Chômage Approche Classique Et Keynésienne

Chapitre III- Extension de la logique de IS/LM à prix flexibles : le modèle quasi-offre globale/quasi-demande globale La macroéconomie keynésienne est une macro à prix fixe. On a fait juste qu’à maintenant comme si les prix étaient fixes et du coup comme si l’offre globale infiniment élastique aux sollicitations de la demande globale. La courbe d’O est donc horizontale. Une augmentation de la demande globale par des politiques conjoncturelles monétaire ou budgétaire expansionniste se traduit par

capacité de production : capital – travail => contraintes qui s’imposent à l’économie. PARADOXE : force de travail constitue une contrainte quantitative, mais chômage : -> explication par l’informatisation de l’eco. Sur 200 000 chômeurs, la moitié n’est plus assez formée. Taux de chômage naturel : taux en dessous duquel le chômage ne baisse pas (5-6% en France). Il existe un lien entre quantité et prix -> ce lien se détermine sur le marché : on va confronter la quantité proposée de ce

Ce document a été fabriqué par PDFmail (Copyright RTE Multimedia) http://www.pdfmail.com CHOMAGE ET POLITIQUE DE L’EMPLOI Introduction : Le chômage étant la conséquence d'un déséquilibre sur le marché du travail, les politiques de lutte contre le chômage agissent à la fois sur la demande globale de travail, l'offre globale de travail et sur le fonctionnement même du marché du travail. 1 / la réduction de l'offre de travail : La quantité de travail offerte dans une économie dépend de

facteurs) Nota: dépend de l'élasticité des prix à la demande. Pareillement, une hausse du R (I réel): - devrait être bonne pour le facteur travail, en raison de la modification des coûts relatifs, et de l'effet de substitution induit. - or il crée du chômage, car les effets de prix relatifs sont de second rang et de marge, par rapport à la baisse de la production engendrée. C. Consommation et épargne 1. Par le taux d'intérêt - effet de substitution inter temporel (le plus important): par exemple, en

les entreprises ont tendance à augmenter les salaires chômage. Interprétation suggérée par Phelps (1970) : Il n’existe jamais un taux de salaire équilibrant parfaitement offre et demande de travail. Ce constat résulte de l’existence d’imperfections de l’information (On y reviendra ! balaise…) existence d’un chômage de recherche. [Lien logique ???] Lorsque la demande de travail augmente, les entreprises accroissent leurs salaires chômage. Interprétation suggérée par Lipsey (1961) : imperfections

entre les idées de Keynes et de Friedman se centre autour des préoccupations suivantes : Quel doit-être le rôle de l’Etat en matière de politique économique ? - Doit-il, ainsi que le préconise Keynes, intervenir pour éviter la dépression et le chômage ou, au contraire, comme l’affirme Friedman, s’abstenir et laisser jouer le marché ? è Les auteurs : John Maynard Keynes et Milton Friedman A) J. M. KEYNES – 1883-1946 (voir sa biographie dans un précédent dossier). B) MILTON FRIEDMAN (né en

occupait les théoriciens depuis très longtemps, puisque dès le Ve siècle, Saint Augustin s'interrogeait sur la notion de juste prix. Avant Marshall, les deux grandes théories de la valeur étaient celles : des économistes classiques britanniques qui privilégiaient une approche macro-économique et avaient analysé les phénomènes de production, et avaient mis en avant la valeur-travail, avec : Adam Smith pour qui le prix d'un bien dépend de la rémunération du travail fourni par l'ouvrier qui le fabrique

publique et la société dans son ensemble. Être économiste consiste à déterminer le meilleur emploi des moyens en vue d'atteindre les objectifs économiques. Toutefois, les débats sur le choix des moyens sont vifs et les écoles de pensée libérales, keynésienne et marxiste s'opposent sur les réponses à apporter à de nombreuses questions. Entre 1917 et 1989, le capitalisme et le socialisme se sont opposés, chaque système prétendant mieux que l'autre régler les problèmes économiques de la société. L 'économie

Fourçans nous apprend l'importance des anciens dans l'économie. En effet ce sont eux qui ont créer les concepts et méthodes de l'analyse économique. Ici, Fourçans nous familiarise avec les principaux courants fondateurs de la pensée économique dits « classique » et « néoclassique ». L'économie est née avec la pensée philosophique individualiste et libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de l' existence économique. On apprend d'une part ce qu'est

de l’inflation, cette politique sont accompagné d’une hausse des taux d’intérêt avec une répercussion négative sur l’emploi, aux RU sous l’égide de TATCHER la rupture avec les pol keynésienne se traduit par la conduite d’une politique restrictive conduisant à une plus faible inflation au prix d’un accroissement du chômage. En France, la politique de désinflation compétitive amorcé à partir de 1983 (1981 : élection François MITTERAND pl expansive pour accroissement de la demande, hausse des salaire