Chlorelles

|Phase folliculaire | |cycles normaux | |   Document 2 : étude du rôle de la RubisCO Des chlorelles, algues unicellulaires sont cultivées dans un milieu où barbote de l'air enrichi en CO2 radioactif. On mesure au cours du temps les concentrations en APG (acide phosphoglycérique) et en C5P2 (ribulose biphosphate). Les concentrations sont déduites

les mêmes besoins nutritifs et par conséquent le même métabolisme. Dans ces TD, nous ne traiterons qu’une étape de la  résolution de ce problème en recherchant quels sont les besoins nutritifs de deux types d’unicellulaires : les levures et les chlorelles. Nous utiliserons la démarche expérimentale. TD N°5 a le métabolisme de la levure Compétences, capacités et objectif : recenser, extraire et organiser des informations pour définir le métabolisme. Chercher hypothèses et conséquences

d'Armor où le montant s'élève 100 000 euros. Conclusion : Grâce à des expérience faites par notre groupe dont les photos apparaitront sur le diaporama lors de notre passage à l'oral, nous avons pu voir que le nombre d'algues (utilisée ici : chlorelles) présent au début dans 0,005 microlitres était de 600 cellules est devenu, au bout d'une semaine ou ces algues ont été cultivée avec une bonne exposition à la lumière et une goutte d'engrais NKP, les cellulues se sont multiplier jusqu'au nombre

Devoir maison 1 cl wv Exercice 1 : L’élément chloreLe noyau de l’isotope le plus commun de l’élément chlore a pour représentation symbolique . 1) Que signifient les deux chiffres indiqués à gauche du symbole de l’élément ? En déduire alors la composition de ce noyau (nombre de protons et de neutrons). 2) Rappeler la charge électrique globale d’un atome. En déduire alors le nombre d’électrons possédés par l’atome de chlore. 3) Donner alors la structure électronique du chlore. En déduire

Chez les mollusques, il existe au moins 10 genres de symbioses. TABLEAU 1) Spongiaires Les spongiaires hébergent une grande variétés de microorganismes. Nombre d'entre eux sont des symbiontes, ils ne sont pas phagocytés et libères du glucose (chlorelles en eau douce) ou du glycogène (cyanelles en eaux marines) dans les tissus de l'hôte. Les symbiontes bougent plus ou moins activement entre les cellules du spongiaire. Certaines algues sont parfois phagocytées mais pas digérées. Les algues unicellulaires

Partie 1:La proposition fausse est la b, il faudrait écrire que les allèles d’un même gène n’ont pas nécessairement la même séquence.L’ADN est une molécule formée de 2 chaînes de nucléotides complémentaires qui s’enroulent en formant une double héliceLa séquence d’ADN correspond à l’enchaînement des nucléotides qui constitue l’information génétique sous forme de gènes et d’allèlesLes cellules spécialisées ont toutes le même génome, qui correspond à l’ensemble des gènes, identiques entre cellules

entre le spectre d'absorption de pigments chlorophylliens et le spectre d'action de la lumière sur la photosynthèse d'une suspension d'algues unicellulaires. Absorption (courbe rouge) en % de l’absorption totale de la lumière incidente par des chlorelles Action (courbe bleue) : activité photosynthétique en unité arbitraire Les spectres d'action et d'absorption ont été normés dans le rouge à 680 nm (maximum d'absorption des chlorophylles a). Dans ces conditions, les deux spectres se superposent

production d’une matière carbonée. Les feuilles de pélargoniums placés à la lumière ont synthétisé de l’Amidon (sucre complexe), matière organique carboné, réactif, l’eau iodée => coloration : bleu-violet. Document 3 : Apport de CO2 pour les chlorelles (algues unicellulaires) ; expérience de Calcium en 1952 afin de synthétiser des molécules organiques (glucides, protides) en présence de la lumière. Document 4 : Les besoins minéraux des plantes en horticulture (hors sol) et l’apport de l’eau

entier. Leur pigment dominant est la chlorophylle, soit le même pigment qui donne la couleur verte à la majorité des plantes terrestres.Leurs formes et leurs tailles sont très variables : elles peuvent être microscopiques et unicellulaires comme la chlorelle (Chlorella vulgaris), grandes et pluricellulaires, en forme de lames plates, comme la laitue de mer (Ulva lactuca). D’autres, filamenteuses, se présentent sous la forme d’un tube, rappelant celui d’un intestin (Enteromorpha intestinalis). Ces

unicellulaires, certains ce fixent juste sur la surface, certains ne sont pas phagocytés et vont libérer du glucose en eaux douce et du glycogène en mer dans les tissus de l’hôte. Cnidaires Les hydres d’eau douce et chlorelles, on peut retirer de ces symbiontes mais va mieux avec (chlorelle relarguent 45 à 50% du carbone fixé). Les anémones et zooxanthelles sont phagocytées par des cellules endodermique (tentacules, disque oral), on peut trouver des organes spécialisée sur les tissus externe, les boutons