Chômage Approche Classique Et Keynésienne

les gens étaient désespéré.) Et à partir des années 30 commence « la grande dépression »  : Tout d’abord aux USA, où plus de 85000 entreprises sont en faillite, la production industrielle diminue de 50%, plus de 9000 banques sont fermés et le chômage atteint 24% de la population Cet grande dépression se propage rapidement : Angleterre  2 700 000 chômeurs en 1931 ; Allemagne  6 000 000 en 1932 Les problèmes économiques entrainent des problèmes politiques : Adolf Hitler accède au pouvoir

publics sans être pour autant l’économie du politique, c'est à dire l’analyse des stratégies des hommes et des femmes sur le marché politique afin d’accéder et/ou de rester au pouvoir. Ce dernier cas est un aspect de la science économique néo-classique, né de l’école de Virginie. Les définitions de son domaine ont évolué : au cours de l’histoire, du substantialisme étroit des richesses matérielles1 du début de la discipline jusqu’aux conceptions les plus larges, les plus généralisantes, les

taux d'inflation, qui reste positif. Par exemple, si pendant des années l'inflation s'est située à 10 % en moyenne et que l'inflation des années suivantes baisse à 7 %, puis 5 %, puis 2 %, on parlera de phénomène désinflatoire. Lorsque l'inflation approche de zéro, on risque un passage en déflation. La stagflation consiste en la concomitance d'une croissance faible voire négative, avec un niveau élevé d'inflation. La définition de l'inflation comme la hausse des prix est relativement récente en langue

qui n’ont pas un consensus commun. Ce chapitre a pour objectif de soulever cette ambiguïté en se limitant aux théories qui ont amplement façonné ce cadre à savoir : * L’analyse classique * L’école de Cambridge * L’analyse keynésienne * L’analyse des monétaristes I- L’analyse classique Les classiques développent trois idées relatives à la monnaie : * La monnaie n’est qu’un moyen de transactions ; * La monnaie n’influence pas l’économie réelle ; * La monnaie influence

1 Economie Ière PARTIE : LES FONDEMENTS DE LA CONNAISSANCE ECONOMIQUE LES GRANDS COURANTS DE PENSEE ECONOMIQUE Trois grandes courants économiques se dégagent : le keynésien (Keynes), le marxisme et le libéralisme. La première révolution industrielle est agricole, elle se traduit entre autres par la production d’engrais, par la fin de la jachère, ce qui entraîne un surplus, et donc l’épargne, pour des industries telles que la métallurgie ou le textile. Tous cela entraîne également une augmentation

spécialiser dans les services, et le caméralisme  protectionnisme. Mesures viables ? Prôner un solde excédentaire n’a pas réellement de sens finalement. Les mercantilistes tardifs vont commencer à douter des principes de base du mercantilisme « classique ». L’objectif est-il réellement l’accumulation des métaux ? L’échange et le commerce ne portent-ils pas en eux-mêmes leur propre justification ? Remise en cause du criso-hédonisme : l’or et l’argent ne sont pas l’objectif premier, ce que l’on veut

des mesures anti inflationniste pour éviter l’inflation galopante. Elle devient une préoccupation pour les autorités monétaires et les gouvernements. 1.1.3 Les théories de l’inflation 1.1.3.1 L'inflation par la monnaie a. L’analyse de l’école classique de la théorie monétaire quantitative et de sa vision de l'inflation : Cette théorie est basée sur l'accumulation de métaux précieux et chaque pays doit accumuler de l'or pour devenir riche. Pour les mercantilistes, la valeur des biens économiques

vie après la mort, et tout ce qu’on fait sur terre c’est pour être sure d’aller au paradis. Aristote lui, ne croit pas à la vie après la mort et donc le bonheur il faut le chercher sur terre. Platon : (moins 427 – moins 327) Il adopte une approche idéaliste : on parle d’utopie. ( ces variations brutales doivent être évitées. Il faut également un rapport constant entre gain de productivité et partage de la VA. Mais ces rapports ne peuvent pas être constants car il y a des oppositions entre

ECONOMIE GENERALE.SEANCE 1. | Plan : I – Introduction. * Principes méthodologique de l’économie * Histoire de la pensée économique * Théories. II – Approche microéconomique * Consommation et demande. * Producteur et offre. * Equilibre de marché III – Approche macroéconomique * Agrégats et équilibre économique fondamentaux * Régulation et politique économique I – Introduction à l’économie générale. ♦ Economie : Echange de capitaux, B&S , argent. L'économie

nature de cette influence qui fait l'objet d'oppositions : . -- Dans une optique keynésienne, la consommation est essentielle et doit être stimulée pour « doper » la machine économique. -- Les classiques et néo-classiques, quant à eux estiment qu'une relance de la consommation peut provoquer de l'inflation et déséquilibrer la balance extérieure. -- Les marxistes rejoignent en quelque sorte les keynésiens sur l'importance de la consommation en tant que fonction économique stimulante pour le