Ciel de traîne

l’époque et qui met en scène un libre penseur d’une ampleur exceptionnelle. Durant l’acte V, Dom Juan se pare d’un masque d’hypocrite qui peut tromper les hommes mais pas le Ciel ; c’est pourquoi le dénouement de la pièce donne tout son sens à l’œuvre, qui dès le début a pour but d’amener Dom Juan à cette confrontation avec le Ciel afin de le punir de tous ses péchés, ses libertinages. Nous pouvons donc nous demander quel est l’enjeu de ce dénouement. Nous verrons pour cela en première partie la fin

divine étincelle est partie, Comme s'ils regardaient au loin, restent levés Au ciel;  on ne les voit jamais vers les pavés Pencher rêveusement leur tête appesantie.Ils traversent ainsi le noir illimité, Ce frère du silence éternel. O cité, Pendant qu'autour de nous tu chantes, ris et beugles,Eprise du plaisir jusqu'à l'atrocité, Vois! je me traîne aussi ! mais, plus qu'eux hébété, Je dis : Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ? | Le sonnet « les Aveugles » appartient a la partie « Tableaux

Acte V – Scène 5 Le théâtre représente une campagne, brûlante et fumante, non loin de la ville. Don Alonse, Don Carlos, Sganarelle. Don Alonse. Ô Ciel ! Que vois-je ici ? N’est-ce-point le fidèle valet de notre ennemi ? Il est blanc comme un linge et semble se lamenter. Et qu’est-ce donc que ce cratère d’où sort tant de fumée ? Don Carlos. Allons mon frère, il faut le lui demander. Holà, valet, que s’est-il passé en ce lieu ? Je ne vois point ton maître et la terre est toute brûlée. Ton

tintamarres ; Et plus lointains encor des toits d’autres usines Et des cuves er des forges et des cuisines Formidables de naphte et de résines Dont les meutes de feu et de lueurs grandies Mordent parfois le ciel, à coup d’abois et d’incendies. L’impulsion futuriste Ce mouvement vient d’Italie avec Marinetti, agitateur littéraire qui fait paraître le texte théorique Fondation et Manifeste du futurisme en 1909. Ce que revendique Marinetti

.Le marquis se dirige vers les trois filles en train de danser. Rien ne le fait plus rigoler que de les voire se déhancher. Sade persuadé d’être entartré , relève ses yeux . -Au mon dieu! L’heure exécrable me démange l’aisselle , tenez je vous donne la mienne — dit Sade. Une des filles l’entend parler , sa douce oreille perçoit les petits mots du Marquis. -Quoi?Quoi?Quoi? — dit une des filles. Sade prend son cou et lance ses mains vers le ciel . Je vois des éléphants roses qui traversent une

description de l’œuvre 1. Un paysage urbain Le premier plan est constitué par l’intérieur de l’appartement avec l’homme au double visage vu de profil, la chaise au dossier fleuri et le chat sur le rebord de la fenêtre. Au deuxième plan, on voit un train à l’envers et un couple semble flotter dans les airs, horizontalement. À l’arrière plan, la ville avec ses immeubles et la tour Eiffel. Le paysage est vu depuis la fenêtre de l’appartement. C’est la tour Eiffel qui permet d’identifier la ville. Elle

péremptoire et, Dans la première scène, décrit dom Juan, comme un pèlerin, un homme fin, adroit et dissimulé. maitre, Dom Juan est plus grand scélérat que la terre n’ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d’Épicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l’oreille à toutes les remontrances chrétiennes que l’on peut lui faire et traite de sottises toutes les croyance

Vous m'avez laissé là, l'oeil fixé sur ma porte, Hautain, grave et puni. - Mais vous, que vous importe ! Vous avez retrouvé dehors la liberté, Le grand air, le beau parc, le gazon souhaité, L'eau courante où l'on jette une herbe à l'aventure, Le ciel bleu, le printemps, la sereine nature, Ce livre des oiseaux et des bohémiens, Ce poème de Dieu qui vaut mieux que les miens, Où l'enfant peut cueillir la fleur, strophe vivante, Sans qu'une grosse voix tout à coup l'épouvante ! Moi, je suis resté

SCÈNE V DOM JUAN, UN SPECTRE en femme voilée, SGANARELLE. LE SPECTRE, en femme voilée.— Dom Juan n'a plus qu'un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel, et s'il ne se repent ici, sa perte est résolue. _ le déplacement des personnages (Sganarelle toujours à la suite de DJ), le mouvement circulaire autour du spectre, cercles concentriques et rapprochement DOM JUAN.— Spectre, fantôme, ou diable, je veux voir ce que c'est. Le Spectre change de figure, et représente le temps avec sa

dans l’œuvre. ANALYSE DES FIGURES Les figures représenté sur le tableau de Guernica peuvent être très claires ou très ambigües dans l’image de ce qu’elles veulent exprimer. On observe que toutes les têtes des personnages sont tournées vers le ciel ce qui peut exprimer que les personnages espèrent un espoir de vie et l’arrêt des combats et des bombardements, l’arrêt de l’insécurité . Les bouches sont grandes ouvertes ce qui peut exprimer l’expression intense de désespoir , d’effroi et de douleur