Christianisme Conclusion

permettre aux personnes qu’elles soient de sexes différents ou de même sexe de s’aimer de la même façon, sans différence. 1. L’homosexualité à travers l’histoire 2.1. La position de certaines grandes religions 1. a. Dans le Christianisme 1. b. Dans le Catholicisme 1. c. Dans l’Islam 1. d. Dans le Bouddhisme 1. e. Dans l’anglicanisme 1. f. Dans le Judaïsme 1. g. Dans le protestantisme 1. h. Dans la religion

l’intégration mutuelle II. La modernité : un pouvoir, une avancée, et/ou des rivalités ? 1) Personne n’a le monopole de l’humain, ni du fanatisme d’ailleurs. Aucune doctrine n’est à l’abri de dérapages. 2) L’évolution inversée de l’islam et du christianisme au creux du clivage Nord-Sud. 3) Le contexte, l’époque, la société, le comportement des hommes … autant d’influences différentes qui façonnent l’ouverture ou la fermeture au sein de chaque doctrine. 4) La naissance d’une civilisation de référence

La religion comme spiritualité est une idée postérieure, présente dans la culture allemande : Hegel et Schleiermacher. CONVIVTION / EMOTION / PAS COMME RITE  ces notions (ensemble) ne rendent pas compte des religions au moyen âge (judaïsme, christianisme, Islam) et dans l’antiquité. L’enjeu est le suivante : non pas une orthodoxie mais une orthopraxie (les textes sacrés sont des recueilles de foi et des pratiques, et non pas de dogmes). Autrement dit : le prêtre romain est un juriste et non

L’évangélisme L'évangélisme, plus couramment protestantisme évangélique ou encore christianisme évangélique, est une partie importante du protestantisme. Il ne faut pas confondre « évangélique » et « évangéliste». Ce dernier désigne les auteurs des quatre Évangiles ou peut qualifier une personne qui exerce un ministère de prédication principalement orienté vers les non-croyants. Les racines des évangéliques remontent au début du protestantisme, au XVIe siècle. Ils partagent encore aujourd’hui

organisation socio-politique, le système féodal et seigneurial mais ont pu aussi tirer bénéfice d’échanges culturels et commerciaux. Les croisades doivent être analysées en parallèle avec une croisade intérieure, visant à renforcer la prégnance du christianisme voire à combattre et éliminer les éléments considérés hérétiques (Croisade des Albigeois qui s’achève en 1229, bûchers à Montségur en 1243) L’échec des croisades a été une condition favorable à l’unité de l’Occident chrétien mais au lieu de favoriser

« méditer sur les ppes naturels et voir en quoi les Sociétés s’écartent ou se rapprochent de la règle éternelle, du vrai, du beau ? » « Ainsi, dépeindre la Société devait porter avec elle la raison de son mvt ». « l’œuvre, pr être entière, voulait une conclusion »-> n’implique pas un dénouement (cf notes Pléiade) ms caractère démonstratif & explicatif. -« la loi de l’écrivian, ce qui le fait tel… > à l’Hô d’Etat, est une décision qqconque sur les choses humaines, un dévouement absolu à des ppes » « instituteur

parce qu'il lui faut, à tout prix, une explication. Malheureusement, si beaucoup des choses qu'il dit, du moins dans la première partie des Pensées, sont vraies ou comportent une large part de vérité, non seulement elles ne sauraient conduire aux conclusions où il veut nous amener, mais elles les interdisent de la manière la plus radicale. Car, au total, rarement un auteur aura employé tant d'ardeur et tant d'acharnement à ruiner lui-même ses propres thèses, et à convaincre son lecteur du caractère

secondaire dès le dix-neuvième siècle, en 1860, elles ne duraient alors qu'une semaine. C'est en 1925 que la durée est allongée à deux semaines. L'appellation officielle est devenue vacances de printemps depuis 1981 afin d'en retirer toute référence au christianisme. Ces vacances ont donc encore une fois une origine religieuse chrétienne car Pâques célèbre la résurrection du Christ. Pâques est aussi un jour férié, et ce fête le premier lundi d'avril. Aujourd'hui, le lundi de Pâques a lui aussi une connotation

main. Bibliographie : Ouvrages généraux, Manuels : - Michel Peronnet, Le XVIe siècle, Hachette Supérieur, 1992. Ouvrages spécifiques : - Marc Venard, J.-M. Mayeur, Ch. Pietri, A. Vauchez, Histoire du christianisme, Tome 8 Chapitre V, pages 223-279. - Eric Suire, Vocabulaire historique du christianisme, Cursus, Armand Colin, 2004. Sites internet : - Nicole Lemaitre, Cours d'agregation d'histoire : « La réforme en continuité réussie, le concile de Trente », 2002-2003 http://histoire.univ-paris1.fr/agregation/moderne2003/cours12

Intro Sponde, pote dit baroque, fin XVIme. (1557-1595). pote essentiellement mystique (une posie religieuse, au moment des guerres de religion). Calviniste (protestant) qui sest converti au catholicisme. Problmatique du christianisme dans son oeuvre. Les Sonnets de la mort (1588) un recueil de douze pomes, trs condens (travail sur la langue). Ce pome est le dernier des douze. Sujet Le combat de lhomme contre la tentation inspire par le diable, combat dont il ne sortira vainqueur quavec laide de Dieu