Chocs Pétroliers Et Prix Du Pétrole

surproduction. En 1973, le premier choc pétrolier entraîne une très forte hausse des prix du pétrole qui entraine une hausse de l'inflation et du chômage. La crise de 2008 est d'abord une crise financière liée aux subprimes. Elle s'étend à l'économie réelle avec un ralentissement de l'investissement et de la consommation, et la mise en place de politiques conjoncturelles est rapidement remise en cause par l'apparition des inquiétudes autour de l'endettement des Etats. Des chocs d'offre et de demande viennent

la critique monétariste Source : http://www.lyc-arsonval-brive.ac-limoges.fr/secosoc/article.php3?id_article=114 Plus transformation propre 1) De la relation entre croissance des salaires nominaux et chômage à la relation entre croissance des prix et chômage. En 1958 l’économiste néo-zélandais Alban William Phillips, publie un article dans la revue Economica pour rendre compte de son travail mené à la London School of economics. La recherche porte sur une liaison éventuelle entre le taux

débute à partir des années 1850 . Ainsi, les progrès techniques dans la sidérurgie et la chimie, la découverte de nouvelles sources d’énergie comme le pétrole et de nouvelles formes d’énergie comme l’électricité permettent l’essor d’activités . L’industrie automobile profite de la mise au point du moteur à explosion et de l’utilisation du pétrole . ●●Au xix e siècle, l’adoption du taylorisme et du fordisme, aux ÉtatsUnis puis en Europe, engendre une hausse de la productivité . L’offre de nouveaux

(matières premières, produits agricole, etc.), ce qui accentue l’impact de l’instabilité naturelle de certaines recettes sur l’économie national. L’analyse de l’instabilité des cours ne doit pas faire oublier que les chocs en volume peuvent amplifier ou compenser les chocs de prix. Si le marché connait un choc de demande négatif , les recettes d’exportation baissent sous un double effet d’une baisse des cours et d’une réduction des volumes achetés. Par contre, un choc d’offre négatif aura des effets

|Phénomene de stagflation (stagnation + inflation). Il n’y a pas de chutes de prix ce qui diminue | | | |la consomation. | | | |2)Facteurs explicatifs | | | |Les chocs pétroliers ( 1973, 1979).

décennie suivante (1970-80), une forte rupture de la croissance économique laisse apparaître une déformation du partage de la valeur ajoutée. Cette déformation est en partie dû au chocs pétroliers qui ont fortement influencée l'augmentation de l'inflation alors qu'à cette période , les salaire sont protégés de la hausse des prix par l'indexation[1]. Cependant, les gains engendrés par la production ont diminués. La part des salaires dans la répartition de la valeur ajoutée est alors bien supérieur a la

plus en plus le fossé avec la plupart des autres pays. Cette croissance repose d’autre part sur un petit nombres de domaines. Certains sont déjà anciens comme la sidérurgie, l’automobile ou l’électricité ; d’autres par contre sont nouveaux comme le pétrole, la pétrochimie, l’électroménager, l’optique, l’aéronautique, l’espace, l’électronique... 2) Les raisons d’une telle croissance La croissance résulte en fait de la conjonction de plusieurs facteurs : Le rôle des hommes tout d’abord. Le renouveau

Les entreprise doivent donc savoir vendre pour attirer le plus de clients possible. C’est dans ce contexte que certains hommes se démarquent à l’image de cas de Michel Edouard Leclerc, alors que les prix sont élevés partout, il invente le libre service. Il achète des hangars et vend des produits à bas prix pour les pauvres mais aussi les riches. Un syndicat a été crée contre Leclerc. Leclerc se bat pour pouvoir vendre, une loi sur l’interdiction d’interdire de vendre a donc été crée. Un autre homme

l’époque. A l’époque, on portait un regard différent sur ce qu’est un crise. Auparavant, ce qui comptait pour les agents : question de la stabilité des prix. A l’époque ce qui intéresse : l’évolution des prix (aujourd’hui : PIB). Le concept de production de l’époque est beaucoup plus flou. On va être attentif aux prix et on considère qu’une baisse des prix est bien le signe d’une dépression. ERNEST LABROUSS : cette crise a une composante moderne : se caractérise par des phénomènes de surproduction.

trimestrielle et 4,9% en glissement annuel) est notée malgré les contraintes évoquées par les chefs d’entreprises, liées à la distribution insuffisante de l’énergie électrique. Les conserves de poissons et de viande, le travail de grains, le raffinage de pétrole, les cimenteries et la construction (BTP) ont enregistré des performances appréciables sur le premier trimestre. 4. Pour le secteur tertiaire, la croissance des activités (7,4% en variation trimestrielle et 4,3% en glissement annuel)