Chômage Approche Classique Et Keynésienne

effective sur internet ) Ne pas réviser chapitre 1 titre 1 de la première partie, l’analyse générale des marchés dans le chapitre 1 partie 1 question sur le II mais pas sur les trois autres domaines Réviser la théorie du producteur, l’analyse keynésienne Première partie : microéconomie Partie 1 : La théorie du consommateur L’analyse du comportement du consommateur est une question qui relève de la microéconomie ; les comportements individuels sont à l’origine de la consommation. L’homo-oeconomicus

trois types de cycles (nommés selon le nom du découvreur) : Cycles de 40 mois ou KITCHIN, qui sont liés à la politique des entreprises en terme de variation des stocks de produits finis. Cycles de 8 à 10 ans ou JUGLAR (c’est le cycle le plus classique), ils sont essentiellement motivés par des causes conjoncturelles qui influent sur le comportement à cours terme des agents économiques. (Investissement, consommation…) Cycles de 50 ans ou KONDRATIEF, c’est l’innovation qui est à l’origine de

l’accent sur la pluralité des instruments de politique économique. Par exemple o la politique monétaire par la BCE, ou bien la politique budgétaire par l’Etat o la politique de l’emploi et de lutte contre le chômage o les politiques sociales (retraites/santé/indemnisation chômage/ politiques familiales, et toutes les politiques contre l’exclusion sociale) o la politique des revenus (impôts) o la politique commerciale (favorises les exportations) lié souvent aux politiques industrielles

il y a un certain nombre de différences notables entre les néoclassiques avec la théorie classique. En effet les classiques avaient une vision de long terme avec une perspective dynamique dans laquelle étaient mis en avant les problèmes de l'accumulation du capital. Également ils avaient une vision de la croissance économique et du devenir général du système économique. Les néoclassiques eux, ont une approche plus restreinte, ils font l'hypothèse d'une offre donnée de facteur de production, et ils

d’une manière concrète ou d’une manière plus abstraite ; c’est souvent la première approche qui domine les perceptions de la majorité de la population. Or, l’économie politique est avant tout un corpus de théories scientifiques qui s’est inscrit très tôt dans les canons de la méthodologie de la science. I/ L’approche concrète L’économie peut se décrire comme un ensemble de sujets concrets comme la production, le chômage, la répartition des revenus, la crise, que les économistes tenteraient de comprendre

elles correspondent à deux visions différentes : La méthode microéconomique fait usage des individus comme libres et rationnelles. Ils prennent pour modèle l’ « homoéconomicus ». C’est le point de départ de l’analyse de la microéconomie. C’est une approche abstraite de l’économie. C’est donc pour cela qu’on l’appelle la méthode ensembliste. Pour la méthode macroéconomique, les individus n’ont pas d’importance en tant que tel mais par les relations des uns vis a vis des autres. Elle prend l’économie

vue et des théories variées. Analyser la cohérence des différentes théories (analyse critique, ou alors analyse comparative). Ex : analyse keynésienne et classique de la consommation : s’affrontent ce qui fonde la consommation d’un agent c’est le revenu courant : (Keynes) et c’est le niveau d’intérêt : arbitrage entre consommation et épargne (Classique). Pour Keynes la relation du taux d’intérêt existe mais à LT uniquement. Confronter les théories aux faits pour pouvoir en vérifier la pertinence

mettre en évidence la relation entre l’augmentation des prix et « l’abondance d’or et d’argent ». Et son autre théorie est la souveraineté nécessaire des Etats. ⁃ Richard Cantillon (1680-1733) : Un des grands précurseurs de l’économie politique classique français. Il décrit l’un des premiers circuits économiques, il explique que le niveau des prix dépend de l’offre et de la demande et que le taux d’intérêt dépend de l’offre et de la demande de la monnaie. Il a laissé son nom à « l’effet Cantillon

L’équilibre comptable à l’équilibre général chez les classique et les néoclassique. La critique de modèle néoclassique. Schumpeter a et puis on va aborder donc que la question de l'imperfection des marchés toujours dans cette partie trois. les limites et les imperfection du marché : il suffit d'observer un certain nombre de marchés pour constater des situations qui ne sont pas conformes à la théorie classique ou néoclassique. j'avais mis comme un exemple d'application , le deuxième graphique de

l’approche dichotomique classique et néo-classique Les classiques et les néoclassiques défendent l’un et l’autre une vision de la monnaie et de son rôle dans l’activité économique selon laquelle la monnaie est neutre. Cela signifie que la monnaie n’a pas d’effet sur les variables réelles de l’économie (valeur ajoutée, production, travail, chômage, …) et n’a d’impact que sur les grandeurs nominales. (Les prix) Selon Cartellier (p. 41-57) il est logique que les classiques et les NC considèrent