Chlorofluorocarbon

2005 et en 2010 a été ratifié par 168 pays. Ce protocole vise à réduire, entre 2008 et 2012, de 5,2% par rapport au niveau de 1990 les émissions de 6 gaz à effet de serre : dioxyde de carbone, méthane, dioxyde d'azote et trois substituts des chlorofluorocarbones Le 12 décembre dernier, le Canada annonçait son prochain retrait du protocole de Kyoto. Cette décision pourrait être lourde de conséquences pour les futures négociations climatiques, et montre qu'une fois de plus, les intérêts économiques

livre aujourd'hui un système réfrigérant toutes les trois secondes. Le Protocole de Montréal, ratifié par les Nations Unies il y a 20 ans, a pour mission de faire cesser le recours à des substances nocives pour l'environnement telles que le chlorofluorocarbone (CFD) et l'hydrochlorofluorocarbone (HCFC) pour le fonctionnement de produits de climatisation et réfrigération. En 1994, Carrier était la première entreprise à éliminer le CFC de ses dispositifs de climatisation - soit 2 ans avant l'entrée

non directement toxique pour l'homme et les êtres vivants, à leur capacité éventuelle à changer ou perturber le fonctionnement d'un écosystème ou de la biosphère, soit en détruisant la vie (exemple : insecticides) ou ses conditions (exemple : chlorofluorocarbones détruisant la couche d'ozone), soit au contraire en surfavorisant certaines expressions (exemple : nitrates ou phosphates agricoles, favorisant une flore nitrophile au détriment des autres espèces, voire l'eutrophisation ou la dystrophisation

uitstralen, voortbrengen [xxvii] une pâte à papier = papierpap [xxviii] une centrale thermique = thermische (elektriciteits)centrale [xxix] le GPL = abréviation du gaz de pétrole liquéfié = LPG [xxx] un combustible = brandstof [xxxi] le chlorofluorocarbone = le CFC = CFK = chloorfluorkoolwaterstof [xxxii] un aérosol = spuitbus [xxxiii] une mousse = schuim, schuimplastic [xxxiv] un extincteur = (brand)blusapparaat [xxxv] un réfrigérant = koeler, koelinstallatie, koelmiddel [xxxvi] désormais

Polypropylène (PP) Satisfaisant Elastomères Isobutène - isoprène Buthyl (IIR) Satisfaisant Nitrile (NBR) Acceptable mais perte de masse importante par extraction ou réaction chimique Chloroprène (CR) Pas de données Chlorofluorocarbones (FKM) (VITON™) Non recommandé, perte de masse importante par extraction ou réaction chimique Silicone (Q) Non recommandé, perte de masse importante par extraction ou réaction chimique Ethylène - Propylène (EPDM) Satisfaisant

continuellement détruit et recrée et la couche se maintient tant qu’on ne rompt pas l’équilibre de ce mécanisme. Le processus de destruction de la couche d’ozone est favorisé par son pouvoir très oxydant, par réaction d’atomes de chlore issus de chlorofluorocarbone [21] ; cela crée des trous appelés trous d’ozone (à travers la couche d’ozone), qui se comblent naturellement à laide du catalyseur précieux qu’est le temps. Ainsi, une destruction massive de la couche d’ozone conduit à une reconstitution impossible

déforestation se fait par brûlis. En effet, la pousse de jeunes arbres ne peut plus absorber autant de carbone qu'en génère la dégradation des arbres morts ou brûlés remplacés par des cultures industrielles ou des pâturages ; l'utilisation des chlorofluorocarbones (CFC), puis des hydrochlorofluorocarbures (HCFC), dans les systèmes de réfrigération et de climatisation (réglementée par le protocole de Montréal) conduit aussi à des rejets préoccupants. Par exemple, le HCFC le plus communément utilisé, le

non directement toxique pour l'homme et les êtres vivants, à leur capacité éventuelle à changer ou perturber le fonctionnement d'un écosystème ou de la biosphère, soit en détruisant la vie (exemple : insecticides) ou ses conditions (exemple : chlorofluorocarbones détruisant la couche d'ozone), soit au contraire en sur favorisant certaines expressions (exemple : nitrates ou phosphates agricoles, favorisant une flore nitrophile au détriment des autres espèces, voire l'eutrophisation ou la dystrophisation

qui piègent le rayonnement émis par la Terre (infrarouge). Une partie de ce rayonnement est réémis en direction du sol, contribuant ainsi au réchauffement des basses couches de l’atmosphère. La vapeur d’eau, le gaz carbonique, le méthane, les chlorofluorocarbones (CFC), contribuent directement à l’effet de serre. L’influence de ces gaz est variable selon leur concentration dans l’atmosphère et leur structure moléculaire. Par exemple, les CFC sont les plus performants à quantité égale. Tout de même,

l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure) soit à leur capacité éventuelle à changer ou perturber le fonctionnement d'un écosystème ou de terre , soit en détruisant la vie (exemple : insecticides) ou ses conditions (exemple : chlorofluorocarbones détruisant la couche d'ozone) soit en utilisant de nitrates et phosphores en quantité énorme en agriculture, elles sont dangereuses pour l’homme et l’environnement il peut aussi s’agir d’espèce ou de pollution génétique pouvant perturber