Ciel nocturne

 Alonge toi sur ton lit ferme tes yeux arrete de respirer une minute tu reprends ton soufle. t'as vus combien l'air te manque c'est comme ça que tu me manque. à chaque instant que tu me manque, une étoile tombe du ciel, donc si un jour  tu trouve le ciel noir et vide, c'est de ta faute ,car tu me manque beaucoup . 4eme sms de Bonjour : Bonne journée Bonne journée mon coeur. Même si on n’a pas pu passer la nuit ensemble, mon esprit est déjà remplie de pensée pour toi c matin. la météo

"astrologues" qui observent à distance le ciel : il contemple "les grands ciels" de Paris. Le fait de mettre ciel au pluriel exprime le ciel toujours changeant de la capitale et ces ciels donnent à Baudelaire des rêves "éternité". Mallarmé, poète parisien du XIXe siècle, dit que le "s" au pluriel donne l'idée d'infini. Baudelaire fait également référence à l'étoile du berger qui annonce la nuit : "l'étoile dans l'azur". Ensuite, après avoir observé le ciel parisien, le poète observe les toits, les

lèvres comme elle a observé les fenêtres trempées. Et ensuite, bien sûr, le plus grand crime de tout était qu'elle était venue ici seulement il y a cinq ans de la Terre et elle s'est rappelée le soleil et la façon(le chemin) que le soleil était et le ciel était quand elle avait quatre ans à l'Ohio. Et ils, ils avaient été branchés La Vénus toutes leurs vies et ils avaient eu seulement deux ans quand dernier le soleil est sorti et en avait depuis longtemps oublié la couleur et la chaleur et la façon(le

D’une part, les étoiles « soulevaient », « avaient éclaté » ; d’autre part, le ciel « tremblait », « descendait » jusqu’à « toucher », « râcler », « frapper », « faire sonner » : on remarquera le procédé d’accumulation, qui accroît cette impression d’activité céleste, d’autant plus qu’il est amplifié par un procédé de gradation sonore entre les verbes à l’infinitif, qui vont crescendo. 2. L’alliance entre le ciel et la terre – les étoiles sont dès le premier paragraphe l’objet d’une métaphore

n’est plus réel. Vision chrérienne l’avenir = bonheur éternel. b)au niveau des pays : Distinctions spatiales ont disparues. Il n’y a plus de place pour la seule France , l’Europe ou l’Amérique. Idée que ces territoires ne sont plus séparés (« même ciel bleu » vers 15). Anaphore au vers 26 (« couvrant….couvrant ») c)au niveau des êtres : Le texte procède en deux temps : * 1er temps : peuple qui est repris par l’idée de l’humanité au vers 10. Peuple toute l’humanité qui va devenir maître (« comme

gracieuse pleine lune . Comme à mon habitude je me rendais à ma clairière pour y admirer les étoiles, cette nuit les étoiles couvraient le ciel entièrement, c’était splendide, la nuit était éclatante, un paysage chatoyant. Le vent soufflait de plus en plus fort, mes longs cheveux d’ébène virevoltaient autour de mon visage, mais cela ne m’empêchait pas de dévisager ce ciel somptueusement étoilé. Je vis une étoile particulièrement grosse, il me fallut quelques minutes pour comprendre que cet astre fonçait

tes beautés langoureuses Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux? Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses! Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis, Renaîtront-ils d'un gouffre interdit à nos sondes, Comme montent au ciel les soleils rajeunis Après s'être lavés au fond des mers profondes? — Ô serments! ô parfums! ô baisers infinis!

légers. Un tissus de mensonge et une lourde absence. Après cela, je l'ai jeté dans le trou que j'avais creusé, je l'ai regardé une dernière fois... Les confettis refaisaient surface. La plus part des objets se décomposaient sous les gouttes du ciel mais ton air restait fixé à un point. Oublions... Mais en vain.Je rends tous les jours visites à ton Masque. Je lui parle. Il est fatigué. Je reviendrai demain et ça sera le même refrain.

à oublier leur passé amoureux et répond d’un ton blasé à ses questions. Entre les vers 13 et 14 on peut penser que le poète utilise une antithèse car l’un parle de « ciel bleu » et d’ « espoir grand » alors que l’autre parle de « ciel noir » et d’ « espoir fuyant et vaincu ». Le ciel bleu peut représenter la vie tandis que le ciel noir la mort. La troisième strophe, c'est-à-dire les deux derniers vers du poème nous rapportent vers l’idée que les deux personnages sont des fantômes puisque « seul

clartés nouvelles Nous allons tout à l'heure ensemble ouvrir nos ailes. Partons d'un vol égal vers un monde meilleur. Un baiser seulement, un baiser! (Ils s'embrassent.) DON RUY GOMEZ. Ô douleur! HERNANI, (d'une voix affaiblie.) Oh! Béni soit le ciel qui m'a fait une vie D'abîmes entourée et de spectres suivie, Mais qui permet que, las d'un si rude chemin, Je puisse m'endormir, ma bouche sur ta main! DON RUY GOMEZ. Qu’ils sont encore heureux! HERNANI, (d'une voix de plus en plus faible.)