Chlorofluorocarbure

sont, par ordre de contribution au pouvoir de réchauffement global (PRG), en France en 2010 :  le CO2  le méthane (CH4), qui a maintenant dépassé le  le protoxyde d'azote (N2O).  les HFC (hexafluorocarbures) qui ont remplacé les CFC (chlorofluorocarbures), les perfluorocarbures (PFC) et l'hexafluorure de soufre (SF6) Remarque : il existe d'autres gaz à effets de serre comme l'ozone ou la vapeur d'eau mais ceux-ci ne sont pas retenus comme indicateurs de suivi. Par ailleurs, on observe depuis

procédés industriels (ex : fabrication d'acide nitrique). Bien que marginale, la part attribuée au trafic routier est en forte hausse du fait de la généralisation des pots catalytiques sur les voitures. 2. Les gaz anthropiques a. Les Chlorofluorocarbures (CFC) Ils font partis de la famille des Haloalcanes. Les CFC résident de la réaction de substitution d’atomes d’hydrogène contenus dans des molécules d’alcane par des atomes d’halogène. Ex du fréon : Alcane + Halogène ( Haloalcane +

; à droite, croûte noire). Les polluants gazeux : La nature des polluants gazeux est variée : monoxyde de carbone (CO), dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4), oxydes d’azote (NO et NO2), protoxyde d’azote (N2O), dioxyde de soufre (SO2), chlorofluorocarbures (CFC), ozone (O3). Les polluants gazeux atmosphériques les plus nocifs pour la pierre sont le dioxyde de soufre et les oxydes d’azote (NO et NO2). Ce sont surtout des facteurs d’acidité de la pluie, mais ils peuvent aussi agir directement en

l'homme ajoute chaque année 15 millions de tonnes de carbone dans l'atmosphère, détruit près de 185,07 kilomètres carrés de forêt tropicale, crée 115,87 kilomètres carrés de désert, élimine entre 40 et 100 espèces et ajoute 2700 tonnes de CFC (chlorofluorocarbures) dans l'environnement. Tous cela pour une augmentation de population de 263000 par jour. De plus, à ce jour, plusieurs questions se posent. En effet, en analysant l’évolution du niveau de vie des pays émergeants à grande population tels que

alors que les premières interrogations sur le réchauffement climatique commencent à surgir. Le 16 septembre 1987 est signé le protocole de Montréal, qui vise à stopper les dégâts causés à la couche d'ozone, notamment en interdisant l'usage des chlorofluorocarbures et d'autres gaz nocifs pour la couche d'ozone[123]. En 1989, la convention de Bâle réglemente le commerce des déchets, en interdisant notamment l'exportation de déchets des pays développés vers les pays en voie de développement pour échapper

faut associer tout les pays du monde à le combattre, or les Etats-Unis, le plus gros pollueur s'y refusent, comment réussir à les intégrer ? Des mobilisations mondiales ont déjà eu lieu comme pour les baleines, les gaz destructeur d'ozone (chlorofluorocarbures) ; ces exemples montrent que la communauté internationale peut agir. En 1992, les chefs d'Etat se sont réunis à Rio et se sont engager à stabiliser la concentration des gaz à effet de serre dans l'atmosphère puis un grand nombre de réunion

atmosphériques Sources de contamination atmosphérique Dioxyde de soufre (SO2) et oxydes d’azote (NOx) Utilisation de combustibles fossiles. Procédés industriels. Métaux toxiques Utilisation de combustibles fossiles. Incinération de déchets. Chlorofluorocarbures (CFC) Systèmes de réfrigération. Bombes aérosol. Poussières et particules en suspension Cheminées d’usines. Tuyaux d’échappement des véhicules. b) Parmi les contaminants présentés en a), lesquels contribuent à la fois à la formation des

ultraviolet résulte d’un équilibre entre des réactions chimiques de dégradation (figure 2.1) et de processus de formation, principalement par le rayonnement solaire (figure 2.2). Les molécules de composés chlorés, parmi lesquels on trouve les CFC (chlorofluorocarbures), agissent comme des catalyseurs des réactions de dégradation de l’ozone et déséquilibrent les processus. Lorsque ces composés atteignent la stratosphère, ils se décomposent sous l’effet du rayonnement solaire et libère du chlore, qui à son

les déchets (chauffage urbain, production d’électricité, de compost…) dont le retraitement est devenu une activité rentable. L’Etat peut, par sa réglementation favoriser l’émergence d’une « économie verte ». De même, l’interdiction des CFC (chlorofluorocarbures) dans les bombes aérosols, prévue par la convention de Montréal, afin de diminuer le trou dans la couche d’ozone, a permis de remplacer ce gaz nocif par des produits substituts sans effet sur le réchauffement climatique. Document 18 – Les

profits industriels si elle avait dû être « payée » ; 2. L’amoncellement catastrophique de déchets hautement dangereux 3. Les dégâts, et leurs conséquences, causés à l'atmosphère (couche d'ozone, dioxydes de carbone, anhydride sulfureux, chlorofluorocarbures, furannes, dioxine, BPC, etc.) ; 4. L’inflation (expression directe de l'élévation continue du coût (global) de l'extraction et de l'usage de l'énergie) ; 5. Le chômage sans cesse démultiplié par les acquisitions et mégafusions d'entreprises