Chlorofluorocarbon

mondial pour la protection de l’environnement. Son but est de réduire des rejets de gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l’oxyde nitreux (N2O), qui sont des gaz à effet de serre, ainsi que trois substituts des chlorofluorocarbones (CFC), qui s’attaquent à la couche d’ozone, dans les pays industrialisés. 55 pays, qui ont été responsable pour 55% d’émissions, ont signé ce traité pour réduire leurs rejets. Le seul pays qui n’a pas signé sont les Etat Unis. Ce traité compte

frigorifique, solvants et produit de lutte contre les incendies. Du fait de leur inertie chimique les CFC parviennent dans la stratosphère ( altitude de 10 à 40 km ou ils participent à la destruction de l’ozone. Exemple de fréons ou CFC ( chlorofluorocarboné) Exemple de téflon : polymère qui a une bonne résistance thermique et chimique. Usage : ustensile de cuisson ou l'aliment n'attache pas. Structure : Les halogénoalcanes donnent lieu à trois types principaux de réactions: Les

l’élimination incorrectes de produits contenant des CFC. Cette catégorie comporte les chlorofluorocarbones totalement ou partiellement halogènes ainsi que les halons. Il a une durée de séjour d’environ 102 ans. [pic] [pic]

[1] Les formes principales de pollution incluent : Pollution atmosphérique, le dégagement des produits chimiques et substances particulaires dans l'atmosphère. Les exemples communs incluent l'anhydride d'oxyde de carbone et sulfureux, les chlorofluorocarbones (CFCs), et les oxydes d'azote produits en industrie et véhicules à moteur. L'ozone et le brouillard enfumé photochimiques sont créés pendant que les oxydes et les hydrocarbures d'azote réagissent à la lumière du soleil. Arroser la pollution

notre santé. La couche d’ozone est située à 25 km d’altitude et est primordiale pour notre survie. En effet, cette dernière filtre les rayons ultraviolets du Soleil et protège de ces rayons les êtres vivants. Des gaz polluants tels que les chlorofluorocarbones (CFC), utilisés dans les aérosols, laques et déodorants ont aminci cette couche et ont formé des « trous » comme celui au-dessus de l’Antarctique. Le protocole de Montréal signé en 1987 a permis de réduire leur utilisation et leur concentration

production de froid 2 EXP-305 version mai 2008 Introduction Le problème de la destruction de la couche d’ozone et du changement climatique (augmentation générale de la température moyenne de la terre), dû entre autres aux émissions des chlorofluorocarbones (CFC) et des hydrochlorofluorocarbones (H-CFC), est connu depuis longtemps. Ceci fait que mondialement des dispositions ont été prises pour réduire, voire arrêter la fabrication et l’utilisation des fluides du type CFC et H-CFC. Due à la longévité

1950 à aujourd’hui, on peut constater grâce aux mesures réalisées, une forte augmentation de gaz à effet de serre présent dans l’atmosphère comme le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), la vapeur d’eau, le protoxyde d’azote (N2O), les chlorofluorocarbones (CFC) dit « fréons » et assimilés. B – CO2 dans l’atmosphère L’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère est sans précédent dans l’histoire de la terre. Les émissions de CO2 sont passées de 1,7 milliards de tonnes en 1950 à plus de

directement toxique pour l'homme et les êtres vivants, à leur capacité éventuelle à changer ou perturber le fonctionnement d'un écosystème ou de la biosphère, soit en détruisant la vie (exemple : insecticides) ou ses conditions (exemple : chlorofluorocarbones détruisant la couche d'ozone), soit au contraire en sur favorisant certaines expressions (exemple : nitrates ou phosphates agricoles, favorisant une flore nitrophile au détriment des autres espèces, voire l'eutrophisation ou la dystrophisation des zones

internationale poussée». La montée des interdépendances s’est accompagnée de l’apparition, ou de la prise de conscience de l’existence, de problèmes globaux, notamment liés à l’environnement. Par exemple, «la consommation excessive de gaz chlorofluorocarbones (CFC) a dégradé la couche d’ozone, qui protège le globe du rayonnement ultraviolet. Aucun pays ne peut se prémunir des conséquences sanitaires de ce phénomène par une action unilatérale, ni ne peut prétendre résoudre le problème par une action

des halocarbures présents dans l’industrie du froid et les aérosols : le chlore atteint l’atmosphère et détruit l’ozone. Le protocole de Montréal vise donc à limiter la production de chlorofluorocarbone. Enfin, le trou de la couche d’ozone a tendance à stagner pour certains puisque l’émission de chlorofluorocarbone a diminué ces dernières années. II – Les principales causes de l’effet de serre 1) Les gaz à effet de serre Les gaz