Ciel de traîne

Histoire des Arts 2015 Ness Soudry 3ème D • • • • • La jeune fille à la fleur, Marc Riboud Empire State Building I have a dream La vague Different trains La jeune fille à la fleur La jeune fille à la fleur La jeune fille à la fleur VIOLENCE NON-VIOLENCE La jeune fille à la fleur Empire State Building Empire State Building Richmond Harold Shreve était un architecte Canadien et Américain né en 1877 et mort en 1946. William Lamb , aussi Américain est né en 1883 et décède en 1952.

spectre apparaît en femme voilée (didascalies) ce qui peut faire référence aux nombreuses femmes qui ont été trompées par DJ. Le fantôme prévoit la mort de Don Juan très prochainement : « DJ n’a plus qu’un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel, […], sa perte est résolue » (l. 1-2). Sganarelle est très peureux et s’inquiète « Entendez vous Monsieur ? » (l. 3) alors que DJ fait une fois encore preuve de courage et de provocation en s’indignant « Qui ose tenir ces paroles » (l. 4) ; « Spectre

certaines tribus en Afrique de l'Ouest, telle qu'un peuple Bambara, disent aussi la même chose. Elles disent qu'est venue du ciel, il y a de très nombreuses générations, une race de créatures hautement avancées et redoutables qui ressemblaient à des hommes, et ils les appèlent Zishwezi. Le mot Zishwezi signifie les créatures plongeantes ou planantes qui peuvent descendre du ciel en planant ou glisser à travers l'eau. Tout le monde, monsieur, a entendu parler du peuple Dogon en Afrique occidentale

impressionniste, bien que ce tableau date d’avant la naissance officielle du mouvement. Il est intitulé « Train dans la campagne » et est peint vers 1870 suivant la technique de l’huile sur toile. Il mesure 50 x 66cm et est actuellement conservé au musée d’Orsay à paris. Dans ce tableau, l’espace est constitué de 3 plans successifs : la bande d’herbes, la bande d’arbres et le ciel. Un train passe au loin, dans une campagne bourgeoise où les gens se promènent, on peut donc dire que c’est une scène

auraient bien voulu rester...Un vieux moine me chantait la légende de Novgorode.Moi, le mauvais poète, qui ne voulais aller nulle part,je pouvais aller partoutEt aussi les marchands avaient encore assez d'argentpour aller tenter faire fortune.Leur train partait tous les vendredis matin.On disait qu'il y avait beaucoup de morts.L'un emportait cent caisses de réveils et de coucousde la Forêt-Noireun autre, des boîtes à chapeaux, des cylindreset un assortiment de tire-bouchons de SheffieldUn autre, des

guerre. On aperçoit en arrière-plan un ciel orageux et un village qui a été bombardé. - Sur le panneau de droite, Otto Dix se représente en sauveteur transportant un blessé, il a l’air très affligé. Il ne porte pas d’uniforme de soldat, il est à découvert, et ne craint pas une attaque de la part de l’ennemie. Le ciel est nuageux, tourmenté, c’est un ciel de guerre. - Sur le panneau inférieur, on distingue trois soldats allongés et serrés dans une tranchée en train d’essayer de dormir. Il y a de l’ambigüité

charognes. Dans toutes les gares je voyais partir tous les derniers trains Personne ne pouvait plus partir car on ne délivrait plus de billets Et les soldats qui s’en allaient auraient bien voulu rester… Un vieux moine me chantait la légende de Novgorode. Moi, le mauvais poète qui ne voulais aller nulle part, je pouvais aller partout Et aussi les marchands avaient encore assez d’argent Pour aller tenter faire fortune. Leur train partait tous les vendredis matin. On disait qu’il y avait beaucoup

moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel ; et s’il ne se repent ici, sa perte est résolue. Sganarelle Entendez-vous, Monsieur ? Dom Juan Qui ose tenir ces paroles ? Je crois connaître cette voix. Sganarelle Ah ! Monsieur, c’est un spectre : je le reconnais au marcher. Dom Juan Spectre, fantôme, ou diable, je veux voir ce que c’est. Le Spectre change de figure, et représente le temps avec sa faux à la main. Sganarelle Ô Ciel ! voyez-vous, Monsieur, ce changement de figure

de son voyage, en train, en compagnie d'une jeune parisienne Jeanne, en Russie. Dans le but d'un commentaire de ce texte il serait intéressant d'analyser tout d'abord la place de la modernité et du monde matériel, puis l'évasion, le rêve, le voyage et enfin la présence d'une femme, Jeanne. Nous analyserons dans un premier temps la modernité, tout d'abord par le vocabulaire très présent puis à travers une vision pessimiste de cette vie moderne et enfin par l'évocation du train, sorte de symbole

dénouement surnaturel. Il craint la sentence du Ciel. En effet, on le voit ici par l'interjection "O Ciel!" ainsi que la ponctuation exclamative: "Ah! monsieur", répétés deux fois, traduisant sa peur et sa surprise. Sganarelle est interloqué, choqué par le changement de comportement de son maître, qui joue une scène d'hypocrisie à son propre père. Sganarelle veut faire entendre raison à Dom Juan, et tenter de le faire changer de comportement : "c'est le Ciel qui vous parle, et c'est un avis qu'il vous