Chômage Conjoncturel

faits qui pris individuellement n’ont pas de sens. Les enquêtes (tourisme, prix, bâtiment), le recensement, les répertoires sont des moyens de rassembler pour l'ISPF ces précieuses informations. L'ISPF réalise un suivi régulier des évolutions conjoncturelles et effectue des études économiques, démographiques et sociales afin d'éclairer les décisions, tant institutionnelles que privées. Nous somme 259 706 habitants en Polynésie Française. Nous somme 178 173 habitants à Tahiti DEFINITION Population

Synthèse : LE CHÔMAGE A QUI LA FAUTE ? Le chômage est-il une fatalité ? Qui en est responsable ? Peut-il être évité ? Autant de questions que se sont posées Nicolas Baverez, Alain Minc, Jean-Baptiste de Foucauld et Alain HOUZIAUX, pour tenter de répondre à une problématique commune qui est « le chômage à qui la faute ?». Pour répondre à cette problématique nous verrons dans une première partie le libéralisme et le droit du travail, dans une deuxièmes partie le chois du chômage et son prix, dans

macroéconomiques. C’est davantage par les questions qu’elle se pose que se définit le champ de la macroéconomie. La question du chômage est une question typique des problématiques macroécono- miques. Le chômage est en France un phénomène à la fois ancien et relativement récent. Jusqu’au premier choc pétrolier en 1973, il était presque inexistant. On constate une dérive à la hausse du chômage jusqu’en 1997 puis une importante redescente jusqu’en 2001. Seule la forte croissance économique des années 86-90 a permis

avantages multiples : rémunération a l'ancienneté, promotion collective… Mais la crise a mis les entreprises en position de force sur le marché du travail. Ainsi, aujourd'hui, elles s'efforcent d'ajuster les emplois en fonction des situations conjoncturelles de la demande (en fait, il faut faire varier les coûts de la main d'œuvre en fonction de la demande). Apparition de nouvelles formes d'emplois par rapport à la norme dominante de l'emploi à temps plein et a durée indéterminée. Ces nouvelles formes

régimes de retraite. L’inclusion active renvoie, à son tour, au concept de flexisécurité retenu à Bruxelles. Il s’agit de combiner la flexibilité du travail, imposée par la mondialisation et le passage à l’euro, et la sécurité du revenu en cas de chômage. Rendre le travail « payant » est, en effet, devenu la clé de voute de la stratégie de Lisbonne révisée (2005) dont le but ultime est le développement durable et l’égalité des chances tout au long du cycle de vie. Le problème, c’est qu’aux faibles

produits bio et verts. -Et d’autres ont un caractère conjoncturel c’est-à-dire qui correspondent aux variations de l’activité économique à court terme avec des déséquilibres temporaires repérés par différents indicateurs : taux de croissance du PIB, taux d’inflation, taux de chômage et solde de la balance des transactions commerciales. La portée de l’analyse porte sur du court terme lorsqu’elle constitue le champ d’action de la politique conjoncturelle. -Taux d’inflation : Poids croissant des dépenses

responsabilité sociale de l’entreprise Le chômage et la rigidité du coût de l’emploi Le rôle de la sécurité sociale La féminisation de l’emploi Les disparités salariales Les conflits de travail Les problèmes et les coûts de licenciement L’innovation technologique 4. Définition et fixation des objectifs 4.1. 4.2. 4.3. Un nouveau contenu et une nouvelle qualité du dialogue social Une législation sociale plus flexible protégeant l’entreprise contre les aléas conjoncturels Une approche normative rééducative

mise en place de politique contra-cyclique avec l’Etat providence dans le cadre de politique conjoncturelle (politique de relance) et de politique structurelle, et mise en place d’une protection sociale, instauration du salaire minimum, émergence d’une protection sociale (1945) et création de l’ assurance chômage (1957). Les quatre grands risques de la vie humaine : maladie, vieillesse, famille, chômage. L’Etat a trois fonctions : allocation (production de biens et services non marchands), redistribution

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4 4 4 4 4 4 4 5 5 2 État des théories économiques 3 Régulation conjoncturelle 4 Plan I Monnaie et activité économique 6 6 7 7 7 7 8 8 8 8 9 9 9 10 10 11 5 Le modèle : l’équation qantitative de la monnaie : l’équation qantitative des échanges 5.1 Hypothèse n°1 : V = cte . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

I°] L'Etat-providence 1)Protéger contre les risques sociaux. ● Le risque social est un événement qui compromet la capacité des individus à assurer eux-même leur indépendance sociale/ ex: maladie, chômage, accident... L'Etat providence a mis en place l'idée selon laquelle la collectivité nationale a une responsabilité collective dans la protection contre les principaux risques. ● Jusqu'au 18e siècle en occident, ces risques étaient pris en charge par la famille (solidarités intra-générationnelle)