Chômage Début 2013

baisse de l’activité économique. Le taux de croissance est négatif (certains pays européens en 2008-2009). * La crise : elle désigne le moment bref de retournement de la conjoncture. Elle est représentée par le point de retournement qui marque le début de la phase de ralentissement de l'activité économique. * La reprise : Elle désigne la phase du cycle économique qui se caractérise par un retour de l’économie à une phase d’expansion après une phase de récession. La reprise représente donc le point

sciences juridiques, économiques et sociales Oujda L’approche historique de l’exclusion Encadré par Mr : Pr.Yahya YAHYAOUI Réalisé par : Ouafae Kaouachi Omar Belal Samira Ziani Houda Kanit Sara Betari Année Universitaire: 2012/2013 Contenu Introduction générale Partie 1 : Grandes mutations économiques et évolution de l’exclusion I. L’époque de grandes turbulences (1914-1945) 5 II. Epoque de forte croissance économiques (1945-1973) 5 III. Epoque de crises récurrentes

électoral est du type proportionnel (liste). Le droit de vote pour les femmes a été reconnu en 1918. • L'hégémonie exercée jusque-là par l'idéologie communiste et le Parti Ouvrier Unifié Polonais (POUP) a cédé la place au pluralisme politique. Au début, il existait une division nette entre les partis issus du mouvement Solidarność et les groupements post-communistes. Actuellement, cette division a de moins en moins de sens et la scène politique polonaise s'apparente aux modèles européens et mondiaux

remonté qu'à 2,6% en 1983. => Fin de la grande croissance Seconde partie des années 80 : → Dynamisme de l'activité économique : Progression des investissements et de la productivité ; 1988 le PIB réel est de 4,5% et en 1989 de 3,3% → réduction du chômage. Mais persistance de déséquilibre des balances des paiement de certains pays (déficit aux USA ; excédent en RFA et au Japon) 1990-91 : → Ralentissement de croissance économique : -2,6% en 1990 et 2% en 1991 dû politique monétaire restrictive plein

faibles) et les crédits destinés à financer l’activité courante, les besoins en fonds de roulement et la trésorerie (crédits de courte durée, à des taux plus élevés). La répartition entre les divers types de crédit est relativement stable depuis le début des années 2000 (voir graphique 3) : les crédits à l’investissement représentent la plus grande part des sommes distribuées. Graphique 3 Insee, Comptes nationaux. III. Les difficultés de financement des PME La catégorie des petites et moyennes

PAGE D'ACCUEIL ETUDES ÉCONOMIQUES ALGERIE POPULATION 38,7 MILLIONS ALGERIE PIB 227,802 MILLIARDS $US A4 B EVALUATION PAYS ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES SYNTHÈSE PRINCIPAUX INDICATEURS ÉCONOMIQUES 2012 2013 2014 2015(p) Croissance PIB (%) 3,3 2,8 3,5 3,8 Inflation (moyenne annuelle) 8,9 3,3 3,2 4,0 Solde budgétaire / PIB (%) -4,1 -0,9 -4,5 -4,6 Solde courant / PIB (%) 5,9 0,4 -3,0 -2,9 Dette publique / PIB (%) 10,0 9,2 9,9 8,1 (e) Estimations (p) Prévisions POINTS

présentera ces trois aspects différemment. Selon l’étude de Statbel en 2013, les principales inquiétudes des Belges sont portées sur la baisse du pouvoir d’achat, de la pauvreté ainsi que du chômage. Les plus vulnérables face à ces situations sont les familles à revenus modestes. Cette crise notamment soins de santé, logement, chauffage, nourriture, frais scolaire. L’inflation quant à elle en moyenne serait de 2,6% pour 2013, comparé à celle de 2012 qui était de 1,6%. Si les consommateurs diminuent

l’alcool tend à augmenter beaucoup plus rapidement que les autres. Pour ce qui est des aliments vendus en magasins et en restaurants, ils se suivent relativement de près depuis 2002, par contre, celui de la restauration a dépassé celui des magasins en 2013. Faits saillants, les prix dans le marché de l’alimentation tendent à augmenter beaucoup plus rapidement que la moyenne de l’ensemble des biens et services. Il faut comprendre que le marché de la restauration est intimement lié à celui de l’alimentation

1986 44 1996 45.5 2006 44.4 1987 44.5 1997 46 2007 43.3 1988 43.8 1998 45.9 2008 42.8 1989 43.7 1999 44.9 2009 41.6 1990 43.7 2000 44.1 2010* 41.9 1991 43.9 2001 43.8 2011* 42.9 1992 43.7 2002 43.1 2012* 43.2 1993 43.9 2003 42.9 2013* 43.7 5 B. Le solde budgétaire La politique budgétaire consiste à agir sur les deux moyens d’actions que sont les dépenses et les recettes. L’action par les dépenses publiques est le résultat d’une volonté d’intervention forte de l’Etat. Elle

première ligne, appelant sans relâche à un changement social et exprimant leur désir de jouer un rôle actif dans la sphère publique. Pourtant, comme le montre ce chapitre, lorsque la collecte des données pour cette étude avait été achevée au début de l’année 2013, les jeunes Tunisiens déploraient toujours l’absence de voies institutionnelles nécessaires pour participer efficacement à la Tunisie postrévolutionnaire, et ils avaient exprimé leurs doutes concernant les institutions politiques et publiques