Ciel de traîne

né en 1863 et mort en 1944. Il est considéré comme le pionnier de l'expressionnisme dans la peinture moderne. L'artiste a associé un note dans ces journaux à propos de cette oeuvre, il dit : « j'étais en train de marcher le long de la route avec 2 amis, le soleil se couchait, soudain le ciel devint rouge sang, j'ai fait une pause, me sentant épuisé, et me suis appuyé contre la grille. Il y avait du sang et des langues de feu au dessus du fjord bleu – noir de la ville. Mes amis ont continué à marcher

Situés au nord de l'axe de Pékin, les formes du Nid d'Oiseau et du Cube d'Eau sont respectivement ronde et carrée, celles qui représentent le dôme hémicirculaire du ciel et la terre carrée dans la philosophie traditionnelle chinoise. La philosophie du ciel rond et de la terre carrée Situés dans “Olympique Green” quelques minutes à pied entre tous les deux, le carré, le Cube d’Eau est dans l’harmonie avec la forme circulaire et la couleur rouge du Nid d’Oiseau. Tous les deux constructions évoquent

nous prouve l’étroite collaboration entre le peuple et les combattants. Au-dessus du guerrier mort, se trouve une femme tenant son enfant mort dans ses bras. Son sein est dénudé ( cf matianne) et ses yeux sont en forme de larmes. Elle regarde vers le ciel, d’où sont venues les bombes, en poussant un cri de désolation. On voit bien qu’elle se laisse aller, qu’elle s’abandonne dans son malheur. Son enfant a les yeux vides, et sa tête pend vers le sol. Il représente l’innocence assassinée, pour le compte

un « nous », il se désolidarise à nouveau («je me traine aussi ! mais, plus qu’eux hébété ») par sa solitude radicale. Il est également à souligner le fait qu’au début le poète emploi le mot « ciel » avec une minuscule, mais qu’à la fin du poème il le fait avec une majuscule (« Ciel »). Le lecteur peut alors songer que le deuxième emploi est symbolique, il passe du matériel au spirituel. De plus, un enjambement au vers 6 met en évidence le ciel, ce qui lui confère une certaine importance. Dès lors

Quand Daniel est arrivé, c'était sûrement la nuit, à bord d'un long train de marchandises qui avait roulé jour et nuit pendant longtemps. Les trains de marchandises circulent surtout la nuit, parce qu'ils sont très longs et qu'ils vont très lentement, d'un noeud ferroviaire à l'autre. Daniel était couché sur le plancher dur, enroulé dans un vieux morceau de toile à sac. Il regardait à travers la porte à claires-voies, tandis que le train ralentissait et s'arrêtait en grinçant le long des docks. Daniel

d’une invention révolutionnaire. En effet, Larbaud parle d’un voyage en train et Apollinaire de la création d’un nouveau moyen de transport : l’avion. Mais ces deux poèmes ont un sujet complètement différent par rapport aux autres récits qui eux sont symbolistes. Les deux poèmes sont des éloges de ces moyens de transports révolutionnaires. Dans le premier poème, Larbaud fait l’éloge par le biais de la description du train « train de luxe » l.3, « J’ai sentis pour la première fois toute la douceur de

tourment. MARIANE. Je crois.... MADAME PERNELLE. Mon Dieu, sa soeur, vous faites la discrette, Et vous n'y touchez pas, tant vous semblez doucette ; Mais il n'est, comme on dit, pire eau que l'eau qui dort, Et vous menez sous chape un train que je hais fort. ELMIRE. Mais, ma mère,... MADAME PERNELLE. Ma bru, qu'il ne vous en déplaise, Votre conduite en tout est tout à fait mauvaise ; Vous devriez leur mettre un bon exemple aux yeux, Et leur défunte mère en usoit beaucoup

l'acte V, scène 5 d'Andromaque de Racine a été rédigée par un professeur de français. Sommaire du commentaire : Acte V, scène 5 (fin de la pièce) - Andromaque 1. Oreste s'adresse au Ciel (vers 1613 à 1624) 1. Un héros tragique 2. L'ironie 3. Le suicide 2. La réponse du Ciel 1. Le premier tableau 2. Le deuxième tableau 3. Le troisième tableau Extrait du commentaire composé Dans cette tirade qui tourne au monologue, nous verrons

bras en croix tient une épée brisée. -à gauche : un taureau qui semble fixé le spectateur. A ses côtés, une mère tenant son enfant mort dans ses bras, crie sa détresse. -A droite une femme tombe dans les flammes ; une autre blessé au pied, se traîne. D'une ouverture Larrée sort une tête humaine et un bras tenant une lampe au dessus de la scène. II/ Seconde partie : interprétation du tableau. Le tableau fourmille (est remplis) d'éléments symbolique (religieux entre autres) qui éclairent

aperçut. Il ne fallait pas trainer, mes amis ouvraient la marche d’un pas pressé. Quelque peu en retrait, je sentait que mes yeux se levaient vers le ciel sans que je n’en éprouva l’envie. Un ciel parsemé d’étoiles qui se déplaçaient de façon confuses, comme pour accompagner les vagues qui devenaient plutôt nerveuses. Commença alors un ballet impressionnant accompagné de sons indescriptibles. J’ai même cru entendre nos prénoms entre deux vagues déchaînées. Etai-je en train de perdre la tête ? Je frissonnais