Chomage Et Exode Rural

primaire) regroupe plus de la majorité de la population active. Le nombre d’agriculteurs ne cesse de diminuer même si le secteur primaire reste le plus important en nombre jusqu’en 1926. * Ce recul du nombre de salariés agricole s’explique par l’exode rural causé par la mécanisation de l’agriculture. Les ouvriers agricoles sont souvent des paysans-ouvriers (travaillant dans les champs en été, en hiver comme ouvriers dans les villes) qui, parce que leurs emplois sont remplacés par des machines, s’installent

progrès industriels, et le recours croissant aux engrais chimiques provoquent une mutation radicale du monde agricole. Le pourcentage d’agriculture dans la population totale n’a cessé de diminuer, des lors le secteur primaire est en crise. L’exode rural influe sur la croissance urbaine qui s’amplifie. Les jeunes quittent les campagnes, tant pour leurs études que pour travailler en milieu urbain. Au même moment émerge un nouveau secteur d’activités économiques : celui des services.

3ème partie : les conséquences Par conséquent, comme on produit plus avec moins de main-d’œuvre (amélioration de la productivité), il y a besoin de moins de travailleurs (actifs) dans le secteur agricole. On assiste dans certains pays à un exode rural. Il y a aussi la naissance d’une “société de consommation de masse” : la part des revenus consacrés à la nourriture, au logement, à l’habillement diminue au profit des dépenses pour le transport, l’hygiène, la santé. Les ménages se sont fortement

Dans les années 1960-1970, le quartier de la Plaine d'Ozon prit forme suite à un besoin de main-d’œuvre dans l’industrie, ce qui provoqua un exode rural et une immigration (Trente Glorieuse). Suite à cela s'ajoute l'indépendance algérienne (1962), ce qui provoqua un manque de logements, créa des bidonvilles (ex : les Renardières) et une augmentation du chômage. Ce quartier fut construit en 5 ans et apporta 2000 logements, de plus il est mieux situé que la plupart des ensembles HLM de France (bord de

raisons démographiques (natalité) et structurelles (sous- emploi rural), bénéficie d’un surplus de main d’œuvre à l’origine d’une offre illimitée de travail ; l’autre industriel qui absorbe ce surplus car la productivité marginale y est positive et croissante du fait de l’accumulation du capital et du progrès technique. Le départ des travailleurs est alors positif pour le premier secteur car il contribue entre autres choses à réduire le chômage qui y prévaut. A l’aune de cette théorie et en extrapolant

population vivait en milieu rural. En 1999 (150 ans plus tard), 75% de la population vivait en ville. Exode rural puis urbanisation. Exode rural tardif en France, a commencé au 19ème siècle mais c’est à partir de 1930 que l’on constate une répartition à peu près équivalente ville / campagne. Répartition équitable jusqu’en 1950. A partir de 1950, l’urbanisation l’emporte. Cliché des français sales fondé sur une réalité, pas forcément d’eau courante et d’électricité en milieu rural avant 1950. Retard sanitaire

très rapide évolutions. La plus marquante au regard des indicateurs est l’appauvrissement de la population de la zone. Celle-ci est encore plus importante au centre ville. Nous observons un exode des populations les plus aisées vers les zones extérieures de la commune. Autrefois, le quartier presque rural était composé d’un habitat occupé par des milieux modestes, mais aussi de maison de maîtres, comme le château de la « Marronnière », aujourd’hui propriété de la ville et qui arbitre un centre

libéralisme suscite alors des débats : Les socialistes sont divisés en deux : a] Il y a deux types de crises : Crise de cycle court où les crises sont ponctuelles. C’est une dépression. La croissance ralentit  les profits baissent => hausse du chômage Crise de cycle long : 1873-1887 (effondrement de la bourse de Vienne  ruine les banques  mise en difficulté des entreprises + crise agricole + nouveaux concurrents (les Dragons) => augmente les effets de la crise dans les pays industrialisés)

tensions sociales. A partir de 1846 → crise agricole, puis commerciale et industrielle. La misère alimente donc la lutte de la classe rurale. Les gagnants de la crise sont les fermiers et propriétaires, qui bénéficient de la forte hausse → tensions sociales. La classe dirigeante se trouve dans l’incapacité de répondre aux besoins de la population rurale, par contre du côté des départements à « industrie nouvelle » des mesures sont prises rapidement → inégalités toujours croissantes entre

POPULATION FRANCAISE ENTRE 1850 ET 1939 A- UNE SOCIETE DE PLUS EN PLUS URBAINE ET BOURGEOISE De 1850 à 1939, la population française augmente peu et s’urbanise. L’économie repose encore massivement sur l’agriculture. La France reste donc un pays rural jusqu’au début des années 1930 (p.50) alors que la population britannique est en majorité urbaine depuis les années 1870 et la population allemande l’est depuis les années 1910. Depuis la Révolution française, la France connait un ralentissement des