Ciel de traîne

planète est très loin et très petite Chapitre 4 : Dans le quatrième chapitre l'auteur critique la société moderne. Il parle de la planète du petit prince, l'asteroïde B 612. Aussi il parle de l'astronome turc qui a trouvé cette planète dans le ciel et de pourquoi les européens ne lui croyaient pas. C'etait à cause de la manière de s'habiller. Chapitre 5 : Ce chapitre parle des baobabs, des arbres énormes comme des églises. Le petit prince est content parce que le mouton va manger les herbes

Juan va au devant de son destin, il ne veut pas être une victime de la mort. Il y a des interrogations « entendez-vous ? » et des interjections « Ah ! », « O ciel ! » qui montrent que Sganarelle est terrorisé. En effet il y a des impératifs « Rendez-vous », « Jetez-vous » et une insistance avec l’adverbe de temps « vite » ce qui montre que Sganarelle est terrifié et qu’il veut que Don Juan se repentisse. De

même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre d'arbre ne tachait le ciel, la pavé se déroulait avec la rectitude d'une jetée, au mileu de l'embrun aveuglant des ténèbres. L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d'un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon

déplacement: Elle se fait par les verbes: au vers 1"Je m'en allais" > sans précision du lieu. Le temps est l'imparfait à valeur durative. Des lieux sont cependant indiqués "sous le ciel", "mon auberge", "au bord des routes" > images traditionnelles du voyage même si ces indications sont vagues. Mise en valeur de "sous le ciel" avec la césure. c) Vagabondage heureux et insouciant qui domine le poème avec une idée de joie puisque ce voyage n'a aucun but, aucune contrainte donc insouciance du voyageur

relate des évènements passés). C’est une peinture à l’huile. Description du tableau : Personnages et expressions : Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, ce qui accentue l’expression des visages. Au premier plan, de gauche à droite : -La mère et l’enfant : la femme tient son enfant mort dans ses bras, dans une pose pathétique : elle semble effondrée. Cette figure rappelle une Piéta, figure de

Solenne se situe également à Paris à la station de métro «Sablons». Toutefois ce grand reporter se déplace beaucoup : Paris-Lyon, La Baule-Paris, Ménerbes, Réillanne, Avignon, etc. De ce fait, il écrit très souvent lors de ses déplacements dans le train. A travers ce livre, PPDA nous fait partager un petit extrait de sa vie situé entre février et mars 1995. ◊ Les personnages Solenn POIVRE D'ARVOR née en décembre 1975 est la fille de Patrick POIVRE D'ARVOR et Véronique POIVRE D'ARVOR. Touchée

créé par Aragon, et participe à la création du journal clandestin Les étoiles à la fin de 1942. Il est mort au combat le 1er août 1944 à l'âge de 43 ans. Dans "Le Petit Testament" il nous montre sa joie de vivre malgré la guerre qu'il est en train de vivre. Il parle à l'imparfait comme s'il était déjà mort. Claude, si la guerre incertaineUn de ces beaux matins m'emmèneLes pieds devant,N'écris pas mon nom sur la terreJe souhaite que ma poussièreS'envole au vent. Pas d'étendard avec ma chiffeQue

dépasser à travers le récit. Paroles sur la dune3 Maintenant// que mon temps// décroît comme un flambeau, Que mes tâches// sont terminées ; Maintenant// que voici// que je touche au tombeau Par les deuils// et par les années, Et qu'au fond// de ce ciel// que mon essor rêva, Je vois fuir,// vers l'ombre entraînées, Comme// le tourbillon// du passé qui s'en va, Tant de belles heures sonnées ; Maintenant que je dis// : - Un jour, nous triomphons ; Le lendemain,// tout est mensonge ! Je suis triste,//

toile, on peut voir une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. En bas à droite, une femme à genoux au sol. Au dessus d’elle on peut voir le buste d’une autre femme qui tient une lumière. Enfin à l’extrême droite, une femme lève ses bras au ciel. Le choix du noir, du gris et du blanc met en valeur la gravité du sujet. Ce sont des couleurs tristes. Le noir est l’absence de couleurs et symbolise la mort, le deuil. De plus le noir et le blanc rappelle que Picasso a suivi les évènements à travers

individus. À gauche on aperçoit un homme peut-être serait-ce un survivant, il porte un masque à gaz. Le ciel est semblable au ciel de du panneau précédant. Au second plan on voit le champ dévasté sûrement par les bombes, obus etc. Panneau se situant à l’extrême droite : au premier plan on voit un homme aidant un autre qui est en piteux état ou même mort. Il y a d’autres morts étalés sur le sol. Le ciel s’est assombri. Au second plan on voit ce qu’il reste d’un arbre sur le point de tomber. Prédelle :