sa persistance mais indolore. Il s’agit d’une urétrite non gonococcique due à une Chlamydia ou éventuellement un mycoplasme, un trichomonas. Votre conseil Suggérez une consultation urologique, vous n’avez rien d’autre à faire. Pour traiter correctement ce malade, il faut faire un examen direct, au microscope, de l’écoulement, une recherche de chlamydiae dans un prélèvement urétral ou les urines, éventuellement une culture avec antibiogramme du prélèvement uréthral

quelques jours après l'opération afin de permettre de chasser les caillots et d'en éviter la formation. Il s'agira d'utéro-contractants ou encore d'une pilule qui préviendra d'une synéchie. On peut aussi prescrire un traitement antibiotique anti-chlamydia en pré et/ou post IVG. La technique du curetage n'est plus guère utilisée. Le procédé est le même que l'aspiration. Seulement, l'utérus est évacué à l'aide d'une curette, instrument en forme de cuillère. Complications opératoires de l'IVG Elles

l’intérieur des cellules à partir des constituants et des éléments nutritifs présents dans le cytosol et en utilisant le métabolisme énergétique de l’hôte. De plus, on parle de : - Parasitisme intracellulaire obligatoire; Ex: Virus, rickettsies, Chlamydia, certains protozoaires. - Parasitisme intracellulaire facultatif; Ex: Bactéries : Mycobacterium (M. tuberculosis et autres), Legionella ... Quelques protozoaires (Toxoplasma) et mycètes (Candida). FIGURE 4. 4.3 Relations entre les microorganism

¤ Clostridium tetani (responsable du tétanos). -Autres : ¤ Richettsie (responsable du typhus et de pneumonies atypiques). ¤ Mycoplasmes (responsables de pneumonies et d’infections uro-génitales). ¤ Chlamydiae (responsable de pneumonies, d’infections génitales, de psittacose et de trachome). ¤ Spirochete (responsable de la syphilis borreliose, la maladie de Lyme et de la leptospirose). ¤ Mycobactéries atypiques (dont MAC

Clinique 55 5- Les Vibrions 6- Neisseria 7- HaemophiIus 8- Les bacilles à Gram négatif d’identification difficile 9- Legionella 10111213141516171819Les Anaérobies Les Mycobactéries Les Tréponèmes Les Leptospires Borrelia Rickettsia Listeria Chlamydia – Mycoplasma Brucella Les diarrhées aiguës bactériennes : épidémiologie et diagnostic au laboratoire 20- Toxi-infections alimentaires d’origine bactérienne : épidémiologie et diagnostic au laboratoire 21- Les infections nosocomiales d’origine

urinaire basse à Escherichia coli, Proteus, Staphylococcus saprophyticus… * Pyélonéphrite aiguë avec le même type de germe que dans la cystite * Chez l'homme : Cystite souvent + prostatite aiguë /chronique ; épididymite aiguë (Gonocoque, Chlamydia) * Chez l'enfant jeune, si les infections urinaires sont récidivantes, rechercher une éventuelle malformation ou un reflux urinaire Coproculture = Examen bactériologique des selles Conditions de prélèvement Prélèvement de selles réalisé