Christine Boutin

télévision. Cet outil qui s’est révélé comme un énorme changement dans l’ère du temps n’a pas tous les mérites. En effet, les messages qu’elle fait passer n’ont pas de caractère informatif, qui font réfléchir. Non, cela n’est pas vendeur. Et ce qu’a dit Christine Ockrent - « La télévision est un média assez grossier, qui toujours privilégié l’émotion » - conserve toute sa pertinence, car il est vrai que l’émotion est toujours présente à la télévision. C’est pourquoi nous analyserons l’émotion télévisuelle

entre féministes radicales et féministes réformistes. Pour les radicales comme Monique Wittig, il s’agit d’accéder au lesbianisme et d’abolir le terme « femme » marqué par l’oppression : à l’horizon le « genre », et ce qui se nommera le « queer ». Christine Delphy, pour qui les femmes constituent une classe définie par l’obligation de « fournir des services domestiques gratuits », préconise la prise de pouvoir par les femmes pour parvenir à « la destruction totale du système de production et de reproduction

Le poème « Je ne sais comment je dure » est écrit par Christine de Pisan, qui est née en 1364, morte à l'âge de 66 ans, et apassé ces 12 dernières années dans un couvent. Elle a été marié a seulement 15 ans et fut veuve a 25 ans, avec trois enfant en charge elle ne se remarie pourtant pas et assume ses besoin ainsi que ceuxde ses enfant, de sa mère et de ses frères et sœurs. Elle vie de ses poèmes, elle a beaucoup écrit notamment pour Charles IV, en 1318 elle se retire dans un couvent. Ce poème

 Anthologie Poétique sur le thème de la Mort Liste des poèmes du XIV au XX siècle _ Christine De Pisan (1363-1430) « O dur mort » Page 1 _Charles D’Orléans (1394-465) « Balade » Page 2 _François Villon (1431) « La balade des pendus » Page 3 _François de Malherbe (1555-1628) « Consolation a M. Du Perrier sur la mort de sa fille » Page 4 _André Chénier (1762-1794) « Où sont ces grands tombeaux» Page 5 _Alfred De Vigny (1762-1863)

faille de l’amour courtois et déchaîne une querelle (la dame, image d’une féminité nouvelle qui n’accepte pas forcément avec gratitude le désir masculin, rejette un amour qui, non réciproque, ne saurait faire peser sur elle aucune contrainte). Christine de Pisan, née en Italie vers 1364, arrive en France en 1368 lorsque son père, médecin et astrologue de Charles V, s’installe à la cour. Elle y épouse Étienne Castel, l’un des secrétaires du roi, qui meurt en 1389. Son destin singulier de première

Christine de Pizan (ou dans des textes plus anciens Christine de Pisan1), née à Venise en 1364 et morte au monastère de Poissy vers 1430, est une philosophe et poétesse française de naissance italienne. Christine de Pisan est considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des

public féminin. De nombreuses caricatures de l’époque montrent le mari assis devant son poste de télévision et fasciné par l’animatrice télé, tandis que sa femme se tord les mains de jalousie à l’arrière plan. Pour battre les idées reçues, en 1981 Christine Ockrent est choisie par le patron d’Antenne 2, Pierre Desgraupes pour présenter le « 20h ». La femme peut enfin incarner le sérieux et la crédibilité et ne plus être considéré seulement comme un « sex-symbol ». Néanmoins, la féminisation de la

Sociologie du genre. Ouvrages : - Pierre Bourdieu : La domination masculine - Judith Butler : Trouble dans le genre (2005) - Simone de Beauvoir : Le deuxième sexe (1949) tome 1 et /ou 2 - Christine Delphy : L'ennemi principal (2 tomes) - Françoise Heritier : Masculin féminin la pensée de la différence 4 apports majeurs sur le genre : - faire éclater les visions essentialistes* de la différence des sexes (attribue des caractères immuables en fonction de leur sexe biologique*) - reconnaître

métaphysiques, un ouvrage qui s’adresse davantage à un public savant. Il a une abondante correspondance avec la princesse Élisabeth de Bohême, pour qui il est le conseiller et le confident. En 1649 (à 53 ans), sur l’invitation pressante de la reine Christine de Suède, il se rend à la cour de Suède pour initier la jeune souveraine à sa philosophie. Dans le château, il fait froid et il doit se lever à 5 heure du matin pour donner ses cours. Il attrape une pneumonie et meurt à Stockholm le 11 février 1650

d’inspiration des soldats. Cependant, elle n’est pas représentée comme un témoin sans défense. Elle était un chevalier à part entière. Tout au long du Moyen Âge il y a eu beaucoup d’avocates des femmes de tous les rangs. En « La cité des dames », Christine de Pisan, une écrivaine de XIVe et XVe siècle, plaide en faveur d’une représentation positive des femmes et de l’éducation universelle. Pisan déclare que les femmes de Moyen Âge étaient sans défense (Pisan 10 ; I.3.3). Malgré la protection par les